Breves democratiques

Breves democratiques

Messagede fu hsang le Dim 8 Mar 2009 17:15

voila sur ce topic je mettrais des infos sur l atualite sociale , et juste des infos ,je ne ferais pas de debat sur le bon droit de chacun

Manifestation des salariés de Valeo à Paris, face à face tendu avec la police

AFP - 6 mars 2009

PARIS (AFP) - Des salariés de l’équipementier automobile Valeo, qui manifestaient à Paris vendredi contre le plan de restructuration de leur entreprise, ont tenté de pénétrer dans le siège de la société avant d’être repoussés par les forces de l’ordre.

Vers 13H00, une partie des manifestants faisaient face dans un climat tendu à un cordon de forces de l’ordre qui leur avaient barré l’accès au siège de l’entreprise dans le 17e arrondissement à Paris. La direction a accepté peu avant 13H00 de recevoir une délégation.

Le cortège de manifestants, au nombre de 800 selon les syndicats venus de plusieurs régions de France, avait d’abord tenté de forcer ce cordon.

Repoussés par les forces de l’ordre, les salariés, qui manifestent pour la défense de l’emploi dans leur groupe soumis à un plan de restructuration prévoyant 1.600 suppressions de postes, ont alors tiré des pétards et lancé des tomates sur les CRS.

"On voulait juste forcer le barrage pour remettre au PDG une pétition demandant des informations sur le plan de licenciement et la pérennisation des emplois et on est accueilli par les CRS, c’est inacceptable", a déclaré à l’AFP Denis Bréant, délégué CGT du site de Mondeville, près de Caen.

"Ce sont quand même nos impôts qui vont être injectés dans Valeo", a ajouté le syndicaliste en référence à une récente annonce sur une prise de participation de l’Etat au capital de l’équipementier.

L’Etat, via le Fonds stratégique d’investissement (FSI), mis en place par le gouvernement pour soutenir des entreprises stratégiques confrontées à la crise, a annoncé le 27 février une prise de participation au capital du groupe Valeo à hauteur de près de 19 millions d’euros.
Suivant
fu hsang
 

Re: Breves democratiques

Messagede fu hsang le Dim 8 Mar 2009 17:27

La jeunesse grecque à la dérive
(Le 7 mars 2009)

La jeunesse grecque à la dérive

LeVif.be, avec Belga, 06/03/2009 15:44

Trois mois après les émeutes déclenchées par la mort d’un adolescent sous les balles d’un policier, la Grèce se retrouve confrontée à une radicalisation de sa jeunesse, frappée par la crise, dont les actions coup de poing à répétition inquiètent autorités et experts.

A Athènes et Salonique, les deux grandes villes du pays, les attentats incendiaires, affrontements avec les forces de l’ordre et opérations d’intimidation dans les universités sont devenues monnaie courante, imputés par la police à une nébuleuse anarcho-autonome et souvent revendiqués par des groupes plus ou moins éphémères.

Mardi matin, une vingtaine de jeunes cagoulés et masqués ont incendié neuf wagons d’une rame de métro dans la banlieue nord d’Athènes. La nuit suivante, des jets de cocktails molotov ont endommagé une succursale bancaire de la capitale. Quelques jours auparavant, les vitrines d’un quotidien de droite avaient été détruites à l’issue d’une manifestation de gauche. Fin février, les domiciles ou bureaux d’une dizaine de magistrats, personnalités politiques et culturelles ont été visés par des mini-attentats à l’engin incendiaire.

Des manquements dans un système policier décrédibilisé

"Il y a un activisme latent en Grèce, qui a été réveillé par les troubles de décembre et est alimenté par la crise économique", analyse Panayotis Stathis, porte-parole de la police. "Mettre le feu à une voiture est une chose, mais là nous avons affaire à quelque chose de beaucoup plus inquiétant, des opérations planifiées menées par des groupes organisés", ajoute-t-il.

Il reconnaît que la police va devoir "réorganiser ses forces pour être plus active et efficace", d’autant qu’elle est aussi confrontée à la réapparition du groupe d’extrême-gauche Lutte Révolutionnaire. Cette organisation, classée comme terroriste par l’Union européenne, a notamment revendiqué un mitraillage de policiers qui a fait un blessé grave le 5 janvier à Athènes.

