On croyait toucher le fond... Mais non! Il y a toujours moyen de creuser un peu plus:
A peine nommé garde des sceaux, Bayrou est convoqué devant la justice pour diffamation. Il devra donc faire face à sa justice, en toute indépendance, et, bien sûr, tout cela serait normal et ne poserait aucun problème... C'est, en tout cas, ce que l'on voudrait nous faire avaler... Jusqu'à quel point nous prendra-t-on, nous tous, pour des cons? Il semblerait, là aussi, que les limites puissent toujours être repoussées.
Ce ministre n'est pas accusé uniquement de diffamation. Il est accusé aussi, depuis plusieurs années, de détourner des fonds européens, dans le cadre d'emplois fictifs, au profit de son parti, le Modem. Il n'a jamais, non plus, répondu à ces accusations, ni devant la justice, ni devant personne. Peut-on croire, qu'en tant que ministre de la justice, il s'obligera à répondre de ses actes ? J'en doute.
On se rappelle aussi que le vice-président de son parti, il n'y a que quelques mois, était en train de se branler devant des gosses dans un magasin de bricolage mais, là encore, cela ne serait pas trop grave car les enfants n'auraient rien vu... Le dossier serait donc clos et l'affaire semblerait bien enterrée. Espérons, tout de même, que ce genre de pratique ne se généralise pas trop dans son ministère car la "justice" des tribunaux est déjà bien assez dégueulasse comme ça.
On en arrive au pire. Ce ministre de la justice, qui traîne déjà de plus grosses casseroles que tous les ministres précédents réunis, nous concocte un projet de "moralisation de la vie publique"! C'est le comble, on croit à une blague, à une fake news, mais non!
On nous promet donc une "moralisation" avec, comme base, déjà trois piliers: la diffamation, le détournement de fonds et la pédophilie.
Il faut dire que ces trois piliers sont, en effet, des connexions importantes entre le Modem et la République En Marche:
Macron a toujours eu un goût très prononcé, lui aussi, pour la diffamation envers les pauvres, que ce soit les ouvriers qu'il qualifie d'illettrés, les chômeurs qui, prétend-il, attendent tout de l'autre, les gens du Nord qui seraient tous des alcooliques, et j'en passe.
On retrouve ce même mépris pour le peuple chez tous ses proches, comme Richard Ferrand, qui explique l'emploi de son fils comme assistant parlementaire, pour la modique somme de 8 700€, en déclarant sans rire:
Ce n’est pas simple de trouver un jeune, volontaire, pour travailler cinq mois, qui sait lire et écrire correctement, aller sur internet.
Le détournement de fonds est une spécialité pour ce même Richard Ferrand, qui a aussi payé pendant des années un loyer à sa femme avec des cotisations de mutuelle, ou pour un autre proche de Macron, Alain Touret, qui paye ses vacances, son golf et ses courses chez Darty avec son indemnité parlementaire. La pratique du détournement de fonds publics et autres semble donc assez généralisée à la REM, à un tel point que, quand les faits sont révélés, leurs auteurs semblent ne même pas comprendre ce qu'on leur reproche et s'accrochent jusqu'au bout à leurs privilèges et leurs pratiques d'escroc.
Quant à la pédophilie, sans trop épiloguer sur l'origine des relations conjuguales des Macron, on peut énumérer, sans commentaires, quelques uns de leurs soutiens, outre le Modem, comme Cohn-Bendit, Frédéric Mitterrand ou même le cardinal Barbarin... Pourrait-on imaginer meilleurs ambassadeurs de la cause?
Il restera quand même à convertir l'ensemble des français à cette curieuse conception de la morale... Peut-être même qu'ils ne se laisseront pas faire et que la véritable morale de cette histoire sera une belle révolution ...