Hier, après avoir appris la nouvelle par un pote et m'être informé, j'ai intitulé un document :
"Allah, oh! À boire (on a soif)"
Et 4-5 pages sont venues d'un trait, sur la liberté d'expression et la question des "valeurs sacrées".
On ne peut pas justifier ce qui s'est passé, mais il faudrait voir à ne pas verser dans le fanatisme non plus...
Plutôt qu'inviter à la vengeance, à la "réaction", il faudrait à un moment se soucier d'essayer d'expliquer la situation.
Depuis plus de dix ans, des guerres illégales sont menées au frais du contribuable contre des pays musulmans. On les accuse d'avoir des armes de destruction massive alors que jusqu'ici, nous sommes les seuls à avoir utilisé ces méthodes : contre la population allemande, y compris après la capitulation, et puis contre les Japonnais...
En janvier, Dieudonné est entré dans l'histoire car il fut le premier comique de scène connu dans le monde entier. L'humour se traduit mal et, sans Valls-el-blanco, il n'aurait jamais passé les frontières. Les minorités s'identifient plus à un individu à la peau d'ébène qu'à une équipe de dessinateurs blancs...
Pourquoi l'État se mobilise-t-il pour défendre des blancs, tandis qu'un noir est fustigé et sans cesse face aux tribunaux?
Le livre de Zemmour est sorti récemment et a reçu tout l'appui de l'appareil médiatique qui lui a offert une abondante publicité...
En France, où le clivage architectural est très net, les Musulmans se retrouvent pour beaucoup dans l'incapacité de s'assimiler. Quand l'épicier parle arabe, ainsi que le facteur, le plombier,... les gens ne se prennent pas la tête et parlent arabe... et en viennent ainsi à demeurer pour certains presque analphabètes en français alors qu'ils sont de la troisième ou quatrième génération... Ce genre de problème n'existe pas en Belgique. Nos enfants de Maghrébins parlent néerlandais et/ou français car ils ne sont séparés de la population dominante que par des rues, pas par tout ce qui sépare les Cités de la France : contrôles d'identité permanents, regards méfiants, un cadre qui ressemble plus à des zones sinistrées par la guerre qu'à des lieux d'habitation...
Bref, pour apprendre aux Musulmans à mettre de l'eau dans leur vin, il faut d'une part peut-être montrer l'exemple... et, d'autre part, éviter de leur proposer du vin