Les taxis en colère poursuivent leur mouvement

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Les taxis en colère poursuivent leur mouvement

Messagede bajotierra le Mar 11 Fév 2014 10:23

la suite d'une intervention des forces de l'ordre, la circulation a toutefois été rétablie sur le périphérique dans les deux sens, a déclaré la préfecture de police (PP) de Paris à l'AFP vers 07H40. La circulation était relativement fluide au niveau de la porte de Clichy, au nord-ouest de la capitale.

Toutefois, il y avait 208 km de bouchons cumulés en Ile-de-France vers 07H40, soit plus que d'ordinaire, selon le centre régional d'information routière.

Dans la nuit, un délégué syndical Force ouvrière, Nordine Dahmane, avait fait part d'une nouvelle opération sur le périphérique nord dans les deux sens, de part et d'autre de la porte de la Chapelle. Le Centre national d'information routière (Cnir) a ensuite confirmé qu'une centaine de taxis étaient alors répartis dans les deux sens de circulation sur le boulevard périphérique au niveau de porte de la Chapelle.

Le périphérique a été fermé momentanément à la circulation dans les deux sens, de la porte de Saint-Ouen à la porte de La Villette. Après une première intervention des forces de l'ordre pour faire partir les taxis, le blocage s'est ensuite déplacé au niveau des portes d'Asnières et de Clichy, au nord-ouest de la capitale, selon une source policière.

Les forces de l'ordre ont ensuite réussi à lever tous les blocages, a expliqué la PP.

Plus d'un millier de taxis ont manifesté lundi toute la journée de lundi. Pour calmer les chauffeurs, une délégation a été reçue lundi soir à Matignon pendant environ deux heures et la nomination d'un "conciliateur" a été confirmée.

"La délégation n'a pas été convaincue. Il y aura un autre mouvement le 13 mars et sûrement d'autres mouvements d'ici le 13 mars. On est en train de s'organiser", a assuré mardi Moustafa Hassan du Syndicat des conducteurs de taxis parisiens (SDCTP).

Le 13 mars marque l'anniversaire de la loi réglementant la profession de chauffeur de taxi et datant de 1937.

55.000 taxis, 12.400 VTC



Longtemps protégée, la profession est de plus en plus concurrencée par les motos-taxis et les sociétés de VTC, qui ne peuvent travailler que sur réservation mais que les accusent de prendre des clients à la volée. "Ils racolent aux aéroports", accusent les taxis.

L'enregistrement d'un véhicule de VTC ne coûte que 100 euros alors que les licences des taxis (à 80% artisans et propriétaires de leurs licences) se négocient autour de 230.000 euros à Paris.

L'assouplissement de la législation en 2009 a favorisé la multiplication des VTC, qui ont gagné mercredi dernier une nouvelle partie en obtenant la suspension du décret leur imposant un délai de 15 minutes entre la réservation et la prise en charge du client.

Cette décision provisoire du Conseil d'Etat a attisé la colère des syndicats de taxis qui jugeaient de toute façon ce décret insuffisamment protecteur.

Pour les calmer, le gouvernement a annoncé samedi le lancement d'une "mission de concertation" afin de "définir les conditions durables d'une concurrence équilibrée entre les taxis et les VTC" d'ici à deux mois, et un renforcement des contrôles. La nomination du "conciliateur" intervient dans ce cadre.

Les syndicats réclament l'interdiction des applications de réservation de VTC sur smartphone, un délai de réservation minimum de 30 minutes et des courses d'un montant de 60 euros a minima.

Malgré l'augmentation des licences distribuées ces dernières années par l'administration, les taxis restent peu nombreux: quelque 55.000 dans l'hexagone, dont environ 20.000 à Paris. Parallèlement, fin 2013, on recensait 6.500 entreprises de VTC (dont la moitié en Ile-de-France) exploitant quelque 12.400 véhicules.


http://www.lexpress.fr/actualites/1/act ... 22520.html
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Re: Les taxis en colère poursuivent leur mouvement

Messagede vroum le Mar 11 Fév 2014 14:58

Chauffeurs en lutte contre la machine libérale

http://www.monde-libertaire.fr/france/16876-chauffeurs-en-lutte-contre-la-machine-liberale

À l’appel de cinq syndicats, dont CGT, CFDT et FO, des chauffeurs de taxi ont roulé depuis les aéroports d’Orly et de Roissy le 13 janvier 2014, tôt le matin, pour converger vers la place Vauban, dans le VIIe arrondissement, en fin d’après-midi. D’autres manifestations ont eu lieu dans certaines villes comme Marseille, Lyon ou Montpellier.