"Toute une mouvance, dont on ne sait d’ailleurs pas grand chose, s’est sentie légitimée par la crise de décembre, et elle a franchi une limite, avec des méthodes plus violentes et aveugles", juge le criminologue Ioannis Panoussis, lui-même passé à tabac fin février quand une quarantaine de jeunes cagoulés ont perturbé une réunion à l’université d’Athènes sur le système carcéral.

Déclenché par la bavure policière qui a coûté la vie le 6 décembre à Athènes à Alexis Grigoropoulos, un adolescent de 15 ans, le coup de colère de la jeunesse a attesté "d’un mécontentement énorme face à l’incurie étatique et à un libéralisme sans contrepoids et a créé une dynamique qui cherche à s’exprimer", juge l’avocat Dimitris Beladis, spécialiste de la guérilla urbaine. Celui-ci s’inquiète aussi d’une "radicalisation symétrique de l’extrême droite", alors que des inconnus ont attaqué fin février à la grenade les locaux d’une association de gauche, provoquant des dégâts matériels.

En l’absence jusque là de toute arrestation, les fauteurs de troubles profitent du "climat d’impunité alimenté par la totale décrédibilisation des forces de l’ordre" en décembre, estime le politologue Théo Livanios, de l’institut de sondages Opinion. Les failles de l’appareil sécuritaire ont encore été mises en relief la semaine dernière par l’évasion de la prison de haute sécurité d’Athènes, pour la deuxième fois en trois ans, des deux plus célèbres détenus du pays : un braqueur de banque grec et un tueur à gages albanais.

L’opposition socialiste, qui a désormais le vent en poupe dans les sondages face à la droite au pouvoir, a réagi à ce dernier accroc en réclamant à nouveau des élections anticipées, estimant que la sécurité des Grecs n’était plus assurée.
Suivant

Imprimer l'article


in http://cettesemaine.free.fr/spip/
fu hsang
 

Re: Breves democratiques

Messagede fu hsang le Mar 10 Mar 2009 00:20

BIOVISION et Valérie Pécresse à Lyon : communiqué de manifestant-e-s et récit de la manifestation mouvementé

Publié lundi 9 mars 2009



Ce lundi 9 mars 2009, plusieurs centaines de manifestant-e-s se sont rassemblé-e-s contre Biovision et la participation de Mme Pécresse à cette foire aux biotechnologies.
Un communiqué de manifestant-es explique les raisons de ce rassemblement.
A la suite du communiqué, un récit de la manifestation et de la violence policière qui s’est exercée contre elle.

Lundi 9 mars 2009 : Valérie Pécresse et BIOVISION ne sont pas les bienvenus à Lyon.

La ministre, qui refuse depuis plusieurs semaines le dialogue avec les enseignants-chercheurs et les étudiants vient prêter une oreille bienveillante au discours du lobby des biotechnologies.

Cette visite est symbolique de la vision du gouvernement en matière de recherche.
Cette dévotion aux industriels des biotechnologies et de l’agro-chimie éclaire aussi les orientations de ce gouvernement dans la gestion de problématiques agricoles et de santé publique.

BIOVISION, qui se prétend un « forum » et un lieu de débat, est en fait une vaste opération de communication visant à la promotion des biotechnologies organisée par les principaux acteurs du secteur. Adossé à cette « vitrine éthique » la convention d’affaires BIOSQUARE permet aux industriels, aux chercheurs et aux financeurs de se rencontrer et de signer des contrats.

Ces rencontres permettent aux divers lobbys participants, industrie pharmaceutique, agrochimie et agroalimentaire notamment, de promouvoir auprès des décideurs, des scientifiques et de la société civile une science au service de leur seuls intérêts financiers.

Pesticide et OGM ne sont que deux exemples de cette techno-science réduite à une recherche appliquée ayant pour seul but un profit à court terme.

