Bakounine : Masses et miniortés révolutionnairesRené Berthier« Certes, il y a dans le peuple assez de force spontanée ; celleci
est incomparablement plus grande que la force du
gouvernement, celle des classes [dirigeantes] comprise ; mais
faute d’organisation, la force spontanée n’est pas une force réelle.
Elle n’est pas en état de soutenir une longue lutte contre des
forces beaucoup plus faibles mais bien organisées. Sur cette
indéniable supériorité de la force organisée sur la force
élémentaire du peuple repose toute la puissance de l’Etat.. » (...)
« Ainsi, la question n’est pas de savoir si le peuple est capable de
se soulever, mais s’il est apte à former une organisation qui puisse
assurer la victoire du soulèvement, une victoire qui soit non pas
éphémère, mais durable et définitive. » (« La science et la
question vitale de la révolution », mars 1870.)
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