Les revendications actuelles des taxis interviennent contre des mesures capitalistes ultralibérales. Ces dernières ont été prises par le précédent gouvernement de droite en juillet 2009 sous le nom trompeur de « loi de développement et de modernisation des services touristiques ». Une loi promulguée après l’échec du gouvernement de Sarkozy pour la libéralisation totale du « marché des transports par taxi » à cause des grèves des 30 janvier et 6 février 2008 des chauffeurs de taxi. Ces grèves ont été organisées après la remise du rapport d’Attali à Sarkozy le 23 janvier 2008 qui avait pour titre : Libération de la croissance française.

La loi de juillet 2009 d’un gouvernement de droite est bien évidemment appliquée maintenant par un gouvernement de gauche. Cette loi autorise des VTC ou des véhicules de tourisme avec chauffeur à faire du transport de personnes uniquement sur réservation. Il se trouve qu’après seulement trois ans d’existence elle est devenue une source de conflits entre les chauffeurs de taxi et ceux de VTC. Pourquoi ?

Plusieurs gros investisseurs sont arrivés sur le marché de transport de personnes en se servant de la loi de juillet 2009. Pour n’en citer que deux : Voitures jaunes, avec plus de 3 millions d’euros d’investissement, et Uber, filiale de Google, investissant quelque 260 millions de dollars sur ce marché à Paris, à New York, à Pékin et dans une quarantaine d’autres villes dans le monde. La banque Goldman Sachs investit également des capitaux chez Uber. Si les Voitures jaunes n’ont que des salariés smicards, Uber centralise les appels de clients et prélève des commissions exorbitantes sur des courses distribuées aux chauffeurs qui travaillent souvent sous le statut précaire d’auto-entrepreneur (encore un chef-d’œuvre de droite maintenu par la gauche !). Mis à part les nouveaux arrivants, une grosse société de taxis comme G7 a fondé une nouvelle filiale appelée G7 Events pour mettre aussi en circulation des VTC, en prétendant qu’ils sont destinés à une « clientèle haut de gamme » !

Le sacro-saint marché du transport de personnes n’a guère absorbé l’arrivée de plusieurs milliers de véhicules en si peu de temps. Chaque autorisation de VTC au prix de 100 euros délivrée par Atout France permet la mise en circulation de cinq véhicules, voire plus, car la police accepte la copie de la même autorisation en cas de contrôle ! Résultat : des chauffeurs de VTC se voient obligés de « racoler », surtout dans les gares et les aéroports pour pouvoir vivre de leur activité. Or les chauffeurs de taxi disent qu’ils « volent » leurs clients, eu égard à la baisse de leur chiffre. Celle-ci est une réalité. L’Insee donnait 1 427 euros de revenu moyen mensuel ou 1 135 euros de revenu médian mensuel pour un chauffeur de taxi en 2010. Ce chiffre doit être revu à la baisse constante depuis ces trois dernières années. Car, tout simplement, et contrairement à ce que disaient et disent encore « les marchés », la taille du gâteau du transport de personnes par taxi et VTC n’a pas crû, seulement les uns et les autres, les chauffeurs de taxi et de VTC, doivent manger le même en plus petites parts, d’où la paupérisation et la précarisation des deux, d’où, aussi, les conflits constatés entre eux.

Il y a aussi d’autres sources de conflit entre les taxis et les VTC. Un chauffeur de taxi parisien peut être un salarié, un locataire, un coopérant ou un artisan. Si il ou elle (il y a un millier de chauffeurs de taxi femmes sur une vingtaine de milliers à Paris) est salarié, locataire, coopérant ou artisan, il devra être engagé dans son travail au moins soixante heures par semaine pour arriver au revenu moyen calculé par l’Insee. Les salariés n’ont qu’un peu plus de 12 euros de salaire fixe par jour de travail, soit onze heures, plus une commission de 30 % sur le taximètre. Les locataires doivent faire autant d’heures (voire la totalité autorisée, pour tous les statuts, soit soixante-dix-sept heures par semaine) car les loueurs leur font payer trente jours de loyer par mois. Les coopérants ont des charges sur une partie de la licence, plus celles de la coopérative dans laquelle ils sont. Et les artisans remboursent sur dix à douze ans une licence extrêmement onéreuse : 230 000 euros pour Paris. Ils ont tous une réglementation assez sévère dont certains articles datent du début du siècle passé ! Une brigade de police spéciale taxi, qu’ils appellent « boers », est chargée de les contrôler et, en cas d’infraction, ils doivent passer à la commission de discipline des taxis pour sanction. Beaucoup de ces obligations n’existent pas pour les VTC, ce que les chauffeurs de taxi trouvent particulièrement injuste.

