willio a écrit:Ouais, toujours aussi optimiste le Kuhing. Il est en train de nous dire que l'élection d'obama va déclencher une révolution anarchiste...un vrai politicien j'vous dis.
'Spleen'Libertad a écrit: mais vois-tu, chaque jour je regarde autour de moi, et c'est pas un socialo et même son impact sur le monde entier qui fera changer la manière de penser des gens. .
kuhing a écrit:'Spleen'Libertad a écrit: mais vois-tu, chaque jour je regarde autour de moi, et c'est pas un socialo et même son impact sur le monde entier qui fera changer la manière de penser des gens. .
Ce que je dis c'est que le décalage obligatoire qui va se produire entre les attentes des gens qui ont voté pour Obama, et même ceux qui regarde dans les autres pays, et la réalité de ce qui va se passer forcément va entrainer une situation qui sera favorable à notre développement.
Il faut donc en profiter parce que je pense que notre développement est important pour l'évolution des choses.
'Spleen'Libertad a écrit:J'en suis pas certain du tout. C'est pas un communiste qui est passé, ça reste un modéré. On aura toujours la peur de notre mouvement et de nos idées, je pense pas que les gens se tourneront vers notre idéal, loin de là. Tu es très optimiste, je le suis surement moins... nous verrons bien ! J'espère que tu as raison.
Les Bourses européennes ne votent pas Obama
A 12h30, à Paris, le CAC 40 perdait 2,39%, Francfort 1,56% et Londres 2,18%, tandis que l'Eurostoxx 50 se repliait de 1,80%.
La majorité des Etats-Unis est en liesse, la France applaudit l'élection du candidat démocrate à la Maison Blanche, mais la Bourse de Paris fait la tête.
A 12H23, à Paris, le CAC 40 perdait 2,39% à 3.602,92 points, dans un volume d'échanges très faible de 1,67 milliard d'euros. L'indice de référence avait enregistré hier sa sixième hausse consécutive, bondissant de 4,62%.
De leur côté, Francfort lâchait 1,56% et Londres 2,18%, tandis que l'Eurostoxx 50 se repliait de 1,80%.
«Le CAC 40 a vraisemblablement exprimé l’intégralité de sa reprise technique. A présent, le marché devrait amorcer un nouveau virage baissier», explique la maison de courtage Aurel.
La Bourse de Paris «est dépendante de ce qui se passe outre-Atlantique, mais ça fait déjà longtemps qu'elle a intégré la probable élection d'Obama», souligne Yves Marçais, vendeur d'actions chez Global Equities.
Autre analyse: les places européennes ont nettement progressé hier et, du coup, se calment un peu.
Si certains analystes craignaient la réaction du marché à l'élection d'un candidat qui propose d'augmenter les taxes sur les plus-values, les investisseurs se sont réjouis par avance, en Europe et aux Etats-Unis, de la possible accélération des mesures de relance économique.
En revanche, les Bourses asiatiques exultent, portées selon les analystes par un sentiment d'optimisme après le dénouement du duel électoral américain. Tokyo, notamment, a clôturé en forte hausse de 4,46%.
(Source AFP)
Barack Obama : le "changement est arrivé"
Le démocrate Barack Obama, 47 ans, a remporté l’élection présidentielle aux dépens du républicain John McCain, devenant ainsi le premier président noir de l’histoire des États-Unis.
Barack Obama a remporté mardi une victoire historique grâce à la promesse de changement qu’il a portée tout au long de sa campagne.
Le président, a annoncé mardi soir à ses partisans réunis à Chicago que "le changement (était) arrivé en Amérique", et les a appelés à faire preuve d’esprit d’unité pour faire face aux défis qui attendent le pays.
Avec ses victoires dans l’Ohio et en Floride, mais aussi en Virginie, dans l’Iowa, au Nouveau-Mexique, dans le Nevada et au Colorado, États qui avaient tous voté pour George Bush il y a quatre ans, Obama s’est assuré d’au moins 338 voix au collège des grands électeurs, quand 270 auraient suffi à son élection.
Le sénateur de l’Illinois s’est assuré de dépasser le seuil des 270 grands électeurs nécessaires pour obtenir la majorité au collège électoral qui élira le 44ème président des États-Unis. Obama a également remporté le vote populaire.
Victoire écrasante des démocrates
Des scènes de liesse ont salué l’annonce de la victoire d’Obama à travers le pays, notamment dans son fief de Chicago, où des dizaines de milliers de personnes ont repris en cœur le slogan du candidat métis : "Yes, we can".
