Le système a le don de transformer tout ce qui était magique au départ en cauchemar ! Ainsi, les arts plastiques (j’ai pas trouvé de meilleurs termes là) ont tellement été surexploité via la pub et ses dérivé, sous le nom de graphisme, que l’on ne reconnait plus ce qui serait sensé être de l’art, des pollutions visuelles quotidiennes ! Il en va de même avec la musique, que j’aimais tant par le passé !mais au boulot, au course, a chaque endroit ou tu es sensé te distraire, j’en suis venue à supplier pour chaque secondes de silence ! La musique est devenue le tamtam qui bat le rythme de la production, comme celui de sa sœur jumelle : la consommation !
Plus moyen de fuir désormais ! Fut un temps ou l’employé devait lutter pour faire venir un transistor dans ça boite. C’est fini ! Maintenant dans ma boite, quand le patron a le dos tourné, des employés en profitent pour couper le son, que le patron remet aussitôt ! La musique partout, et tout le temps, c’est la garantie que la réflexion est absente, ne laissant la place qu’a une série de comportement plus ou moins automatiser !
Bon ! Je suis certainement, le plus jeune vieux con présent sur le sol français, mais suis-je le seul à éprouver ce sentiment devant l’omniprésence de la musique ? Mon ras-le-bol est, je pense aussi du a sa forme moderne. Elle reflète si bien la non-communication qui c’est installer comme un devoir dans ce système pourri ! Va en boite, danser tout seule, ou paye la peau du cul pour voir un artiste t’assener son répertoire, sans boire, sans fumer ; dans le fond c’est la même chose : l’échange y est absent ! Y a encore quelque lieu ou l’emploi de la musique revêt encore un caractère festif, lieu gratuit la plupart du temps, mais je classerais pas les revs la dedans !
Ce que l’on appelle le rythme a pu faire croire qu’il véhiculé les germes de la révolte, il a finis par se confondre avec les cadence productive ! Tu mets les sex pistols dans un atelier, et les employés seront plus efficaces qu’avec Adamo !
Du silence bordel !