Putanisme patriarcal, putanisme social

Putanisme patriarcal, putanisme social

Messagede Faubert le Lun 6 Nov 2017 07:38

Certes
Tout harcèlement est à proscrire
Comme
Toute exploitation est à abolir
Harcèlement de l'exploitation
Exploitation du harcèlement
Or, TOUT est harcèlement
Or, TOUT est exploitation, c'est bien embêtant
Ce qui peut devenir ambigu, plus que dérangeant
Quand la chasse est ouverte
Avec pour tout, partout, la délation offerte
Quand l'on règle des comptes
Comme une guerre des sexes qui monte
D'anciens ressentiments qui s'affrontent
Des vengeances qui s'affirment, sans honte
Une sempiternelle vendetta
Je t'avais fait ceci, tu m'avais fait cela
Et c'est ainsi, que finalement, la société entière
Est en guerre, contre la société entière
Moi, contre toi
Toi contre moi
Eux contre elles
Elles contre eux
Lui contre elle
Elle contre lui
Les raisons sont toujours variées
C'est pas seulement en sexualité
Hommes humiliés, femmes harcelées ou violées
Avant tout, par le salariat
Tout le monde aliéné
Avant tout, par le patronat
Tout le monde exploité
Avec aussi par ailleurs, des femmes
Humiliant certains hommes, dès qu'elles en ont le pouvoir
Avec aussi par ailleurs, des hommes
Harcelant ou violant des femmes, dès qu'ils en ont le pouvoir !
Et ceci, par la situation sociale
Selon son inscription dans la hiérarchie du capital
Sa puissance de feu, donc son argent
Mais pas seulement, le dominé pouvant devenir dominant
Sous le capital, tout ment l'argent, car l'argent ment
Et la femme, qui est d'ailleurs le vrai sexe fort
Avec sa plastique si séduisante comme faux tort
Est un sacré objet gratifiant pour le sexe masculin
Et l'homme qui est d'ailleurs le vrai sexe faible
Est un sacré objet gratifiant pour le sexe féminin
Ou bien aussi le sexe féminin pour les sexe féminin
Ou bien aussi le sexe masculin pour le sexe masculin
Peu importe, c'est selon les envies et les besoins
Mais les pulsions sexuelles sont quasiment les mêmes
C'est selon les temps, selon les lieux, la culture qui n'est pas la même
Mais à force de conditionnement
Le capital fait toujours tout croire, évidemment
Avec tout ce qui divise
Et qui le nourrit
Avec tout ce qui sépare
Et qui le nourrit
Comme tous les syndicats et toutes les corporations
Toutes les notoriétés, toute la spectacularisation
Et voilà, de nouveau en actualité, la délation
C'est qu'à force de bien se déguiser
Et d'appellation savoir changer
Le fascisme a su partout s'imposer
D'interdiction en interdiction
De délation en délation
Le fascisme décomplexé est comme une banalité !
Donc, pas mieux qu'en 1936
Aux Jeux olympiques de Berlin
Et déjà Coca-Cola, déjà vilain
" Un pays, un peuple, une boisson "
Et de la France, une participation
Avec feu Pierre Mendès France, seule opposition
Et toute la complicité, déjà, de la députation
Pas mieux
Que les 20.000 euros dépensés par mois
Pour conserver la momie de feu Lénine
Toute une fausse bonne conscience crétine
Mausolée, en vérité, du communisme de guerre
Contre, par exemple, feu Nestor Makhno et son anarchisme révolutionnaire
Lénine père de Staline, Staline, père de Poutine
Avec aussi, feu Trotski, massacrant toute humeur mutine
Autre fossoyeur de la révolution, opportuniste de vermine
Du fascisme rouge au fascisme brun
Il faudra en découdre avec les poings
Chaque fascisme se croyant le plus malin
Mais très vite, tout s'oublie
D'une génération l'autre, c'est fini
Et qui, par exemple, se souvient aujourd'hui
Du champion du monde Eugène Criqui
2 juin 1923 en poids plume
Boxe anglaise qui parfois s'enrhume
Comme s'oubliera aussi
Toute technologie le veut ainsi
La voiture à essence ou à Diesel
Et dès maintenant, la voiture électrique y est rebelle
Certes, encore 31 millions, en France, de voitures à essence ou à Diesel !
Mais, donc en France, en cet instant
Cent mille voitures électriques, c'est dément
Or, pour deux millions de voitures électriques
Il faut deux réacteurs nucléaires, c'est charmant
Hélas, n'en doutons pas
Et personne n'en doute, n'est-ce pas !?
Petit à petit
Toute technologie fait son nid
En ce temps d'astronomie gravitationnelle
Alors que 3/4 des miels récoltés sont comme du fiel
Et ce sur les cinq continents
Traces neurotoxiques, des insecticides, édifiant
Néanmoins, et sans barguigner
En 2016, 3000 tonnes, de la pollution déversée
Du profit immédiat toujours à l'aise
Et nous les prétendus humains
Communiquant finalement moins bien
Que les arbres médecins
Qui tissent des liens de solidarité
Qui se souviennent et savent entre arbres, coopérer
Alors, donc, que le meilleur herbicide
Serait le blé, mais l'industrie phytosanitaire, n'est pas lucide
Et c'est forcément l'engrais azoté
Bien sûr, qui est de loin, le préféré
Avec maintenant, le sulfoxaflor, le dernier-né
Car, on l'oublie trop souvent
Sous le capital, tout se loue, tout s'échange, tout s'achète, tout se vend
Tout y est du viol, tout y est violent
Il y faut séduire, il y faut donc mentir
Enfants rois, adolescents rois, adultes rois, tyrans ou martyrs !
Et c'est ainsi
Des ( né en 1967 ) Christophe Rocancourt
Victimes ou complices, toute une cour
Triomphant
Du toc en stock, au tout clinquant
L'argent ouvrant des sexes et des bouches
Vraiment, l'argent c'est louche
Le capital et ses gens
Ne respectant et n'admirant que l'argent
L'argent du talent, le talent de l'argent
Quand seul l'argent compte
Avec donc, finalement, aucun vrai mécompte
L'argent comme principal AGENT DU CAPITAL
Tout ce qui l'engraisse est SON AGENT, fatal
Le capital, de tout milieu, est putain
Christophe Rocancourt en échoue le malsain
Belles voitures, belles nanas, bons restaurants
Belles maisons, la vraie laideur, finalement
Le capital c'est putain
Le capital, c'est tout vain !

Patrice Faubert ( 2017 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
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