Espagne

[Johan]

[vroum]

Grève générale en Espagne

http://www.federation-anarchiste.org/spip.php?article951


lundi 27 septembre 2010

La population qui vit en Espagne subit une série de régressions sociales produites par le gouvernement Zapatero, dans un contexte d’effondrement de l’économie et de chomage massif. Pour déréguler davantage encore le marché du travail à travers de nouvelles lois dictées par le patronat, les réformes touchent les droits du travail, les rémunérations des gens privés d’emploi, la durée des contrats à durée déterminée, offre la création d’un marché lucratif de recherche d’emplois parallèlement à l’INEM (équivalent de l’ANPE), l’augmentation de la TVA et baisse ou gel des salaires et pensions diverses, accentuation de la chasse aux travailleurs sans papiers... L’attaque est dure, et généralisée : des millions de travailleurs et travailleuses vont donc payer durement la crise économique, et permettre à l’Etat espagnol et aux patrons d’imposer une logique néo-libérale.

Alors que les travailleurs et travailleuses de France luttent depuis des mois pour protester contre une nouvelle réforme du système des retraites, imposée par le gouvernement et le patronat français, la Fédération anarchiste (France, Belgique) encourage les camarades espagnols à accentuer la pression en faveur de la grève générale. Nous subissons nous aussi l’inertie des bureaucraties des syndicats majoritaires qui ne veulent pas exercer un rapport de force décisif ; c’est pourquoi nous vous encourageons à converger, avec les organisations sociales et syndicales qui se réclament de la révolution sociale, libertaire et autogestionnaire, vers l’union et l’action, afin d’obtenir la victoire par la grève générale et le blocage de l’économie.

Fédération anarchiste francophone

[Johan]

Banque nationale occupée à Barcelone pour promouvoir la grève générale de mercredi

Depuis le 25 septembre, l’occupation du bâtiment qui fut le siège de la Banque Espagnole de Crédit, place de Catalogne à Barcelone, fournit une base à l’organisation de la grève générale du mercredi 29 septembre.





Contre la dictature du capital : Grève générale !


La banque nous asphyxie, le patronat nous exploite,
les politiques nous mentent, les CCOO & l’UGT nous vendent :
Aux chiottes !




Une vidéo: http://blip.tv/file/4166889?utm_source=player_embedded

Communiqué du mouvement 25-S

Aujourd'hui´hui, a 20h (25 septembre), a été libéré l´ancien siège de la Banque Espagnole de Crédit pour diffuser que la grève du 29 septembre doit être le début d´un cycle de lutte continuée pour en finir avec les abus auxquels on est soumis à cause des banques, du gouvernement et des syndicats CCOO et UGT. La pancarte suspendue sur la façade l´exprime clairement: "La banque nous asphyxie, la patronale nous exploite, les politiciens nous mentent et CCOO et UGT nous vendent"

L´idée est celle de creer un espace de confluence pour toutes les personnes qui se sentent seules face à une crise sistematique qui attaque toutes les sphères de notre vie: hypothéqués par la spéculation immobilière, expulsés, désemparés, silences et isolés; jeunes qui avec la reforme laborale auront chaque fois plus de mal à maintenir les droits acquis par nos grands parents; femmes exploitées para la logique capitaliste patriarcale; immigrés auxquels on applique la loi d'etrangerie, transexuels criminalisés pour défendre le droit au propre corps, travailleurs vendus par CCOO et UGT...Les classes populaires souffrent: on est seules et désemparées par cet état absent qui fait de nous de la cher à canon pour entrepreneurs et banques.

Il s´agit d´une occupation symbolique qui veut faire réfléchir et activer toutes les personnes qui veulent plus continuer à être complices des autorités politiques publiques, d´affaires et syndicales. De la politique du pacte et la paix sociale on doit passer à la politique de la lutte et du conflit social. On peut pas rester les bras croisés face à un état qui systématiquement écrase nos droits. Les réductions sociales, la reforme laborale et la soumission des classes populaires peuvent être arrêtées: si le prochain 29 septembre l´on bloque Barcelone et nous faisons face à l´imposition d´une législation qui de plus en plus nous éloigne d´une vie heureuse et socialement juste, on peut récupérer la confiance en nous mêmes et créer des réseaux de solidarité et d´appui mutuel. Et à ce moment là, la continuité de la lutte sera essentielle.