Le ministère de l’Intérieur a bien voulu recevoir une délégation de syndicats appelant au mouvement du 13 janvier 2014. Mais cela n’a rien donné, et les délégués ont tout de suite proposé une nouvelle date de manifestation pour le 10 février 2014. Une cinquantaine de chauffeurs de taxi ont alors décidé de marcher vers le palais de Matignon, mais avant même qu’ils quittent le périmètre de la place, les CRS les ont aspergés de gaz lacrymogène. Cet acte plus ou moins désespéré et les insinuations des bureaucrates du ministère de l’Intérieur selon lesquelles les manifestants n’étaient pas assez nombreux pour que leurs revendications soient prises en compte, pourraient servir un mouvement plus large sans toutefois se tromper de cibles. Ce ne sont pas les chauffeurs de VTC qui devraient être incriminés. Il s’agit du rouleau compresseur du capitalisme ultralibéral qui passe sur les uns et les autres, il s’agit des gouvernements de droite et de gauche qui le fabriquent et le font marcher.

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Re: Les taxis en colère poursuivent leur mouvement

Messagede bajotierra le Mar 11 Fév 2014 16:18

Cet acte plus ou moins désespéré et les insinuations des bureaucrates du ministère de l’Intérieur selon lesquelles les manifestants n’étaient pas assez nombreux pour que leurs revendications soient prises en compte, pourraient servir un mouvement plus large sans toutefois se tromper de cibles. Ce ne sont pas les chauffeurs de VTC qui devraient être incriminés. Il s’agit du rouleau compresseur du capitalisme ultralibéral qui passe sur les uns et les autres, il s’agit des gouvernements de droite et de gauche qui le fabriquent et le font marcher.


c'est une bonne chose que les anarchiste s'efforcent de comprendre la réalité de ce que le système exalte en terme de de micro-entreprise ,

dans le cas des taxi l'article du ML dans sa conclusion note que le pouvoir compte sur la faiblesse du mouvement inhérente a ce travail atomisé et sur le fait que les taxis se " trompent de cible " ( " Bellum omnium contra omnes" )

cette réalité de l'organisation capitaliste du travail est bien différente de celle qui prédominait il y a seulement quelques décénnies ( ce que Marx nommait le travail combiné )


3º avec le développement du mode de production capitaliste, les conditions objectives du travail changent de forme par suite de leur dimension croissante et des économies effectuées dans leur emploi (sans parler de ce que les instruments de travail changent complètement de forme avec le machinisme, etc.). Elles se développent avec la concentration des moyens de production, qui représentent la richesse sociale, en un mot avec l'ampleur et l'efficacité croissantes des conditions de production du travail socialement combiné. Non seulement la combinaison du travail, mais encore le caractère social des conditions de travail - parmi lesquelles il faut compter entre autres, la forme qu'elles acquièrent dans la machinerie et le capital fixe quel qu'il soit - semblent être absolument autonomes et distincts des ouvriers, un mode d'existence du capital; ainsi, il semble qu'il soit arrangé par le capitaliste, indépendamment des ouvriers. Mais plus encore que le caractère social de leur propre travail, le caractère des conditions de production, devenues collectives, apparaissent comme capitalistes, indépendamment des ouvriers.

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Re: Les taxis en colère poursuivent leur mouvement

Messagede bajotierra le Mer 12 Fév 2014 09:49

110 chauffeurs de taxis ont été interpellés, 70 placés en garde à vue pour entrave à la circulation mercredi 12 février, selon BMFTV. L'intersyndicale des taxis à l'origine de la manifestation de lundi contre la concurrence des voitures de tourisme avec chauffeur (VTC) a appelé mardi à "une grève reconductible" jusqu'à "l'arrêt des immatriculations de VTC".

A l'issue de trois heures de réunion, les syndicats ont finalement décidé d'encourager les actions spontanées observées dans Paris et aux abords des aéroports depuis lundi soir.


"On veut maintenir la pression"

L'intersyndicale (CFDT, CGT, FO, CST, FTI, SDCTP et STM) "soutient toute action défendant la profession" et "appelle l'ensemble des chauffeurs à mener ces actions de manière déterminée mais dans le calme et la dignité".

Elle "se réserve le droit de mener des actions en tous lieux et à tous moments", poursuit le communiqué. "On veut maintenir la pression et accompagner cette spontanéité d'actions", "rien ne sera prémédité", les chauffeurs mèneront "des opérations coups de poings, des blocages", a expliqué Karim Asnoun (CGT).


http://tempsreel.nouvelobs.com/social/2 ... tible.html

hier matin les syndicats évoquaient des actions des "incontrolables " et appelaient a une autre journée le 13 mars , puis devant les faits ils ont du changer de position le soir , ce matin devant cette évolution le pouvoir abat la carte de la répression
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Re: Les taxis en colère poursuivent leur mouvement

Messagede bajotierra le Mer 12 Fév 2014 12:57

Gardes à vue levées

La nomination mardi du député PS de Saône-et-Loire Thomas Thévenoud pour restaurer le dialogue n'a pas suffi à calmer les esprits. Un rassemblement surprise d'une centaine de taxis mardi vers 19h place de la Concorde à Paris a conduit à 64 gardes à vue pour "délit d'entrave à la circulation et refus de dispersion après sommations suite à un attroupement", selon une source policière. Toutes les gardes à vue ont été levées depuis, a-t-on appris de source judiciaire.

