A ApocrypheJe ne peux qu'être que d'accords avec toi. Je vais donc suivre ton sage conseil et terminer par ce post.
Cependant je ne sais pas si Boehme est un infiltré mais il pose des questions qui ont le mérite de me faire approfondir certains sujets d'impotence, que tout le monde ne semble malheureusement pas réaliser.
Ainsi je vais profiter de ce dernier post pour les étayer afin qu'ils soient audibles aux plus sourds parmi les entendants, pour les autres, je ne fais pas de miracles..
A BoehmeJe m'en tiens à ce que tu écris, ni plus, ni moins.
Crois tu ? Voyons si cela est vrai.
Des anonymes se trahissent lorsqu'ils donnent leurs noms, non quand ils discourent trop !
Alors c'est que tu méconnais ce qu'est l'anonymat ou ce qu'est discourir.
Et c'est dans l'exacte mesure où Internet commence progressivement à devenir un dispositif de médiation codifié dans le sens d'une marchandisation générale des idées et des pratiques sociales et politiques.
C'est un point intéressant, je vais donc l'expliquer comme il se doit:
Il ne suffit pas pour comprendre ce que je dis de s'en cantonner au strict domaine politico-social, il faut avoir une compréhension pratique de ce dont je parle.
Je conçois tout à fait qu'un utilisateur lambda pour qui internet se résume à ce que l'on peut y voir en surface (Google en très grande majorité et certains sites qui y sont prioritairement référencés comme facebook youtube etc.) ne puisse avoir cette compréhension, je vais donc tâcher de l'expliquer très simplement.
Premièrement il faut savoir ce qu'est Internet. Internet est un diminutif de "Interconnected Network" ou réseau interconnecté en français. Un réseau dans le cas présent est un groupe de machines reliées entre elles telle qu'un ordinateur, une imprimante, une box, un téléphone etc.. Cette interconnexion fonctionne sur un mode dit client/serveur (ne pas chercher à interpréter ça politiquement) en raison qu'une machine émet ou reçois des ondes (et elles font les deux).
Ainsi chez toi ton ordinateur est client de ton routeur, qui lui même est client des serveurs DNS de google (client des TLD). Si l'on souhaite quand même y mêler la politique voici ce qui distingue dans la structure la relation client/serveur d'internet de celle développée par le libéralisme actuel : C'est qu'internet a été conçu à l'origine par les milieux scientifiques et militaire, non pas pour être un "moyen de communication" mais pour être un outil de partage, multiple, décentraliser et peu couteux pouvant résister à une guerre nucléaire (sous la forme de l'ARPANET). Il est par le suite devenu un organisme autogéré et fédéraliste à la surface de laquelle s'est imprégné la peste libérale, mais tu sembles oublier que la surface n'est pas le cœur.
Il faut maintenant comprendre que
tout le dispositif mis en œuvre avec internet peut être réalisé avec quelques ordinateurs comme celui que tu as chez toi (en un peu plus puissant). Parler de "l'Internet", comme ça se fait souvent est d'ailleurs en ce sens une absurdité puisque aussi vrais qu'il y a plusieurs réseaux, il y à plusieurs interconnexions de réseaux (TOR ou FreeNet pour les plus connus en sont des exemples), non pas un Internet mais des internets.
Ainsi si les grosses structures prennent les places les plus visibles d'internet c'est uniquement par ignorance des autres nets et par convention collective (authentiquement collective, à laquelle toi et moi nous participons chaque jour), car ces structures sont les plus connus, puisque les seules mise en lumière. Mais les conventions changent, par la force des idées ou bien celles de la nature, car celles-ci doivent s'adapter aux très nombreuses micro révolutions technologique qui proviennent de la collectivité.