Pour une grève générale, sauvage et indéfinie

Plus d'infos:
http://movimentdel25.org/
http://29-s.net/
http://www.huelgageneral29s.org/
http://www.lahaine.org/index.php?p=48195
http://agenciamarienbad.wordpress.com/2 ... como-ayer/ (un petit historique photo du 29 septembre en Espagne)

[Johan]

Quelques images de la grève générale, en attendant plus...














Plein d'autres photos : http://juralibertaire.over-blog.com/art ... 37871.html

[Johan]

Il y aurait eu des affrontements à Barcelone :



Plus d'infos et de photos : http://juralibertaire.over-blog.com/art ... 53965.html

[vroum]

L'Espagne en grève générale contre les mesures d'austérité

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/09/30/04016-20100930ARTFIG00570-l-espagne-en-greve-generale-contre-les-mesures-d-austerite.php

Les Espagnols reprochent au gouvernement de Zapatero d'avoir tardé à réagir face à l'explosion du chômage.

La grève générale a bousculé l'Espagne sans parvenir à la paralyser. Le service minimum et le manque de popularité des syndicats ont limité le «succès» de la mobilisation, revendiqué par les organisateurs. La bataille des chiffres a frisé l'absurde, une habitude en Espagne. D'un côté, les deux principales centrales, Union General de Trabajadores (UGT) et Comisiones Obreras (CCOO), annonçaient une participation globale de 70%. De l'autre, le gouvernement rétorquait que la mobilisation se limitait à 7,5% pour les fonctionnaires et à 23,28% pour les employés des entreprises publiques.

En fait, la réussite de la grève a varié considérablement selon la géographie et les secteurs concernés. Le BTP et la métallurgie ont ainsi suivi massivement l'appel des syndicats. Et dans le centre de Madrid, la plupart des commerçants, parfois intimidés par les piquets de grève, ont baissé le rideau.

Même ouvertes, toutes les boutiques arboraient dès les premières heures du jour des autocollants portant la mention «fermé pour cause de grève»… posés la nuit précédente par les syndicalistes. Autour de la très touristique Puerta del Sol, un dispositif policier musclé a dû être déployé pour garantir l'entrée dans les grands magasins. À Barcelone, manifestants et forces se sont affrontés lors d'une bataille rangée. Au contraire, la grève était à peine visible dans le secteur des services, dans les villes moyennes et les quartiers périphériques.

Plusieurs semaines avant la mobilisation, les centrales avaient fait des transports leur priorité, dans l'espoir de bloquer l'ensemble de l'économie. Selon le gouvernement, le service minimum -de 20 à 50% pour les trains et les avions- a été respecté «à 98%». À Barajas, l'aéroport de la capitale, peu de vols ont dû être annulés. Une majorité d'Espagnols se montre critique à l'égard du gouvernement de José Luis Rodriguez Zapatero, que tous les sondages placent derrière la droite. Mais les syndicats manquent tout autant de soutien populaire. Les citoyens leur reprochent d'avoir tardé à réagir face à l'explosion du chômage et aux mesures d'austérité: gel des pensions, augmentation de l'âge d'accès à la retraite, diminution des salaires dans la fonction publique… La réforme du marché du travail, qui réduit les coûts des licenciements et en flexibilise les conditions, n'est que la dernière d'une longue liste de mesures impopulaires.

FMI et agences de notation

Le président espagnol, qui affronte sa première grève générale, tente de concilier fermeté et dialogue. Les membres du gouvernement ont répété un à un leur «respect du droit de grève». Pour sa part, le chef de l'exécutif a proposé aux syndicats de les impliquer dans la rédaction des décrets d'application de la réforme du marché du travail… sans revenir sur le fond. Zapatero n'a aucune envie de céder sur une mesure exigée par ses partenaires européens et le Fonds monétaire international (FMI). En gardant le cap, il envoie également un signal aux agences de notations, alors que Moody's menace de baisser sa note de la dette espagnole.

Barcelone
Violentes émeutes en Espagne

http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2010/09/20100930-084858.html

En Espagne, de violentes émeutes ont éclaté, mercredi, à Barcelone, alors que le pays était plongé en pleine grève générale.

Les violences ont débuté vers midi, quand des manifestants ont mis le feu à un camion de police. Les protestataires et les forces de l’ordre en sont ensuite venus aux coups lors de violents affrontements qui se sont poursuivis jusqu’à tard dans la nuit. Plusieurs autres brasiers ont été allumés et des vitrines de commerces ont été fracassées.

Les manifestants protestaient contre le régime d’austérité instauré par le premier ministre Jose Luis Zapatero.