Le médiateur appelle au calme

"Les chauffeurs de taxi étaient rassemblés pacifiquement, il n'y avait pas de débordement, pas de casse et d'un coup la police a chargé", a rapporté Nordine Dahmane, qui estime cette situation "digne d'une dictature"."On a passé la nuit à essayer de faire sortir" les chauffeurs, dont trois délégués syndicaux, a-t-il ajouté. S'exprimant mercredi matin pour la première fois, Thomas Thévenoud a invité toutes les parties "au calme". "J'appelle tout le monde à venir me voir autour de la table pour discuter, pour s'entendre, pour passer des compromis et trouver un nouveau système", a-t-il dit sur RMC/BFM-TV.

Le message des taxis "a été reçu cinq sur cinq, maintenant il faut qu'on travaille", a ajouté le médiateur, prônant l'invention d'"un nouveau système où chacun puisse vivre de son travail". Longtemps protégés, les taxis dénoncent la "concurrence déloyale" des sociétés de VTC, qui se sont multipliées depuis un assouplissement de la législation en 2009.

— AFP
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Re: Les taxis en colère poursuivent leur mouvement

Messagede bajotierra le Ven 18 Déc 2015 19:14

Le dumping social imposé par les capitalistes contre les taxis n'a pas tardé a toucher les chauffeurs de VTC eux mêmes .



Les véhicules de tourisme avec chauffeur (VTC) mènent une action de grève ce matin en Île-de-France, aux abords des aéroports de Roissy-Charles de Gaulle et d'Orly. Ils revendiquent un meilleur encadrement de leur activité, se plaignant notamment des conditions de travail et des tarifs que leur impose la start-up américaine Uber. L'association CAPA VTC la dénonce sur son compte Facebook comme "ne payant pas d'impôts" mais voulant "imposer ses propres lois du travail." Sa principale demande est la mise en place par le gouvernement d'un tarif minimum similaire à celui des taxis.


http://www.usine-digitale.fr/article/gr ... rs.N370250

Chers collègues et amis, Vtc et Capacitaires, l'heure de la révolte a sonné. Ce Vendredi 18 nous avons la possibilité de marquer l'histoire de notre profession. Cela fait des années que nous sommes jetés en pâture à une multinationale étrangère qui paye 0€ d'impôt, qui veut imposer ses propres lois du travail ici et qui a décidé de nous exploiter au maximum et surtout de bousiller complètement ce marché en tirant les tarifs vers les profondeurs, devenus des tarifs référence sur lesquels beaucoup doivent s'aligner. La manifestation autorisée du vendredi 18 commencera à 5h à Roissy et Orly pour converger vers la porte maillot dans la matinée.
Nous réclamons des pouvoirs publics qu'ils interviennent afin de défendre cette profession.
Cela passe par une législation sur des tarifs minimums de notre activité, au même titre que les taxis qui, chaque année, voient leurs tarifs rehaussés en fonction du coût de la vie, nous c'est l'inverse.
Nous demandons à l'état qu'il prenne ses responsabilités en ce qui concerne la loi thevenoud, chaque jour des chauffeurs travaillant pour ces applications sont verbalisés de 1500€ alors que le ministre de l'économie lui même incite la jeunesse de France à aller travailler pour 6€60/h au lieu d'être au Rsa...Nous demandons plus globalement de pouvoir nous mêmes décider de notre avenir et nos conditions et non plus être écartés. Nous sommes plus de 12.000 vtc et plus de 20.000 capacitaires face à une demi-douzaine d'esclavagistes. Les règles doivent changer. Ceux qui ne se sentent pas concernés n'auront que leurs yeux pour pleurer lorsqu'ils n'auront plus d'autre choix que de changer de métier car il n'y aura plus aucune rentabilité car les clients iront de plus en plus vers les prix bas. L'association Capa Vtc, L'association Actif Vtc et le Syndicat SETP appellent d'une seule voix à la mobilisation générale de tous les chauffeurs pour notre survie. C'est le 18 ou jamais, nous n'aurons pas de 2nde chance. Force et Honneur.





https://www.facebook.com/AssCapaVtc?pnref=story
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