pit's a écrit: Encore une fois, vendre sa force de travail et vendre son corps c'est pas la même chose, ...
Antérieurement, tu avais, déjà, vomi :
pit's a écrit: C’est la différence entre taper un courrier et se faire troncher par le petit chef sur le bureau.
C'est la différence entre entrer dans une chambre d'hôtel pour y faire le ménage et se retrouver avec une bite dans la bouche.
C'est participer à renforcer le "paradis" du capitalisme et des exploiteurs, et des machos, si tu n'es même pas capable de faire cette différence.
Dans ce cas, entre taper un courrier et élaguer des arbres, ou bien, entre taper un courrier et creuser au marteau-piqueur, c'est pas la même chose, non plus.
T'as jamais donner un début d'explication crédible qui puisse même ouvrir le débat.
Tu répètes, sans cesse, la même ritournelle, un magma d'affirmations mêlés d'insultes et dénuées de sens.
Mais, c'est peut-être le statut d'artisan qui te gêne; celui de se mettre à son propre compte, de travailler seul, d'être son propre patron, de travailler en libéral. Et, dans ce cas, peu importe ce que tu fais comme activité, sexe ou autre; car tu travailles seul, avant tout, pour vivre, tout comme les salariés le font à leur manière. et, surtout, tu travailles seul pour n'avoir de comptes à rendre à personne.
Ou, alors, ce qui te dérange, c'est que des individus se regroupent pour travailler dans le sexe, et ne pas être ou se sentir isolés; et, toi, tu les assimiles, alors, à une entreprise libérale. Des travailleurs, qui bossent seuls, ça ne devient pas des capitalistes, pas plus que toi ou moi. Le travail n'a, jamais, enrichi le travailleur; quelle que soit l'activité.
Pour l'instant, des multinationales du sexe cotées en "bourses", et créées par des prostituées qui s'associent pour travailler, je n'en n'ai jamais entendu parler. Des entreprises du sexe, ça existe; en allemagne, par exemple, avec les eros-center. Les patrons sont des proxénètes devenus, par la magie de la loi, des hommes ou des femmes d'affaires, et si des prostituées y travaillent de leur plein gré, que vas-tu leur dire ? ... que c'est mal ? ...
Je suis d'accord que le système capitaliste ne laisse pas beaucoup de choix, mais c'est pas en traquant les clients que ça améliorera quoi que ce soit pour qui que ce soit. Les prostituées vivent au jour le jour, si je ne me trompe pas. Et, si certaines gagnent de l'argent, elles ne doivent pas, pour autant, s'enrichir.
Les clients sont aussi les victimes d'un système capitaliste qui crée le climat social, entretient des moeurs toujours rétrogrades, en cultivant moralisme et religion, et qui conditionne les rapports sociaux.
Mais, pour toi, c'est l'activité qui compte, et pas le cadre sociétal.
C'est pour ça que tu es un curé, un puritain, et tout le reste ...
J'attends toujours, et je ne dois pas être le seul, que tu expliques en quoi se prostituer est différent que d'être salarié ou travailleur-artisan; soit que tu expliques la différence entre le sexe et les bras, le cerveau (mais, ça, ça ne te concerne pas - tu en as bien trop peu), ou les mains, ou le reste du corps, quoi.
pit's a écrit: C'est participer à renforcer le "paradis" du capitalisme et des exploiteurs, et des machos, si tu n'es même pas capable de faire cette différence.
En quoi aller voir les putes se solde-t-il par un renforcement du capitalisme, alors que d'aller au cinéma, par exemple, cela renforce, effectivement, le capitalisme à travers l'industrie de l'audio-visuel ou d'acheter des abonnements internet qui renforce une autre industrie, toujours capitaliste ?
Le tout en alimentant l'Etat à hauteur de 20 %, Etat, qui je le rappelle est le meilleur des soutiens du capital.
En quoi, même, aller voir les putes renforce-t-il le capitalisme ?
Et, ne me réponds pas que ça fait tourner le système capitaliste, car, dans ce cas, et c'est le cas, tout fait tourner ce système ; le travail des uns, le chômage des autres, mais, aussi, les précaires, les SDF, l'Etat, la publicité, les syndicats du style Alternative Limitée & co, etc …