C'est pas mal je trouve, en tout cas plus vertueux que la politique des quotas que veulent nous vendre les Hollande, Merkel et compagnie parce que ces politicards ne feront pas une place en plus chez eux pour recevoir un réfugié.
DU LAIT POUR LES ENFANTS SYRIENS .................QUELQUES PISTES PRATIQUES
Nous commençons a recevoir de plus en plus d’offres de soutien avec des questions pour savoir comment y participer
- D’abord tout soutien est le bienvenu, même le petit mot sympa compte et aide a maintenir le moral
- Ensuite pour ceux qui peuvent faire plus , il faut proposer des points de collecte de lait entier et pour bébés et de denrées non périssables ( huile d'olive , sucre, café , thé , chocolat , biscuits ...)
Nous proposons pour cette semaine le Vendredi 4 septembre de 16 a 18 h et le Samedi 5 septembre de 17 h a 19 h au local de la CNT AIT 7 rue Saint Remesy le Dimanche matin de 11h30 a 12h a la table de presse du marché Saint- Sernin ,angle de la rue Merly , de 11h30 a 12h
Dores et dé jà d’autres points de collecte sont a l’étude dans les quartiers
- Un concert de soutien a été proposé
- Bien sûr le soutien financier direct peut nous parvenir en mentionnant « du lait pour les enfants syriens « envoyé a notre adresse , 7 rue Saint Remesy 31000 Toulouse , a l’ordre de CNT- AIT
dulaitpourlesenfantssyriens@hotmail.com
Depuis un mois, environ 250 migrants, hommes, femmes, enfants, occupent le lycée Jean Quarré (rue Guillaume Budé, Place des Fêtes). Certains font partie des migrants de La Chapelle, expulsés il y a quelques temps.
La plupart sont Érythréens, Soudanais, Somaliens, Afghans. Demandeurs d’asile ou en transit vers d’autres pays, aucune solution ne leur est apportée, que ce soit en termes de logement ou de nourriture. La Mairie tolère tout juste leur présence dans les locaux investis.
A ce jour, peu d’organisations ou de collectifs se mobilisent. Certains voisins également tentent d’apporter leur soutien.
C’est pourquoi Quartier Libre appelle à la solidarité avec les migrants en organisant des récupérations tous les mardi soirs entre 19h et 21h au métro Ménilmontant.
10 000 enfants réfugiés dans les écoles
Selon l'AFP, une réunion a eu lieu avec les recteurs au ministère de l'éducation nationale pour préparer l'arrivée de 8 à 10 000 enfants réfugiés dans les écoles françaises. Le ministère aurait demandé aux recteurs de définir des communes où leur scolarisation serait plus facile. Les préfets tiendront compte de ce critère pour répartir les réfugiés sur le territoire. Le ministère prévoir également d'augmenter les moyens des UPE2A, le dispositif d'accueil des élèves allophones. Sur France 3, le 13 septembre, N Vallaud-Belkacem s'est déclarée d'accord avec la proposition de JP Raffarin d'accueillir ces familles en zone rurale. "Les communes rurales voient dans l'accueil de ces enfants réfugiés une opportunité dans les petites communes qui voient fermer leurs classes à cause de la baisse du nombre d'élèves", a déclaré la ministre.
Les réfugiés Syriens menacés d'expulsion demandent une réquisition de l'immeuble qu'ils occupent dans le quartier des Izards à Toulouse
Des familles de réfugiés syriens, menacées d’expulsion par le bailleur social Habitat Toulouse demandent au Préfet et au Premier ministre de réquisitionner l'immeuble désaffecté du quartier des Izards qu'elles occupent depuis le mois de mars.
Dans une lettre adressée le 11 décembre au Préfet de la Haute-Garonne, les familles de réfugiés syriens installées dans un immeuble des Izards depuis le mois de mars dernier lui demandent de réquisitionner les lieux qu'elles occupent illégalement, "en raison de l'urgence et du risque de détresse sociale".
Ces familles ont trouvé refuge depuis le mois de mars dans des logements vides voués à la démolition par leur gestionnaire, Habitat Toulouse. Le bailleur social a saisi la justice pour demander leur expulsion et le tribunal d'instance de toulouse a plusieurs fois reporté sa décision. Dans un communiqué publié ce lundi, l'avocate des familles, maitre Agnès Casero souligne la nécessité de prendre en charge ses familles : "après plusieurs années d'exode, elles demandent de bien vouloir leur accorder une stabilisation de quelques mois de leur situation permettant notamment aux Pouvoirs publics sanitaires et éducatifs de soigner les cas les plus urgents en particulier les enfants et d’éviter les hachures des traitements sanitaires et scolaires qui sont entraînés par des déménagements et hébergements situés dans des départements éloignés". Elle souligne par ailleurs qu'en cette période de trêve hivernale, "Toulouse habitat se livre à la destruction des logements vacants" et qu'"aucune offre de délai n'est faite et de nouvelles assignations pour expulsion sont en cours de délivrance".
FUITE D’EAU : UN PLOMBIER OU UN TRIBUNAL ?
Dans le procès intenté par la Mairie de Toulouse – et qui se plaidera demain, vendredi 16 sept. devant le Tribunal d’instance - à l’encontre de familles de Réfugiés Syriens (dont plusieurs enfants) afin de les déloger de l’abri qu’elles ont trouvé dans une « Toulousaine » en grande partie désaffectée du quartier des Izards, l’argument essentiel, et pour ainsi dire unique en ce qui concerne « l’urgence » supposé à les expulser, est… une fuite d’eau. Incroyable mais vrai !
Le mémoire présenté par l’avocat de la Mairie souligne en effet : « L’absence de joint étanche autour des baignoires, les joins de faïence absents, certains carreaux manquants, le réseau d’évacuation douteux font que l’eau s’infiltre à chaque utilisation. Ce phénomène perdurant et sans solution apportée, cela pourrait effectivement endommager à terme la tenue du plancher ». Il en découle (si on ose écrire…) également que le seul locataire de ce bâtiment (un commerce, en rez-de-chaussée) subit également des dégâts au niveau des faux-plafonds et de l’électricité. Personne ne conteste ces points. C’est la procédure qui est, pour le moins, étonnante. En toute logique, tout propriétaire qui a une fuite d’eau commence par appeler en urgence… un plombier. La Mairie de Toulouse elle, saisit, en urgence… un tribunal, alors que jamais personne ne s’est opposé à la réparation qui s’impose (et qui d’ailleurs est une obligation du propriétaire). Elle a fait passer huissiers et techniciens pour les constats mais a manifestement oublié d'appeler un plombier pour réparer. C'est ballot, non ?
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