Une bonne illustration fut celle du fameux site "Megaupload" dont la fermeture a fait un tapage médiatique incroyable. Les aboyeurs de ladite presse clamèrent que : Puisque le principal site de "téléchargement illégal" était fermé, les gens ne téléchargeraient plus. Que s'est il passé réellement ? Les trackers de Bittorrent ont vues leur fréquentation augmenter (torrent : protocole de téléchargement), les sites auxquels Megaupload faisaient de l'ombre se sont mis à croitre d'avantage et aujourd'hui le téléchargement est plus actif que ce qu'il ne l'était à l'époque de Megaupload.
C'est pourquoi je pense que c'est à nous Anarchistes, de décider si l'on désir être là lorsque Google et cie péricliterons, et plus immédiatement, si l'on désire participer à cet anarchisme qui s'ignore et qui s’opère dans les couches plus inférieures (en quantité du moins) d'Internet desquelles tout prend source en surface. Je ne parle donc pas seulement de théoriser abstraitement l'anarchisme par ce media, mais de l’expérimenter concrètement et de l'y faire évoluer.
Une fois cette évolution passée si nous sommes parvenus à faire d'internet un espace ouvertement anarchiste, une ré-appropriation de l'espace public physique pourra être envisagée. Non pas qu'il n'y ai pas d'autres solutions, mais celle-ci est à mon sens, la plus appropriée à notre époque.
mais il faut encore comprendre que cette décentralisation ne nuit aucunement à la juridiction des bonnes dictions et de la tenue des commerces.
En effet elle ne lui nuit pas, elle lui passe au travers. Elle est donc un moyen (et non une cause) par lequel une éventuelle destruction de la juridiction actuelle peut s'opérer mais aussi un moyen par lequel nous pouvons nous organiser pour passer "sereinement" cette destruction et établir ensemble la société futur.
Apres coup, toutes tes interprétations douteuses ne tiennent plus :
"Tu tombes dans le même travers que j'ai évoqué : tu fais d'Internet une sphère isolée, une réalité indépendante de l'espace public et étrangère aux pratiques sociales."Tu vois bien que je le lie profondément à l'espace public, je le considère d'ailleurs comme un "espace public logique", à la manière dont on dit d'un composant informatique qu'il est logique ou physique.
"mais cela ne signifie pas qu'elle permet certaines formes de communication à l'exclusion d'autres."Ca ne tiens plus, j'ai expliqué pourquoi.
"Bien au contraire : elle les permet toutes"C'est donc ce que je disais..
"elle les permet toutes [les formes de communication]. Ce qui est très problématique. Cela n'aboutit pas à attribuer à l'Internet une quelconque neutralité"Ca aussi c'est intéressant.
Comme je l'ai dit plus haut ce qui fait la force d'internet c'est de pouvoir passer au travers de la juridiction actuelle et cela car
elle peut passer outre toute forme de juridiction qui prendrait conséquemment la forme d'une neutralité..
Cela me parait d'ailleurs absurde d'être sur un forum anarchiste et d'être favorable à la neutralité.. m'enfin.
"il s'y fait des fonctionnements et des dysfonctionnements; lesquels ne sont nullement des effets de structure, mais des effets qui sont totalement étrangers à toute structure réelle d'échange, des effets produits par des images, des sons et des signes."Je n'ai pas dit que les fonctionnements et dysfonctionnement étaient des effets de structures, je pense que les causes sont naturelles et très diverses, depuis toujours les choses fonctionnent puis dysfonctionnent, c'est ainsi.
"Il n'y surgit pas des idées "bonnes" ou "mauvaises" — ce serait encore trop beau ! — mais il y a des pratiques langagières abrutissantes qui annihilent toute velléité de pensée, des pratiques virtuelles aliénantes qui empêchent la production d'idées et de critiques. "Donc à t'en croire, toi qui post sur un réseau et contribue de ce fait au développement de celui-ci et donc de ceux avec lesquels il est interconnecté (internet quoi..),
tu ne produis pas d'idées, mais des pratiques langagières abrutissantes qui annihilent toute velléité de pensée, des pratiques virtuelles aliénantes qui empêchent la production d'idées et de critiques.
Dans le cas présent tu es soit incohérent soit idiot..
