Je n'ecris rien pour ce forum sexiste misogyne ect lis ma signature.
au plaisir de ne plus te lire...
Je n'ecris rien pour ce forum sexiste misogyne ect lis ma signature.
Vilaine bureaucrate a écrit:Je n'ecris rien pour ce forum sexiste misogyne ect lis ma signature.
alcibiade a écrit:bonjour antigone, tu peux passer mon texte dans le journal . ou trouve t'on ce journal ???salut
ChoueTTe a écrit:Pour l'édito j'reste à disposition pour contribuer si y'a besoin mais ne connaissant pas l'exercice je me sens incapable de le rédiger à moi seul !!
Ne craignons rien… nous sommes leur peur !
Plus d’un an maintenant que la grande arnaque de la « crise » sévit, et plus d’ un an que cet ordre pourrissant se porte toujours aussi bien et plein d'insolence.
Certes, il ne nous a pas fallu la crise pour comprendre qu'il était légitime de tout renverser, mais les intentions de nos tortionnaires sont désormais tellement claires que même ceux qui aimaient se complaire dans une naïveté insultante sont forcés d’ouvrir les yeux.
Les médias semblent avoir trouvé le moyen d’occuper l’esprit de la masse en agitant la peur de la grippe A – technique du poulpe – en nuage d’encre médiatique.
On aimerait entendre parler plus fréquemment des morts liés au paludisme ou au choléra…
En tout cas, ça nous manquait ! Après les chiens qui se liguent contre les humains, les avions qui se crashent en série, ou encore les anarchistes qui squattent près des lignes SNCF et qui lisent - voir sont soupçonnés d'écrire ! Horreur absolue ! - des livres qui ne vont pas dans le sens de l'ordre et de la pensée établi... ils trouvent ce qu'ils peuvent !
Pendant ce temps, des licenciements se poursuivent à la pelle et mettent des milliers de gens sur la paille (Combien de familles détruites ? De salariés devenus ivrognes ? Et de gosses laissés sans rêves ?).
Et pendant qu’est diffusé un film sur le groupe dit Manouchian, « L’armée du crime », et que des tas de personnes s’émeuvent à la vue de ces jeunes gens – tous étrangers – qui sont morts pour le « pays des Droits de l’Homme", Il est désagréable de voir que la mécanique répressive et raciste de ce même pays à Calais (et ailleurs, celà va de soi), où les expulsions et matraquages ont été bon train pour chasser les migrants, n’engendre quant à lui pas ou peu de réactions.
Les Raffles de sans-papiers actuelles n’ont pourtant pas grand-chose à envier aux rafles de juifs, de communistes, d’anarchistes, et de tout ce qui n’était pas conforme aux volontés du nabot surexcité autrichien.
La France et ses relents pétainistes, nous connaissions… c’est l’indifférence du peuple qui est effrayante, même si elle n’est pas nouvelle.
Tant que nous ne ferons pas la guerre au véritable ennemi, nous le renforcerons.
Tant que nous nous leurrerons dans les utopies réformistes, nous entretiendrons un système d’oppression. On ne peut réformer une société dont les bases sont pourries.
Lorsque l’humanité se sera suffisamment libérée de ses chaînes pour pouvoir se passer des politiques, des patrons, des médias aliénants (pléonasme ?), et de tout ce qui constitue une forme d’autorité ou d’oppression, nous pourrons saluer un vrai progrès, un véritable pas vers la Liberté.
Tous les autres schémas, qui se répètent de siècles en siècles, ne sont que de la poudre aux yeux visant à occuper l’esprit de ceux qui ont du temps à perdre.
Ceux qui ont du temps à perdre : ceux qui parlent de politique.
Ceux qui croient encore, par on ne sait quelle illumination que l'on se surprendrait presque certains jours à leur envier, que la politique pourra un jour changer le monde...
Nous sommes leur peur… ou leur confort, tant que nous serons occupés à nous diviser et à nous complaire dans la léthargie.
Ne nous laissons plus terroriser ! La peur doit changer de camp !
Combien de familles détruites ? De salariés devenus ivrognes ? Et de gosses laissés sans rêves ?
Les Tiqquiniens, appellistes, coupat and co, ne sont pas anars."ou encore les anarchistes qui squattent près des lignes SNCF et qui lisent".
Quel rapport? ça détruit 1) des individus 2) des familles.."Combien de familles détruites ?"
Justement il faut definir tout ce qui est autorité et oppression et pour l'instant nous ne sommes pas d'accord.Lorsque l’humanité se sera suffisamment libérée de ses chaînes pour pouvoir se passer des politiques, des patrons, des médias aliénants (pléonasme ?), et de tout ce qui constitue une forme d’autorité ou d’oppression, nous pourrons saluer un vrai progrès
Pas d'accord.Ceux qui ont du temps à perdre : ceux qui parlent de politique.
Ceux qui croient encore, par on ne sait quelle illumination que l'on se surprendrait presque certains jours à leur envier, que la politique pourra un jour changer le monde...
