FAU

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Messagede Махновец le Dim 17 Jan 2010 06:23

Le 5-ème janvier on confirmait la décision judiciaire, qui interdit ФАУ ensuite de s'appeler de Berlin comme "le syndicat" ou "le syndicat de base". Devant cela FAU ont interdit déjà la tenue des mesures de la lutte ouvrière. En cas de si FAU se décidera de violer quand même une des interdictions, ФАУ l'amende dans la mesure de quelque centaines de mille euro ou la détention menace. Maintenant une large solidarité est nécessaire. Cette attaque juridique sur la liberté des syndicats en Allemagne non au dernier tour est le résultat de la lutte ouvrière, qui FAU de Berlin en commun avec le collectif ouvrier conduit les mois contre la direction du cinéma de Babilon à Berlin. FAU trouve que cela exceptionnellement l'affaire des ouvriers eux-mêmes décider qu'est le syndicat, ou quel syndicat nous pour nous-mêmes voulons. La décision de justice - qui à ce sens est causale, nous concerne.

FAU a pris la décision par les divers moyens de lutter avec cette interdiction réelle du syndicat. Il est décidé ainsi à la méthode juridique - s'il faut - lutter dans toutes les instances contre l'interdiction. De plus notre plus puissante arme est non la confiance aux cours, mais la solidarité sans frontières. Par l'étranger l'interdiction qui viole les normes internationales a provoqué déjà une grande indignation. Presque que chaque jour se passaient là et il y a des actions de la solidarité. Le temps est venu pour qu'ici qui ne souhaite pas observer tout comme se parfume le travail de syndicat d'en bas, ont été connectés à la solidarité.

FAU de Berlin appelle toutes les organisations de parenté et amicales, ainsi que tous les alliés syndicaux préoccupés, les amis et les compagnons prendre part à la mobilisation internationale avec l'appui de FAU de Berlin. Elle commencera par le jour de protestation le 29-ème janvier 2010. Pour ce jour déjà maintenant dans plusieurs pays on planifie les actions de protestation devant les représentations diplomatiques et les instituts culturels de l'État allemand. En Allemagne 29-ème et le 30-ème janvier les groupes FAU des possibilités mèneront les actions de la solidarité.

Tous les gens qui veulent apporter la part à la divulgation de ce scandale, doivent regarder la possibilité de la participation à l'action dans la ville ou de près. L'information où que s'organise sera divulguée et complétée dans les jours qui viennent - on pourra la trouver sur le site FAU et les sites des groupes locaux. ФАУ salue de plus les initiatives indépendantes.
Le 30-ème janvier à Berlin dans le Salon Rouge Folksbjune a lieu une grande discussion vers les questions de la liberté des syndicats, les changements du monde ouvrier et les questions de l'opposition de syndicat. Se planifie plus.
Aux questions sur le contenu écrivez sur la poste :
soli-faub@fau.org

http://www.fau.org
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Махновец
 
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Re: FAU

Messagede Denis le Dim 17 Jan 2010 22:16

выдающуюся поддержку , Махновец, Denis, Урф !, :Ypa:

"Arbeit macht frei" ... unmöglich ...URF !
Denis
 

Re: FAU

Messagede Jacquo le Mar 13 Juil 2010 00:39

Solidarität mit der kämpferischen Babylon-Belegschaft im Pariser Goethe-Institut

Babylon Mitte und Berlinale

samedi 6 février 2010

[Paris] Babylon Mitte und Berlinale cine revolte 05.02.2010 18:08 Themen : Soziale Kämpfe „Die Revolte der Kino-ArbeiterInnen“. So lautete der Titel eines Flugblatts, das Mitglieder der französischen CNT-AIT am 4. Februar anlässlich einer Berlinale-Vorpremiere von Goethe-Institut und ARTE TV in Paris verteilten. In dem Flugblatt informierten sie über den Kampf der ArbeiterInnen im Kino Babylon Mitte in Berlin und den Kreuzzug der Babylon-Bosse gegen die FAU Berlin sowie über die Verbindungen zwischen dem Berlinale Festival und dem Kino Babylon Mitte. Das Goethe-Institut und ARTE TV präsentierten die Vorpremiere des Films „Die Revolte der Kino-Macher“ aus Anlass des 60. Jubiläums der Berlinale. Eine Gruppe von Aktivisten der CNT-AIT nutzte die Gelegenheit, um die Zuhörer über den Kampf der ArbeiterInnen im Kino Babylon Mitte und das De-facto-Verbot gegen die FAU Berlin zu informieren.