Cette stratégie de communication semble efficace puisque depuis sa création, BIOVISION est majoritairement financé grâce à des fond publics et que les biotechnologies sont soutenues à bout de bras par les politiques publiques, plus particulièrement à Lyon.

La bienveillance manifestée envers une recherche soumise aux intérêts mercantiles de quelques multinationales contraste violemment avec le mépris affiché envers les enseignants-chercheurs et les étudiants mobilisés depuis plusieurs semaines.

C’est pourquoi nous nous rassemblons ce jour pour manifester notre refus de cette politique et de ce mépris.

Nous nous battrons pour conserver une recherche libre, indépendante et une université de qualité, gratuite et ouverte à tous.
Nous nous battrons pour un futur sans OGM, sans pesticides, sans agro-carburant mais pour un accès à la sécurité alimentaire et la santé pour tous.

Loin de tout débat, la seule réponse apportée à nos prises de positions est une présence policière massive et un refus de toutes remises en cause.

Quelle ironie que BIOVISON prétende être un lieu de débat avec la société civile :
Nous sommes là, nous manifestons et ils refusent d’écouter…

Récit de la manifestation du lundi 09 mars contre BIOVISION et la venue de Valérie Pécresse à Lyon :

Vers 15h15, une petite centaine de manifestant-e-s est rassemblée derrière l’entrée principale du parc de la Tête d’Or. Un autre groupe (à peu près autant de monde) s’est déjà déplacé en direction de la Cité Internationale.

On commence à y aller, en cortège bien sympathique depuis l’arrivée sonore de la Batucada Militante (Sambactiviste). On sort du parc et on se dirige vers la Cité Internationale via les voies de bus. Jusque là : un flic municipal en uniforme et un flic-médiateur en civil (sans compter notre habituel Roger)

On longe tranquillement la Cité Internationale, sur son côté. On croise le premier groupe (qui reflue vers nous à la vue des premiers CRS) qui nous rejoint. On voit au loin de nombreux véhicules de police nationale.

Le cortège de la manifestation (forte alors d’environ 200 participant-e-s) s’engouffre dans la Cité Internationale, et sort d’elle par son "côté fleuve". Une ligne de CRS. Un gros groupe de manifestant-e-s s’agrippe les un-e-s aux autres et s’avancent en direction des CRS. Le choc, inévitable, est rude. Les condés bloquent et tentent de repousser avec leurs boucliers, puis gazent. Le groupe fait demi-tour. Les fioles de sérum physiologique et les bouteilles d’eau passent de main en main. Les gens se masquent (affluence de policiers en civil).

Le cortège prend alors la direction de la route, pour bloquer ses flux, mais celui-ci stagne sur la nationale, et rapidement - et malgré un début de mouvement en direction des Terreaux - une ligne de policiers des BAC (avec brassards - ! - et casques) se forme derrière nous. C’est alors que le cortège reprend la direction de la Cité Internationale, la re-traverse, et reprend la route du parc (voies de bus). Des grilles de chantier, d’abord utilisée pour barricader la route, servent ensuite de barrières-boucliers servant à protéger le cortège d’une éventuelle charge des BAC (qui nous suivent toujours, et de plus en plus près).

Le cortège pénètre alors dans le parc. On referme le portail. Les BAC rouvrent, laissent entrer "Roger le RG" (sensiblement plus connu du milieu contestataire sous le nom de "Noeud Pap") puis referment le portail.

On reste regroupé-e-s pendant une vingtaine de minutes, face à la flicaille (qui refuse d’entrer dans la parc) mais séparé-e-s d’eux par la grille. Première puis seconde tentative de départ en manif sauvage dans le parc : ratées. "Roger le RG", toujours là, commence à se faire embrouiller, puis s’en va sous les insultes. Les flics partent. L’occasion est trop belle : on ressort du parc par la porte même par où nous sommes rentré-e-s et on re-manifeste le long de la Cité Internationale… jusqu’à arriver au lieu même du forum BIOVISION ! La police, invisible jusque là, se fait remarquer sous la forme de nombreux CRS (coucou !) dans un des recoins de la Cité, en formation de blocage. La "sécu" (une demi-douzaine d’agents de sécurité) bloque physiquement les deux escaliers-accès qui mènent au sous-sol où se passe le forum (les escaliers sont en extérieur), dont on peut apercevoir le buffet au travers des vitres. On s’approche doucement des barrières pour se faire voir et entendre des participant-e-s du forum.