Au cours des derniers mois, le gouvernement espagnol a dû procéder à de nombreuses compressions dans ses finances publiques pour éviter de se retrouver dans une situation similaire à celle de la Grèce.

Le déficit a été coupé de moitié, mais les travailleurs font les frais de ce régime d’austérité. Le taux de chômage atteint près de 20% et de nombreuses entreprises peinent à survivre.

La grève générale de mercredi est la première à survenir depuis 2002 et la première à être organisée sous le règme de José Luis Zapatero. Elle marque une rupture entre le gouvernement socialiste et les grandes centrales syndicales du pays.

Toute la journée, des grévistes ont empêché les camionneurs de livrer leur marchandise aux principaux marchés de Barcelone et de Madrid.

(TVA Nouvelles)

[Paul Anton]

Un dossier sur le forum de la CNT-AIT Caen :

http://cnt.ait.caen.free.fr/forum/viewt ... 84&start=0

[joe dalton]

bein merde, je croyais que cela allez vachement bien las bas, vu qu'ils avaient gagner la coupe du monde !

[Johan]

Aux admins:

Topic à fusionner avec le topic général sur l'Espagne!

[Denis]

A y est !

[BlackJoker]

La gêne et le désir de vivre éclatent à Barcelone



Les gens ont dit basta. Les autorités affirment que c ’étaient des groupes anti-système, des jeunes au look okupa… Eh bien non. C’était nous, ce nous que les fourgons de police hystérique poursuivaient dans la ville des heures durant sans parvenir à le trouver. Ce nous qui applaudissait lorsque les vitrines du Corte Inglés ont été brisées. Ce nous qui a pris la parole lors de la première assemblée dans la banque expropriée de plaça Catalunya et dit : «J’ai presque 50 ans. Je suis au chômage depuis quatre ans après avoir passé ma vie à travailler. Je suis désespérée mais cette okupation m’a rendu le sourire.» Dans la dictature démocratique tout peut se dire et ça ne sert à rien. C’est sûr. Mais que d’un des plus hauts bâtiments de la cité une bannière immense proclame : «La banque nous asphyxie, les patrons nous exploitent, les politiciens nous mentent, CCOO-UGT nous vendent : aux chiottes !» est une vérité trop insupportable pour le pouvoir. Car les gens venaient toujours en plus grand nombre. Et il n’y avait pas de drapeaux ni de slogans faciles auxquels plus personne ne croit désormais. Le discours banal de la gauche était resté derrière. Nous étions simplement des vies précaires qui prennent la parole, et alors pointait tout le désespoir et aussi l’immense envie d’inventer des chemins pour résister ensemble [au féminin]. Pour sortir de cette prison qu’est devenue la vie. «Aux chiottes» était un cri de rage. Mais peu à peu ce cri s’organisait, s’amplifiait, s’enrichissait… et des milliers de voix le faisaient sien. Pour la dictature franquiste tout trouble de l’ordre public était causé par une minorité, et la façon de la disqualifier consistait à dire qu’il s’agissait d’«étudiants». Étudiants étaient synonyme de bons à rien. À présent la dictature démocratique insiste à nous qualifier comme toujours de minorité, bien que dans ce cas on nous appelle voyous et vandales. Il ne savent pas que cette minorité — ce nous qui se rebelle — est celle qui fait l’histoire. La dictature franquiste est (partiellement) tombée. Nous savons aussi que tôt ou tard ce système d’oppression et de misère sera troué comme un gruyère. Parce que des milliers de personnes sont en train d’inventer des milliers de sorties. Et il tombera. Eux, ils ont le jour. Nous, la nuit. Ils ne peuvent pas nous identifier et jamais ils ne sauront qui nous sommes. C’est à cause de cela qu’ils nous craignent tant.



Vidas precarias (Vies précaires) / Gent del carrer (Gens de la rue)

source juralibertaire

[Johan]

Suite au 29/09 la mairie de Barcelone demande une enquête sur les medias libres

Suite à la manifestation du 29 Septembre, la mairie de Barcelone porte plainte et demande une enquête sur les medias libres.

La mairie montre du doigt les sites web qui ont empêché que soit imposé par la presse du pouvoir la sensation qu’à Barcelone, comme dans le reste du pays, le 29 septembre "Il ne s’est rien passé".

Le journal, El pais, se fait l’écho d’une plainte de la mairie de Barcelone contre les "sites web anti-systèmes" car "ils appellent à la violence". Il semble que la grève a réussi à Barcelone, pas seulement dans les rues mais aussi sur le plan mediatico-alternatif, grâce au travail de coordination que développent les mouvements sociaux.

