La dynamique de la FA est souvent bouffée par l'unanimisme et la possibilité pour quelques uns de bloquer...
Berckman a écrit:. D'autres, comme les camarades de Lille (GDALE) et de Bordeaux, ont maintenu des groupes locaux où un militantisme local.
qierrot a écrit:kuhing a écrit:Ton analyse et ton expérience sont interessantes.
Je me suis permis de l'inserer comme article dans le prochain bulletin du forum "le p'tit noir"
(toujours modifiable bien sur)
article de quierot sur la CGA
Donc je préfère que celà soit enlevé du journal.
:
Berkman, je n'ai pas dis que Toulouse et Perpignan étaient à l'origine du mal..., ce serait leur donner trop d'importance...
En tout cas celà me donne un peu plus d'éclairage sur le positionnement de Montpelier...peu être trop "réactif" , là ou des anarchistes- communistes comme vers Tours ou Lyon, on ne se seraient pas laissé emporté comme çà, et certainement pas par Toulouse, fief d'un anarchisme identitaire et sectaire, et très "basique", et Perpignan, avec cette autre tradition plutôt très anarcho-syndicaliste...
...et les deux groupes casses-coudes qui ont passé du temps en interne à un espèce d'acharnement insuportable où tout devenait pretexte (et je t'avoue, que "les histoires belges", j'avais fini par laisser tomber...car c'était à ne plus y retrouver ses petits...) ont fini par se retrouver sur la sellette, jusqu'à la porte de sortie...
la scission en grandes pompes...Et après se crée, d'un espace plutôt "fantasmagorique", un espace d'accueil pour les départs succéssifs...et sans qu'il y ai de fond politique véritablement ( c'est pas la scission ORA/FA par exemple...).
ça c'est trop fort ! Une telle bonne fois me laisse pantoi. Nan t'as raison, il ne s'est rien passé. Plusieurs camarades se sont interposé, dont un invité international. Même l'agresseur a reconnu à demi-mot.la supposée agression (elles sont où les preuves formelles de çà ?)
La CGA ne se revendique pas de la synthèse (sans être plate formiste pour autant), contrairement à la FA.
Parallèlement, en 1953, une nouvelle Fédération Anarchiste s'est construite entre les partisans de la synthèse de Sébastien Faure et des militants ouvriéristes, favorables à une organisation fédérale. Son action se base alors sur la possibilité et la nécessité de l'existence de toutes les tendances libertaires au sein de l'organisation, l'autonomie de chaque groupe, la responsabilité personnelle, et un organe de presse intitulé « Le Monde Libertaire ».
Dans les années soixante-dix, ses principes de bases évolueront vers un compromis entre la synthèse de Voline et quelques idées plateformistes, qui intégreront en particulier la lutte des classes.
Aujourd'hui, la F.A. défend un anarchisme pluraliste dans lequel s'expriment les anarchismes contemporains en les faisant cohabiter sur des principes organisationnels et éthiques de fédéralisme et d'entraide. Ainsi les tendances sont nettement moins affirmées, la plupart des individus se déclarant tout simplement anarchistes – sans adjectif.
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