"Internet empêche tout simplement de communiquer autrement que dans le non-sens d'une nullité intégrale."Pardi ne t'accables pas autant !
Je ne vais pas continuer la liste des faussetés que tu projettes sur mes pensés car tout ce paragraphe est du même niveau.
Lorsqu'on quitte les rondeurs pleines de l'abstraction, c'est moins évident. Encore une fois, les dispositifs de médiation découlent et conditionnent les relations sociales dans la pratique. Un pseudo-critique, s'il veut continuer à être publié, doit pour son intérêt bien compris épargner des copains et oublier certains productions culturelles indignes. Il est même le plus souvent obligé de les encenser. De manière analogue, le journaliste doit s'incliner devant toutes les niaiseries et les manies de l'époque pour continuer à délivrer ses piges. Cela implique une forme d'écriture, qui est à peine une écriture pour être une espèce de galimatias qu'ils appellent "information". Ce ne sont pas seulement, cher Julien, mon ami, mon ennemi, mon lecteur, les dispositifs de médiation qui font la poule médiatique. Tu oublies l'oeuf qu'il pond, et plus encore, tu oublies la forme publicitaire qui fait sa rotondité. Le style, c'est pour toi, public mon amour. Nous te bourrerons le mou avec des expressions toutes faites et que t'iras répéter ailleurs pour plus de démocratie, comme "bon-sens collectif", "défendre des idées", "utilité publique".
"les dispositifs de médiation découlent et conditionnent les relations sociales dans la pratique"
C'est tout à fait exacte et internet étant un dispositif de médiation mis entre les mains du plus grand nombre, celui ci influe plus que les autres sur toutes les sphères de la société, les plus hautes comme les plus basses, dans le bon sens comme dans le mauvais. D'où mon message central qui est : approprions-le nous pour en faire quelque chose de bon plutôt que de ne rien faire.
" Ce ne sont pas seulement, cher Julien, mon ami, mon ennemi, mon lecteur, les dispositifs de médiation qui font la poule médiatique. Tu oublies l'oeuf qu'il pond, et plus encore, tu oublies la forme publicitaire qui fait sa rotondité."
Et toi qui n'es pas sans savoir qui les fait, tu sembles oublier qui les laisse faire et c'est une faute bien pire encore.
"Nous te bourrerons le mou avec des expressions toutes faites et que t'iras répéter ailleurs pour plus de démocratie, comme "bon-sens collectif", "défendre des idées", "utilité publique". "
Pour plus de démocratie oui, mais de
démocratie directe.Bon sens collectif ? Ah, le bon sens... "Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée", disait Descartes. Ca part mal, dès le début. Le bon sens, est-ce que c'est celui du péquin qui cultive ses navets dans le sud de la France ? ou bien celui du journaleux qui ne sait décidément pas ce qu'il écrit ? A moins qu'on entende par-là jugeote. Mais c'est vrai que "jugeote", ça fait moins sérieux à côté du ronflant "bon sens collectif". Où est la jugeote de celui qui verra dans ce mot qui fait autorité un tour de plume insignifiant ?
Descartes était assurément en son époque un homme de bon sens. Et dit moi en quoi le bon sens serait-il différent pour un cultivateur de navet que pour un journaliste ? Le monde leur apparait différemment mais chacun se retrouve dans le bon sens. Et non je ne parle pas de jugeote, mais d'une chose bien plus élevée. C'est la "jugeote" qui sépare les hommes, c'est le bon sens qui les rassembles.
Défendre des idées ? C'est ce qu'ils font à longueur de temps: défendre des idées reviennent pour eux à défendre leur commerce. Pourtant, jusqu'à récemment ce qui importait en politique n'est pas de défendre une idée, mais de les confronter. Mais c'est vrai que défendre, c'est plus vendable. Il y a le frisson de la menace et de l'opposition, qu'on ne nomme jamais bien sûr, ou alors très vaguement. Non pas les idées d'Untel, encore moins les idées d'Untel qui écrit dans le torchon X, mais les idées de la gauche ou de la droite, les idées du FN/ du lepéniste, les idées du PS / du socialiste (j'en ris encore), etc.