C’est pour cela que maintenant un faux pretexte est inventé pour attaquer certains espaces qui ont maintenu solidairement la population de Barcelone informée et ont dénoncé la répression, ont empêché que soit imposé par la presse du pouvoir la sensation qu’à Barcelone, comme dans le reste du pays, le 29 septembre "Il ne s’est rien passé".

Les sites web de contre-information pointés du doigt par la mairie de Barcelone sont : Kaosenlared, Indymedia Barcelone et La Haine.

http://www.kaosenlared.net/

barcelona.indymedia.org

http://lahaine.org/

Le site Alerta Solidaria
http://www.alertasolidaria.org/
est aussi pointé du doigt alors qu’il n’est pas un site d’informations alternatives mais une organisation anti-répression.


Il semble qu’a Barcelone beaucoup de choses se sont passées et particulièrement ce jour là, c’est pour cela que les institutions réagissent de cette manière.

Traduit de : http://www.europazapatista.org/Tras-el- ... to-de.html

[Johan]

Une vidéo de 30min sur les évènements du 29/09 à Barcelone :
http://dndf.org/?p=7866

[Johan]

Barcelone : action solidaire avec les compagnons russes et biélorusses

Indy Barcelona, 23 oct 2010

(extrait) : La nuit du lundi 18 octobre, nous avons voulu effectuer un petit geste de solidarité avec les compagnons anarchistes de Khimki (Russie) et Minsk (Biélorussie), incarcérés par leurs Etats respectifs en août 2010.

Ce geste a consisté à passer dans trois endroits liés à l’Etat russe et ses intérêts commerciaux.Profitant de notre amie l’obscurité, nous nous sommes rendus au consulat russe, au siège des compagnies aériennes russes et au Centre de la culture et de la langue russe de Barcelone.
Nous avons balancé des oeufs de peinture contre ces porcheries et laissé des tags en solidarité avec les compagnons.

(...) Mort aux patries, aux frontières, aux Etats, au capitalisme et à toute forme d’autorité.

Barcelona - Acto solidario con presos anarquistas y antifascistas

La noche del lunes 18 de octubre, quisimos mostrar un pequeño gesto de solidaridad hacia los compas anarquistas de Khimki (Rusia) y Minsk (Bielorrusia), encarcelados por sus respectivos Estados en Agosto de 2010.

Este gesto consistió en pasarnos por 3 lugares vinculados con el Estado Ruso y sus intereses comerciales. Así, aprovechando nuestra amiga la oscuridad fuimos al consulado de Rusia, a la sede de las Aerolinias nacionales de Rusia y al Centro de cultura y lengua Rusa de Barcelona. En estas insignes pocilgas arrojamos huevos de pintura y dejamos pintadas en solidaridad con los compas.

Para quien no sepa la historia, comentar brevemente que los compas de Khimki (uno de los cuales ha sido puesto recientemente en libertad provisional), fueron apresados por su lucha contra la devastación por parte del Estado, una multinacional francesa y la Iglesia local, de un bello bosque autóctono para construir una puta mierda de autopista con gasolineras, centros comerciales y demás basura capitalista. En respuesta a esta agresión desde el Poder y en solidaridad con la lucha que vecinxs de Khimki llevaban realizando ya un tiempo, una manifestación de 500 anarquistas y antifascistas atacó el ayuntamiento de la localidad. Días después, dos compas fueron detenidos, enfrentando peticiones fiscales de 8 años de prisión. Por su parte, en Minsk, capital de Bielorrusia, tras el ataque con cocteles molotov a la embajada Rusa en solidaridad con los compas anteriores, 7 anarquistas fueron detenidos en un gran operativo antiterrorista, encontrándose ahora mismo en prisión preventiva. Porque no podemos dejar pasar estas agresiones por parte del sistema, porque no podemos dejar de luchar, hemos tenido este pequeño gesto simbólico solidario con los que luchan por un mundo mejor, gesto que esperamos, próximamente pueda estar a la altura de la lucha de nuestros compañeros de Rusia y Bielorrusia, llevada a cabo en difíciles condiciones.

Por último nos gustaría también saludar y dar a poyo a todas aquellas personas luchadoras que se encuentran actualmente en prisión, con una mención especial a lxs compañerxs anarquistas y antiautoritarios detenidxs en Chile, en Grecia, y en Suiza. Porque si la represión no conoce fronteras, y si todas nuestras luchas son una sola, contra la dominación, la solidaridad debe ser una parte de esa lucha y no conocer tampoco fronteras.