On stagne. Un mec propose l’envoi d’un délégation qui serait reçue par Pécresse ou quelque autre responsable du forum - proposition refusée en masse par les personnes présentes. Un photographe vient nous avertir qu’il a entendu les CRS parler d’encercler la manifestation dans les plus brefs délais. Le croyant sur parole, et voyant de toute façon qu’à part forcer le barrage, briser les vitres, voler la bouffe et se faire arrêter, aucune autre perspective ne s’offrait à nous, on décide de faire marche-arrière et de repartir vers le parc. Ce que nous faisons, avant de voir débouler devant et derrière nous CRS et BAC en tenue "robocop" (le photographe disait donc vrai !!!).

On longe le parc, sur la route, très attentif-ve-s aux mouvements policiers (les BAC sont alors sur notre droite et les CRS derrière nous). Les BAC s’activent et bloquent la route devant nous et sur notre côté, voulant nous obliger à emprunter l’entrée du parc, juste à côté d’eux. Quelques personnes commencent à entrer dans le parc, mais la majorité du cortège se masse contre les lignes de policiers armés aux cris de "On prend la route !" ou "On va tout droit !". Le cordon se resserre alors, et la centaine de manifestant-e-s restante se retrouve compressée entre les flics et les grilles, et pour les plus chanceu-se-x, vers les escaliers qui mènent au parc, après la porte. Les coups de tonfa commencent à pleuvoir. Les cris aussi… Puis les flash-balls, souvent à bout portant. Le cortège commence à courir et à se disperser, dans le parc et surtout dans la confusion, mais se rassemble rapidement à une cinquantaine de mètres des escaliers de l’entrée. On entend les derniers coups de flash-balls, les derniers cris, puis on voit arriver les dernières personnes vers nous.

On essaie de faire le bilan, mettre temporairement la rage - ou la douleur - de côté pour penser prioritairement aux arrêté-e-s. Au bout de quelques minutes, on compte entre 2 (pour sûr) et 6 (presque sûr) arrestations lors de la bousculade. Beaucoup de personnes frappées. Une jeune fille saigne du crâne… Un homme s’effondre à terre, rapidement secouru par ses ami-e-s. On appelle les pompiers, commence à discuter d’où se rassembler pour organiser la solidarité, stagne. "Roger le RG" se fait embrouiller une dernière fois, et on lui fait comprendre qu’ils risque de lui arriver des bricoles si on le revoit à un rassemblement ou à une manifestations et que les flics regardent ailleurs (en effet, il a été vu par plusieurs personnes en train de balancer des pierres… sur les manifestant-e-s, lors de la bousculade, après avoir été approuvé par un flic !). Il s’éloigne.

Le camion de pompiers arrive lorsqu’on apprend qu’au moins une personne a été arrêtée ou simplement contrôlée (les infos qui circulaient étaient vagues) à la sortie du parc, cinq cents mètres plus loin. Après le départ des pompiers, on s’y dirige en cortège. Arrivé-e-s là-bas : pas un flic (si ce ne sont les deux flics-médiateurs, DDSP ou RG qui rôdent pas loin).

On est encore une petite centaine à l’extérieur du parc, certain-e-s proposent de se rendre à Lyon-I pour organiser la solidarité avec les arrêté-e-s et en profiter pour aider les enseignant-e-s de l’université sur le blocage, tandis que d’autres proposent de se rassembler devant le commissariat où seraient gardé-e-s à vue les ami-e-s…

Je suis parti à ce moment là. J’ignore ce qu’il s’est passé ensuite, sinon qu’un rassemblement a lieu en ce moment même (depuis 19h00) devant le commissariat de la place Bahadourian (derrière celle de la Guillotière).