Tu joues sur les mots, défendre une idée implique qu'il y en ait une de laquelle il faut se défendre, il doit donc y avoir confrontation pour qu'il y ait défense, mais je crois que tu as raison dans l'idéal. Cependant l'on peut distinguer deux intentions dominante dans la confrontation : l'une est une intention d'opposition au moyen d'un choque frontal et tranché, l'autre une intention de réconciliation au moyen d'une réciprocité dans la critique comme dans son acceptation. Ainsi la première je l'appelle défendre, la seconde je l'appelle échanger.
Dans le cas de l'anarchisme, nous n'avons pas un poids dans la société suffisant pour prétendre 'échanger' puisque l'on se verrait immédiatement écrasé par le poids de l'hystérie collective au premier désaccords, en revanche nous pouvons prétendre 'défendre' l'anarchie en la confrontant au système oligarchique actuel, pour proposer une alternative radicalement différentes de celles aujourd'hui proposées. Mais notre objectif ne doit pas être de ce complaire dans cette défense (pour ne pas devenir ceux que l'on critique) mais bien de proposer un échange dès que celui-ci deviendra possible.
Mais mon préféré, c'est utilité publique. Un terme plein, vraiment positif. Que le public recherche de l'utilité ne fait aucun doute. La question de savoir qui au juste est son public n'effleurera pas l'esprit délié du journaliste. Le public a des besoins, il obéit à la loi de l'offre et de la demande, puisqu'on vous le dit ; et en même temps on te signifie notre mépris tout démocratique envers nos lecteurs à travers des analyses simplistes et toujours plus indigentes. Pourquoi se casser le cul alors qu'on peut faire plus simple ? Utilité publique, l'autre nom de l'impératif de diffusion des informations et de vente de papier.
Cela me rassure qu'il n'y a pas que sur ma pensée que tu projettes ton imaginaire.
Je ne sais pas pourquoi tu me parles sans cesse "du journaliste" (et ce sur toute cette partie), déjà je n'en ai pas parlé, ensuite des journalistes il y en a de tout bords. Tu es semblable à celui qui dans son ignorance dit "les arabes tous les mêmes" ou encore "les flics tous des salauds", ce sont des paroles sans fonds et vides de sens.
Ensuite, l'utilité publique ce n'est pas vendre des papiers (chose de laquelle je n'ai pas non plus parlée). C'est agir dans l’intérêt du plus grand nombre. Le journaliste que tu décris, qui n'écrit que pour satisfaire une demande engendrée par le capital pour son propre profit n'est en rien d'utilité publique. Celui en revanche qui écrit pour son plaisir des articles de grande qualité et qui les diffuses gratuitement est d'utilité publique.
Mais peut-être que ce mot fait peur car il pousse à se demander si soit même, dans ces actions, l'on est d'utilité publique. La réponse peut parfois être très rude.
Comprends à présent ce que je dis, car pour l'instant beaucoup de tes remarques passent à cotées du fond : un système faillible est exploitable par essence, le travail et l'organisation collective permettent de trouver ces failles et les moyens de les exploiter. A présent à nous de faire un choix : Profiter que les failles soient plus grandes que jamais auparavant pour se faire une place dans la société Française (au sens culturel), ou bien rester dans l'ombre à laisser le mouvement mourir définitivement devant les idées qui elles, auront suent occuper la place.
L'anarchisme est un projet social, non l'anarchie
En effet je me suis mal exprimé.