Muerte a las patrias, a las fronteras, a los Estados, al capitalismo y a toda forma de Autoridad.

http://cettesemaine.free.fr/spip/articl ... ticle=3644

Madrid : attaque solidaire avec les compagnons chiliens
Indy Madrid, 21/10/2010 - 18:22

Hier 20 octobre, les vitres d’une banque Santander située au sud de Madrid ont été caillassées, et un tag a été laissé : "solidarité avec les anarchistes du Chili". Cette banque a été choisie pour son lien avec la bourgeoisie et l’Etat chilien, étant présente sur une grande partie du territoire chilien, et participant à l’exploitation de ses habitants.

Sortons dans la rue ! Que la rage s’étende !
A nos frères chiliens ! A ceux qui luttent !
Nous ne voulons pas gérer cette misère, mais la détruire !

TIERRA SALVAJE

[Johan]

Youth riot over lack of employment — Melilla, Spain

A large group of young people has caused severe disturbances in the Spanish African city of Melilla for five hours this morning, in neighborhoods inhabited mostly by Muslims, because they were not selected for employment plans activated since December to give work to 1,300 young people in Melilla.

Youth burned cars and containers and formed barricades, forcing security forces to use riot gear. An agent of the National Police was injured by the impact of a stone.

According to information provided by a spokesman of the delegation of the Government, a group of about 50 people, according to official figures and some 100 according to the rioters, mostly teenagers, have starred in a series of disturbances at the entrance to the neighborhood of Cañada de Hidum, riots which have subsequently spread to the surrounding area of Queen Regent park. The rioters formed wood and tire barricades which subsequently caught fire, preventing access to the area.

The protesters believe that job listings are unfair, because sometimes employ four or five components of the same family, while other families with many children have not been offered employment.

http://thereader.es/en/spain-news-stori ... yment.html

[niel]

ICI http://blip.tv/file/4214717
Le film Encendent la rabia du collectif que je viens d'intégrer récemment "Okupem las ondes" qui suit toute la grève générale du 29-s à Barcelone, avec entre autre police secrète, sacage de Levi's et occupation de la banque.
D'autre vidéos à venir sur le mouvement del 25 et les okupas de Carcelona

[wayra warmi]

c'est dommage de mettre comme titre Espagne alors que ça parle surtout de Barcelona, qui est une ville catalane ... d'ailleurs leurs banderoles tout ça sont en catalan en général et pas en castillan/espagnol ..
À la limite mettre "état espagnol" .. parce que sinon je trouve que ça donne raison à l'état espagnol qui dit que BCN est espagnole.

[Antigone]

Les titres des topics sont indicatifs. C'est juste pour situer et permettre aux lecteurs de s'y retrouver.
Pas question de tomber dans les découpages régionalistes, sous-régionalistes. Nous ne sommes pas responsables des frontières; on les subit.
Si l'essentiel de la combativité est à Barcelone, c'est comme ça. S'il se passait des trucs en Andalousie, on les mettrait aussi dans ce topic "Espagne". Et si on donnait à ce topic le nom de "Etat espagnol", il faudrait alors ajouter "Etat" dans tous les autres...

[wayra warmi]

Et si on donnait à ce topic le nom de "Etat espagnol", il faudrait alors ajouter "Etat" dans tous les autres...

ce qui veut dire que pour toi un pays comme la France ou l'Espagne c'est autre chose que des frontières artificielles crées par un état ? Je suis pour rajouter état à tous les autres

[Johan]

Madrid : deux banques attaquées en solidarité avec les anarchistes incarcérés
(Le 30 octobre 2010)

Madrid : deux banques attaquées en solidarité avec les anarchistes incarcérés
Indy Madrid, Sáb, 30/10/2010 - 10:50

Hier matin s’est incendié un distributeur de la banque Caixa dans un quartier sud de Madrid, et juste après une succursale de la banque Santander (déjà attaquée la semaine dernière) a été caillassée. On a pu trouver les tags "solidarité avec les prisonnierEs anarchistes" et "Etat chilien assassin".

Pour la révolte permanente !

Liberté immédiate pour Billy, Costa, y Silvia !!
Liberté pour les anarchistes enfermés par l’Etat chilien !

La solidarité est plus que des mots, utilisons tous les moyens possibles.

TIERRA SALVAJE

Traduit de l’espagnol

http://cettesemaine.free.fr/spip/articl ... ticle=3666