in http://rebellyon.info/
fu hsang
 

Re: Breves democratiques

Messagede fu hsang le Jeu 12 Mar 2009 00:25

Les plans de la nouvelle prison de Nancy ont été volés

Libération, 09/03/09, à 18h50

SOCIETE - Avant même sa mise en service, la nouvelle prison de Nancy serait-elle d’ores et déjà l’établissement pénitentiaire le moins sûr de France ? Une information publiée par l’Est Républicain et confirmée par la police locale fait état d’un cambriolage, le 27 février dernier, dans des locaux loués par Eiffage BTP, l’entreprise chargée du chantier de la prison. Bilan du larcin : quatre ordinateurs. Seul problème, les disques durs des appareils contiennent des données confidentielles, notamment des codes secrets et des plans de la prison.

Le groupe de BTP (n°3 en France) s’était installé au rez de chaussée d’une barre d’immeuble dans le quartier du Haut-du-Lièvre, sur les hauteurs de Nancy. Aucune plaque n’indiquait la présence du groupe dans ce bâtiment. Mais pas besoin de grandes compétences pour entrer dans les locaux, puisque les voleurs n’ont eu à forcer qu’une porte et une fenêtre pendant la pause des employés entre 12h et 14h. Alors qu’Eiffage a porté plainte et déménagé ses bureaux, le motif du cambriolage reste obscur. Casse ciblé ou simple vol de matériel informatique ? En tout cas, seul le local de Eiffage a été visité et rien d’autre n’a été dérobé.

Le nouveau centre pénitentiaire de Nancy-Maxéville devait entrer en service fin juin pour remplacer l’antique prison Charles III, dans le centre ville de Nancy. Alors que la France est dans le collimateur de l’Europe pour la situation catastrophique de son système pénitentiaire, la nouvelle prison, prévue pour une capacité de 690, personnes faisait déjà face au problème de la surpopulation avec 900 lits d’ores et déjà installés. A l’heure du débat sur la nouvelle loi pénitentiaire (voir le tchat avec l’ancienne Garde des Sceaux Marylise Lebranchu sur Libération.fr), cette affaire rajoute de l’huile sur le feu. Les premiers détenus devaient être transférés à une date confidentielle entre le 22 et le 26 juin.

L’Agence publique pour l’immobilier de la justice (Apij) indique toutefois que "la sécurité du nouvel édifice n’est donc pas remise en cause et (que) la préparation de l’ouverture (...) se poursuit". Selon elle, les ordinateurs volés "ne comportent que des éléments techniques et fragmentaires qui ne sont pas exploitables en l’état, ce qui ne permet pas de reconstituer les plans de la nouvelle structure pénitentiaire".
fu hsang
 

Re: Breves democratiques

Messagede fu hsang le Lun 16 Mar 2009 11:01

Impacts de plomb sur un commissariat

AFP, 15/03/2009 | Mise à jour : 10:13

Le commissariat de police de Montgeron, en Essonne a été attaqué cette nuit vers 2h30 du matin par un ou plusieurs individus qui ont tiré au fusil de chasse et laissé 250 impacts de petit plomb sur la porte d’entrée. Aucun policier n’a été blessé, selon la préfecture. Les fonctionnaires de garde dans la nuit à l’intérieur du bâtiment ont entendu des tirs. Lorsqu’ils se sont précipités dehors, le ou les tireurs avaient déjà pris la fuite.

D’après les premiers éléments de l’enquête, 250 impacts de petit plomb ont été relevés sur la porte d’entrée du commissariat qui a été la seule visée. Il pourrait s’agir de tirs à la chevrotine, précise cette même source policière. Des expertises doivent encore confirmer cette hypothèse.

Le commissariat de Montgeron a été chargé de l’enquête. La police ignore si cette attaque a un lien éventuel avec des personnes gardées à vue au même moment ou avec des affaires en cours.

Mercredi, un garçon de 17 ans avait été légèrement brûlé au visage par un tir de pistolet d’alarme chargé à blanc à l’intérieur d’un autocar scolaire devant un lycée de Montgeron. L’auteur présumé du tir avait été interpellé.
Suivant

Imprimer l'article
fu hsang
 


Retourner vers Actualités

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 11 invités