Du moins l'était-ce jusqu'à il y a quelque temps. Qu'est-ce qui a changé depuis ? Les projets ne convainquent plus personne. Ces projets ont eu tout l'écho qui leur suffisait pendant deux siècles au moins, mais ça ne marche plus aujourd'hui. La différence fondamentale entre l'écho de naguère et celui d'aujourd'hui, c'est que le premier était suivi de représailles. L'insurrection dans les Asturies et les divers massacres qui s'ensuivirent attirait dans le monde entier un nombre ridicule de journalistes (il en existait, alors) par rapport à ce que la mort d'un seul attire aujourd'hui en France. Aujourd'hui, ce n'est pas un projet qui a de l'écho, mais des spectacles. Le spectacle de la mort de Clément Méric et de Rémi Fraisse, puis le spectacle solidarisant des manifestations solidaires de la solidarité. Et il faut pas croire qu'il s'arrête aux écrans de télévision, ça se déverse même dans ce forum. On réclame tous le spectacle. Il ne faudrait pas que les autres en perde une miette, c'est ça l'essentiel.
Je partage tout à fait cette critique, c'est d'ailleurs celle que j'entendais avec ma petite liste du premier post. Mais je pense que l'anarchisme a le potentiel pour proposer un projet suffisamment convaincant, il faut juste le débarrasser de ses scories.
Je serai donc anarchiste ?
C'est ce que j'ai pensé étant donné que nous sommes sur un forum anarchiste, mais si ce n'est pas le cas alors où tu te situes ?
Apocryphe aurait-il raison quand il dit que tu es un infiltré ?
La fin est amusante, je ne savais pas que l'on pouvai en déduire autant de si peu de choses (dont l'une disant que je ne désire pas m'étendre sur le sujet).
Et ça parle de s'en tenir au texte..
Boehme annonce,
Quand on veut jouer au plus malin sur les questions les plus brûlantes, si j'ose dire, il vaut mieux se renseigner.
-Merci de m'instruire, ô homme de science, adoubes moi de ta connaissance de lumière.
Boehme annonce,
Le manuel des inquisiteurs était infiniment plus tranché sur le sujet. Eymerich parle de "mécréants", de "bêtes", et a assez longuement fait comprendre que ceux qui ne partageaient pas sa foi, pardon, "la foi", étaient bons pour le bûcher
-Navré grand sage, je n'ai pas lu le
manuel des inquisiteurs, peut-être n'en avais-je pas l'utilité, mais je vois par contre que tu sembles merveilleusement instruit de ces choses là et que c'est à merveille que tu emplois leurs techniques.
De plus dans ton infini érudition tu n'as pas sus saisir le sens de "rapport personnel" dans le concept de foi.
Boehme annonce,
A chaque époque sa manière de parler de "la foi". Et la tienne me fait voir que tu ne l'as pas, et que tu ne fais que tergiverser.
-Je ne te savais pas aussi devin, ou bien peut-être es-tu omniscient ? Cela dit tu as raison, je n'ai pas "La foi".
Boehme annonce,
Le temps d'en discuter avec les autres, tu l'as déjà fait crever.
-ô grand devin merci de régir mes règles !
Mais dit moi comment, homme de lumière, puis-je aborder cette chose dans un dialogue sans la conceptualiser, d'autant plus si mon interlocuteur ne la comprend pas de base ?
Surtout que je ne l'ai jamais abordée, si ce n'est pour définir une certaine position sur un autre sujet, que toi grand devin tu as sortis de son contexte et sur laquelle tu t'es mis à trop imaginer.
Boehme annonce,
tout juste assez pour comprendre que ceux qui ont foi en l'Invisible ont avant tout confiance en eux-mêmes, et qu'ils n'ont même pas cette sordide nostalgie des vieilles valeurs chrétiennes. Pourquoi l'auraient-ils, eux qui n'ont jamais perdu l'invisible de vue ?
Bravo, quel beau final !
Mais complètement hors sujet. Peut être cela à t-il put apporter quelques menus lauriers à ton égo pourfendeur, mais à mes yeux tu n'as offert que le spectacle dont tu parlais plus haut ( peut-être devrais tu devenir journaliste ? ). Mais rien n'est dit de bien profond en ce qui concerne le sujet dont il était question, à savoir les critiques de l'anarchisme actuel..
C'est là mon dernier message sur ce sujet,
comprenne qui pourra.