Sie wollten auch auf die Verbindung zwischen der Berlinale und dem Babylon Mitte hinweisen, das eines der Festival-Kinos ist. Im Goethe-Institut wurden Flugblätter mit dem Titel „Die Revolte der Kino-ArbeiterInnen“ verteilt, die den Fall darlegten.

Im Flugblatt wurden die BesucherInnen aufgefordert, die Organisatoren der Berlinale auf die Situation anzusprechen und sie aufzufordern, auf das Babylon Mitte als Austragungsort so lange zu verzichten, bis dessen Bosse ihre Aktionen gegen die FAU beenden.

Es gab gute Diskussionen mit den ZuhörerInnen, die Leiterin des Goethe-Institutes tobte hingegen. Die ersten Worte aus ihrem Mund waren „Was soll das ?“, „Was geht sie das an, sie sollten sich auf Vorgänge in Frankreich beschränken und nicht auf solche im Ausland...“ Sie bekam die Bedeutung von Dingen wie Solidarität und Internationalismus erklärt. Derweil rief sie den Sicherheitsdienst, der kurz darauf eintraf. Nachdem wir alle mit Flugblättern bedacht hatten, verließen wir das Institut so ruhig, wie wir gekommen waren.

Weitere Informationen über diese Aktion sowie über Proteste in mindestens 54 weiteren Städten in 20 Ländern aus Anlass der Repression gegen die Berliner FAU finden sich auf http://www.fau.org/verbot/ (auf Deutsch) sowie http://www.fau.org/verbot/ (auf Englisch).

http://cnt-ait.info/article.php3?id_article=1768

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LA REVOLTE DES TRAVAILLEURS DES CINEMAS

jeudi 4 février 2010

Tract diffusé en solidarité avec la lutte des travailleurs du cinéma Bablylon Mitte de Berlin , à la projection du film "La révolte des cinéastes" organisée par le Goethe Institut de Paris et ARTE pour célébrer les 60 ans de la Berlinale.

Si vous souhaitez diffuser ce texte auprès des instituts Goethe de votre région, vous pouvez télécharger le pdf à la fin du texte.

L’union fait la force, la solidarité est notre arme !

LA REVOLTE DES TRAVAILLEURS DES CINEMAS

Il est courant de parler de « la magie du 7ème art ». Pourtant, contrairement à ce qu’on pourrait croire, ce ne sont pas des petits lutins qui gentiment font tourner les bobines pour vous permettre de profiter de la dernière séance. Si vous pouvez voir des films c’est parce que dans les cabines de projection, derrières les caisses, dans les travées pour ramasser les papiers après la séance, il y a des femmes, des hommes ... des SALARIES !

Et oui, au risque de casser le rêve, le cinéma est une industrie comme les autres. Et qui dit industrie dit argent, profit, bénéfices. Or ce n’est un secret pour personne : dans toute industrie, la meilleure façon de maximaliser les profits c’est encore de présurer les salariés. L’industrie du cinéma, de la réalisation à la projection, ne déroge pas à la règle : intermittents, pigistes ou CDD, c’est précarité à tous les étages ! Oh certes, certains vont répondre qu’il ya aussi un artisanat dans cette industrie, qui vit chichement, et essentiellement de subventions publiques. Justement ; on serait en droit d’attendre de ces entreprises qu’elles soient exemplaires en matière sociale. Hélas c’est rarement le cas. On a déjà eu le cas des cinémas ABC, Carmes ou Utopia en France.

Prenez l’exemple du Cinéma Babylon de Berlin : voilà un cinéma d’art et d’essai tout ce qu’il y a de « branché et engagé ». Il est bien connu des berlinois et héberge d’ailleurs une section de la Berlinale. Son directeur est un homme au dessus de tout soupçon : patron-citoyen, membre du parti De gauche (Die linke), qui projette des films « engagés et sociaux », et qui pour cela reçoit des subventions de gauche (de la mairie SPD-Die Linke). Sauf que c’est juste bon pour le décor ! Dans son entreprise, les salariés sont payés entre 5 euros50 et 8 euros bruts de l’heure, les heures sup ne sont pas payées, le travail le week-end n’est pas considéré, etc ... Business über alles !
KINO BABLYLON BERLIN, OU LE RETOUR DES REVOLTES DU BOUNTY !

A l’été 2009, les travailleurs du cinéma Babylon, ont décidé de réécrire le scénario, mais cette fois sans suivre le script du patron-citoyen. De simples figurants, ils sont devenus acteurs de leur lutte en s’auto-organisant par et pour eux-même. La parole étant redonnée à la créativité individuelle et collective, ils ont alors décidé d’utiliser des modes d’action innovants, s’appuyant sur un boycottage très efficace (car mené sur la durée) pour gagner sur des revendications amples. Le tout avec une participation des salariés eux-mêmes, chose inconnue au pays du syndicalisme institutionnel et paritaire. Tout cela a impressionné largement le public berlinois. Voila qui change des journées d’action sans lendemain, du corporatisme de métier et des trajets rituels pour épuiser la combativité des travailleurs.
(Image JPEG)

Bien sur tout cela n’est pas du goût du patron-citoyen. Bénéficiant de l’appui du parti Die Linke et du syndicat monopolistique ver.di, le patron a multiplié les tracasseries administrativo-juridique pour essayer - sans succès - de casser le mouvement de rébellion. Dernière en date : il vient d’obtenir d’un tribunal l’interdiction du petit syndicat FAU-AIT [1] dans lequel se sont regroupés les travailleurs en lutte. Sous peine d’amende de 250 000 euros ou d’emprisonnement !!!

C’est la seconde fois dans son histoire que la FAU-AIT, née en 1920 dans les sursauts révolutionnaires, se fait interdire. La fois précédente c’était en 1933, après l’accession des nationaux-socialistes au pouvoir...
POUR LA PREMIERE FOIS DEPUIS 1933, UN SYNDICAT OUVRIER INTERDIT EN ALLEMAGNE ET AVEC L’APPUI DE LA GAUCHE EN PLUS ! LA LIBERTE D’ASSOCIATION EN DANGER !

Ce conflit social est pourtant bien modeste. Au-delà de la FAU-AIT, c’est toute organisation autonome des travailleurs, sur les bases qu’ils se donnent eux même librement, en totale indépendance, qui est de fait interdite. Cet arrêt ouvre la porte à la criminalisation d’éventuels mouvements sociaux qui pourraient survenir en cas de réaction populaire contre la crise.

Pour nous ce qui fait sens dans le cinéma ce n’est pas seulement les images qui sont projetées, mais la façon dont elles le sont. L’organisation du travail d’une équipe dans le domaine du spectacle produit autant de sens que le spectacle lui-même.

Si pour vous cette attaque contre un droit aussi fondamental que celui de la liberté d’association fait sens, vous pouvez envoyer des lettres aux organisateurs de la Berlinale pour leur demander de ne plus projeter de film dans le cinéma Babylon, tant que patron maintiendra son attitude : Berlin International Film Festival Potsdamer Straße 5 10785 Berlin allemagne TEL : +49 · 30 · 259 20 444 / info@berlinale.de

http://cnt-ait.info/article.php3?id_article=1766
Alors tu peux bien te balader sur les forums pour cracher toute ta bile, pour moi ce n'est pas çà qui nous fera avancer, ni avancer le mouvement anarchiste qui peine déja seulement à exister.
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