McCain, 72 ans, a perdu tout espoir de remporter l’élection en s’inclinant dans des Etats clés comme l’Ohio, qui avait permis à George Bush de l’emporter en 2004 face à John Kerry, et la Virginie, un Etat qui n’avait plus voté en faveur d’un démocrate depuis Lyndon Johnson en 1964.
A Phoenix, McCain a annoncé à ses partisans rassemblés qu’il avait appelé Obama pour le féliciter, et a salué la campagne historique de son adversaire.
"Nous sommes achevé un long voyage. J’appelle tous les Américains qui m’ont soutenu à se joindre à moi pour féliciter le futur président (Barack Obama) mais aussi pour l’assurer de notre bonne volonté", a déclaré McCain.
L’élection d’Obama s’accompagne d’une victoire écrasante des démocrates au Congrès, où le parti de l’âne renforce sa majorité aussi bien au Sénat qu’à la Chambre des représentants.
L’arrivée à la Maison blanche de Barack Obama, né d’un père kényan noir et d’une mère blanche du Kansas, est un moment de l’histoire des Etats-Unis, 45 ans après l’apogée du mouvement pour les droits civiques menés par Martin Luther King.
Les larmes de Jesse Jackson
L’annonce de la victoire d’Obama a été saluée dans tout le pays.
"C’est une grande soirée. C’est une soirée incroyable", s’est enthousiasmé le représentant de Géorgie John Lewis, qui fut violemment battu par la police dans les années 1960 lors d’une marche en faveur des droits civiques à Selma, dans l’Alabama.
Des dizaines de milliers de militants démocrates ont convergé vers le parc Grant, à Chicago, où Obama devait s’adresser à la foule.
Le révérend Jesse Jackson, figure majeure du mouvement des droits civiques, s’était joint à la foule. Des larmes coulaient sur ses joues.
La succession de George Bush s’annonce néanmoins difficile pour Obama, appelé à relancer l’économie du pays, gérer les guerres d’Irak et d’Afghanistan, composer avec un déficit public proche de 500 milliards de dollars et restaurer l’image du pays à l’étranger.
Barack Obama, 47 ans, sera investi 44e président des États-Unis le 20 janvier 2009.
kuhing a écrit:Martin, on met ton texte dans le p'tit noir 3 ?
(c'est dur d'être représentant de commerce)
Martin.45 a écrit:kuhing a écrit:Martin, on met ton texte dans le p'tit noir 3 ?
(c'est dur d'être représentant de commerce)
Oui, pas de problèmes. ^^
jean a écrit:une petite divergence.
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Le chômage grimpe en flèche aux Etats-Unis
Il est à son plus haut niveau depuis 14 ans.
Des chômeurs américains en 1935. Le spectre de la Grande Dépression est dans tous les esprits.
Des chômeurs américains en 1935. Le spectre de la Grande Dépression est dans tous les esprits. (REUTERS/Franklin D. Roosevelt Presidential Library and Museum/National Archives and Records Administration/Handout)
Le chômage aux Etats-Unis a bondi en octobre à 6,5%, son plus haut niveau depuis plus de quatorze ans, l’économie du pays ayant encore supprimé 240.000 emplois pour son dixième mois successif de licenciements nets, a annoncé vendredi le ministère du Travail.
Ces chiffres sont bien pires que ne le craignaient les analystes, qui tablaient en moyenne sur 200.000 suppressions d’emplois et un chômage à 6,3%, après 6,1% en septembre, ce qui était un plus haut depuis cinq ans.
Il faut remonter à mars 1994 pour retrouver un taux de chômage de 6,5%.
Le brusque bond du taux de chômage s’explique en partie par une révision en forte hausse du nombre des emplois perdus en août et en septembre (respectivement 127.000 et 284.000 contre 73.000 et 159.000 selon l’estimation publiée il y a un mois).
Un indicateur très suivi
«L’emploi a baissé de 1,2 million de postes au cours des dix premiers mois de 2008; plus de la moitié de cette baisse a eu lieu au cours des trois derniers mois. En octobre, les suppressions d’emplois ont continué dans l’industrie manufacturière, la construction et plusieurs secteurs des services. Le secteur minier et celui des soins de santé ont continué à créer des emplois», écrit le ministère.
Le rapport du ministère du Travail sur le marché de l’emploi est l’un des indicateurs économiques les plus suivis aux Etats-Unis. D’une manière générale, les économistes accordent plus d’importance au chiffre des créations ou des destructions d’emplois, qu’ils jugent plus représentatives de la santé de l’économie que celui du taux de chômage.
Le rapport d’octobre traduit bien la dégradation continue de l’économie américaine, dont le PIB a commencé à reculer de 0,3% en rythme annuel au troisième trimestre (par rapport au précédent). La majorité des économistes tablent que la croissance devrait reculer davantage au quatrième trimestre.
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