Nous sommes leur peur… ou leur confort, tant que nous serons occupés à nous diviser et à nous complaire dans la léthargie.
Ne nous laissons plus terroriser ! La peur doit changer de camp !
Les Tiqquiniens, appellistes, coupat and co, ne sont pas anars.
Quel rapport? ça détruit 1) des individus 2) des familles..
Justement il faut definir tout ce qui est autorité et oppression et pour l'instant nous ne sommes pas d'accord.
CARNUS a écrit:là : http://orailec.free.fr/ptitnoir12/le%20 ... 20_n13.pdf
Le droit de vivre ne se mendie pas, il se prend !
Le capitalisme jette à la rue pour continuer à faire ses profits
et emploie la répression à tout va contre celles et ceux qui défendent le droit de vivre
Certains travailleurs de l’usine Continental ont été lourdement condamnés
pour s' être attaqués dans une rage légitime à la sous-préfecture de Compiègne dans l'Oise,
symbole et antenne de l' État au service des profiteurs.
Pour en finir avec le monopole de l'exploitation, détenu par le patronat et par l'Etat,
et donc pour en finir avec le chômage comme variable d'ajustement du profit,
il faut que les travailleurs et les travailleuses auto-gèrent partout leurs moyens de production
et que les échanges avec la population soient libérés du capitalisme, de son productivisme et de ses cadences infernales.
Pour cela, nous le savons, il faut unifier les luttes et préparer un mouvement d'ensemble.
Les dirigeants des grands syndicats nationaux se foutent des travailleurs-ses
L’expérience des dernières années nous a montré que le front syndical construit sur une unité de façade,
autour de principes vagues tels que la défense de l’emploi ou du pouvoir d’achat,
ne vise qu’à canaliser les énergies collectives pour éviter qu’elles ne débouchent sur des conflits sociaux plus larges.
Les hauts dirigeants syndicaux font tout pour morceler les luttes et les épuiser dans des journées d’actions destinées à faire relâcher de la pression.
Les chefs des grandes centrales syndicales sont les alliés du pouvoir.
Il faut maintenant prendre directement les choses en main et se débarrasser de ces bureaucrates
au service de l' État et du grand patronat.
Ne laissons plus personne négocier à notre place : dans chaque secteur, retrouvons-nous pour agir,
rompons avec les revendications particulières et isolées ; regroupons-nous à l’échelle des quartiers, des villes, des régions pour construire des structures inter-luttes visant à une solidarité concrète et active
contre les dirigeants et les exploiteurs.
Par l’affirmation de nos désirs et de nos besoins, trouvons à nous entendre sur une production socialement utile, écologiquement viable, et les moyens d’y parvenir, afin d'auto-gérer nos entreprises en dehors des règles du marché capitaliste.
Une seule solution : la lutte pour l’unification des luttes vers la grève
générale,
premier pas vers la révolution sociale et libertaire .
Pour décider ensemble à la base et directement.
Pour en finir avec cette société capitaliste et son état répressif.
Pour une société où les individus puissent tous se donner les moyens de vivre dignement.
Courage , la lutte continue et ne fait que commencer !
Des anarchistes et libertaires de différentes sensibilités (contact par le site internet : http://forum.anarchiste.free.fr)
Contactez le groupe anarchiste le plus proche de chez vous :
(Nom et adresse du groupe)
chaperon rouge a écrit:J'ai quelque peu sourcillé en lisant le texte "feminista!" pour deux raisons principales.
D'abord, j'avoue que la notion de genre est une notion qui origine surtout des usa et qu'il semble que le concept soit moins accepté en France. Mais, il me semble que ça aurait été un bon point de départ: affirmer que la différence entre les genres masculins et féminins est clairement sociale (ce que désigne le concept de genre). De là, l'auteure aurait pu aborder en quoi servait cette division qui s'est perpétuée jusqu'à aujourd'hui pour nous enfermer dans des catégories hommes ou femmes. Une division qui n'est pas individuelle, ni biologique mais sociale.
L'auteure pose qu'affirmer une complémentarité entre les sexes permettrait de sortir de "l'opposition entre les sexes" qui les amènent jusqu'à la "confrontation". On est ici vraiment pas très loin des explications biologiques toutes faites - la femme aurait besoin de l'homme pour la survie de l'espèce... Et on ne sors pas du tout de l'hétéronormativité, même qu'on lui trouve presqu'une explication.
En fait, l'unité voulue entre les sexes apparaît plutôt comme une négation des conditions sociales spécifiques aux femmes en tant que groupe oppressé dans son rôle genré. Ces conditions spécifiques différentes aux hommes sont d'abord sociales. Elles ce sont perpétuées à travers l'histoire, puisque les hommes comme groupe dominant leur ont trouvé toute sorte de raisons (force physique, grandeur de cerveau, sens des affaires, maternité, génétique, etc...) en se basant sur leur science.
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