Beaux seins
Ma voisine, cette coquine
Je l'imagine, je l'imagine
Douce, alerte, oisive du bain
Ma bouche embrassant son sein
Son regard, provoque l'érection
Dure, tenace et sacrilège
Prête à jouer du solfège
Ô ma coquette, mon exquise imagination
Aspire à te fouiller
N'y voit là aucune aberration
Ses yeux expriment la lueur
De voir nos deux coeurs
Unis, dans la symbiose ardeur
D'une folle passion, suprême saveur
De la bave des profondeurs
Elle me buvant, moi la vidant
De nos sexes, exténuant nos sangs
Patrice Faubert ( 1972 ) puète, pouète, peuète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "