RÉFLEXIONS SUR LES NORMES ET LA MORALE

RÉFLEXIONS SUR LES NORMES ET LA MORALE

Messagede bajotierra le Dim 29 Déc 2013 15:45

RÉFLEXIONS SUR LES NORMES ET LA MORALE
http://www.cntaittoulouse.lautre.net/sp ... article638

Les nouveaux concepts engendrés par la société contemporaine nous en apprennent bien plus sur l’évolution de cette dernière que le caractère limité de certains d’entre eux ne le laisserait entendre. Le « sentiment d’insécurité », le « risque zéro », la « tolérance » tout aussi nulle que le risque, le « principe de précaution », l’ « intégration »… et maintenant le « glamour » ont ceci de commun qu’ils tendent de plus en plus à nier la réalité et la singularité individuelle au profit de stéréotypes. Du coup, la tension sociétale s’organise autour de seuils inaccessibles et de prototypes platoniques qui n’ont aucune valeur objective et contredisent la diversité extrême du vivant.

CE QUE « LA TEMPÉRATURE RESSENTIE » VEUT DIRE
Pour illustrer cette tendance lourde, je vais m’appuyer sur un exemple d’évolution relativement anodin, tiré de la météo [1]. Pendant des siècles, l’humanité s’est ingéniée à inventer des instruments météorologiques fiables et à les rendre de plus en plus précis (thermomètres, hygromètres, anémomètres…) afin d’obtenir des éléments objectifs d’appréciation et d’échapper à l’arbitraire des sensations. Or, aujourd’hui, on observe, dans l’information météorologique qui nous est délivrée, un retour à la sensation avec un nouveau concept, celui de « température ressentie ». Mais ressentie par qui ? Il semblerait qu’il nous faille accepter qu’en la matière tout le monde ait le même ressenti, ce qui, d’évidence, est absolument faux. Le concept de « température ressentie » repose sur l’invention d’un « modèle-type » d’humain qui nie l’infinie diversité qui rend tout individu singulier et qui fait que certains sont frileux alors que d’autres ont tout le temps chaud.

Au mieux, on peut supposer que cette notion de « température ressentie » a été forgée à partir d’études statistiques populationnelles sur la répartition des sensations thermiques en utilisant une échelle froid/chaud, en fonction de différentes variables météorologiques (température, humidité, vent…), puis, que de fil en aiguille, le modèle de répartition modale majoritaire a été retenu comme norme de « température ressentie » pour toute la population. Si un tel triomphe de la subjectivité - au détriment de l’objectivité - peut exister sans que le problème soit même subodoré par la grande majorité de la population, c’est parce que le contexte idéologique l’a rendu possible.

Quelque part, il a été acté que tout ce qui sortirait de la norme était désormais exclu.

Cette situation dans laquelle chacun est assimilé à un modèle qui lui indique ce qu’il va ressentir constitue un retour en arrière, une régression, que l’on observe encore plus largement dans l’actualité générale. Cette régression est à dénoncer non seulement parce qu’elle est une insulte à l’intelligence mais aussi en ceci qu’elle constitue une des plus grandes menaces pour la liberté.

COMMENT SE MESURE INTÉGRATION ?
Si, s’agissant de la « température ressentie » on peut au moins imaginer les références prises en compte et comment elles sont (mal) utilisées, avec le concept d’« intégration » nous passons de la mal-mesure [2] à la géométrie variable, pour ne pas dire au n’importe quoi le plus absolu. Comment s‘intégrer à un monde qui change ? Qu’est-ce qui est mesuré dans l’intégration et comment ? Existe-t-il des écarts admissibles, ou bien est-ce la loi du tout ou rien ? De quel niveau d’intégration parle-t-on ? Et dans quoi s’agit-il de s’intégrer ?

S’intégrer dans la haute bourgeoisie parisienne, par exemple, se fait sur l’acquisition de codes bien différents de ceux nécessaires pour se fondre dans le monde rural bourguignon. Et s’intégrer dans la classe politique requiert des dispositions particulières (comme une forte aptitude au mensonge éhonté) inutiles dans d’autres milieux. Ce concept d’« intégration » est largement utilisé par le Pouvoir pour justifier l’exclusion de certaines populations. Comme il ne repose que sur du ressenti, il n’y a pas une définition mais des réponses variables et parfois carrément contradictoires.

Ainsi, pour les Roms, il semblerait que la référence soit la sédentarité, comme si la fixité de l’habitat était la norme obligatoire (car majoritaire). Mais ce qui est vrai pour les Roms ne l’est pas pour d’autres : le cadre référentiel peut changer du tout au tout. Ainsi, la « Jet Set », cette bande de nantis, passe son temps en itinérances touristiques et de loisir, allant de la sauterie dans un pays à la réception dans un autre. Pas vraiment des sédentaires donc.

Rappelons également l’envolée de Florence Parisot, alors patronne du MEDEF, qui, telle un nouvel Héraclite proclamait haut et fort « La vie, la santé, l’amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il à cette loi ? » [3]. Mais, si le travail est soumis à la loi de la modification permanente, pourquoi le logement ne le serait-il pas, et d’où sort cette obligation de sédentarité ? D’ailleurs quand les patrons expliquent aux ouvriers que, pour ne pas être exclus du marché de l’emploi, ils doivent être de plus en plus mobiles et déménager fissa quand l’entreprise le leur demande, ils ne font que l’éloge de ce nomadisme qui est tant reproché aux Roms.

En fonction de ce qui arrange le Pouvoir (politique et économique), on voit que la norme est tantôt la fixité tantôt la mobilité. Tant d’arbitraire n’exclut pas une grande cohérence, une cohérence dont la nature idéologique se trouve dans l’appétit de domination. Pour le Pouvoir il s’agit avant tout de régenter au maximum le comportement des ses administrés pour les assujettir. L’important, pour le Pouvoir, c’est la normalisation des supposés « citoyens » et, au final, il importe peu que les normes imposées soient absurdes fausses et contradictoires, tant que ceux qui le font remarquer ne sont qu’une petite minorité. Finalement, il en est de l’intégration comme de la « température ressentie » ce concept n’a d’autre signification que de nier l’extrême diversité des sentiments et des comportements et par là d’anéantir l’expression de toute individualité.

LE GLAMOUR, COMBIEN DE PÉNÉTRATIONS ?
Plus démesuré encore dans cette volonté de normalisation, voilà qu’apparaît dans le débat législatif, un autre concept, celui de « glamour », et avec lui une nouvelle mesure, « le nombre de pénétrations ». La presse a largement diffusé une petite phrase de la députée Maud OLIVIER : « Comment trouver glamour les 10 à 15 pénétrations par jour subies par les prostituées contraintes pour des raisons évidemment économiques avec des conséquences dramatiques sur leur santé ? » [4].

Nous voici face à une affirmation selon laquelle la « dose » de 10 à 15 pénétrations quotidiennes serait incompatible avec la santé. De la même façon que l’éducation religieuse prétextait que l’onanisme rendait sourd, nous apprenons de la bouche d’une députée que les pénétrations répétées rendraient malade.

Ce serait comique si nous n’étions dans un débat législatif qui porte sur une loi pénale, domaine dans lequel il est essentiel de savoir de quoi on parle. Or, le premier argument que nous jette à la figure la députée à l’origine du projet de loi est celui du « glamour ». Ça se mesure comment, le glamour ? C’est combien de pénétrations par acte sexuel, le glamour ? [5]. Question suivante  : à combien de rapports a-t-on droit sans qu’on nous reproche de nous rendre malades ? Enfin, soulignons avec force que, si comme l’affirme Maud Olivier, ce sont des contraintes économiques qui obligent les prostituées à se rendre malades, il faudrait commencer par s’attaquer aux contraintes économiques en question ! Trop dur à comprendre pour une députée de « gauche », peut-être ?

Au lieu d’une véritable réflexion (que le sujet mérite), nous nageons dans le flou, dans le « ressenti » de madame Olivier. Dans la lignée du mouvement anti-prostitution du Nid (d’obédience catholique) qui appelle à une « sexualité respectueuse » (c’est quoi, ça ?), elle s’autorise à imposer un concept tout à fait arbitraire pour ouvrir la voie à une responsabilité civile et pénale. En utilisant la tribune de l‘Assemblée pour imposer son sentiment en matière de comportement sexuel, elle s’est attaquée à l’intimité de tous. Pas très « glamour » ça, non ?

Dans la sexualité, comme dans les autres sphères de la vie privée, les différences individuelles, physiologiques et émotionnelles sont telles qu’elles rendent chaque individu singulier. Chaque vie privée est par conséquent singulière. Toute loi qui, tirant sa source d’un modèle arbitraire (et non d’une nuisance à autrui) vise à briser cette singularité, à « normaliser » la vie privée, en imposant des règles ou des normes de comportement, est une loi liberticide.


[1] A tout prendre, cet exemple n’est pas si déconnecté de l’appétit de domination. La maîtrise du temps appartient à ce domaine. L’adage populaire ne dit-il pas que certains font « la pluie et le beau temps » ?

[2] Voir sur ces questions de mal-mesure « La mal-mesure de l’homme » de Stephan Jay Gould (actuellement réédité) avec de pertinentes réflexions sur le quotient intellectuel, outil de mal-mesure de l’intelligence humaine.

[3] Déclaration de la patronne des patrons en date du 02/01/2010. Du pur Héraclite : « Les choses n’ont pas de consistance, et tout se meut sans cesse : nulle chose ne demeure ce qu’elle est, tout devient son contraire »

[4] Débat sur la prostitution, le 28/11/2013.

[5] Pour les député(e)s qui manifestement l’ignorent, rappelons qu’il peut y avoir plusieurs pénétrations au cours d’un seul acte avec un(e) seul(e) partenaire.
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Re: RÉFLEXIONS SUR LES NORMES ET LA MORALE

Messagede jeannetperz le Dim 29 Déc 2013 16:10

c est bien de refuser la morale catho mais si de l autre on soutient la morale capitaliste c est la merde . car anti catho et anti capitaliste je suis contre la légalisation et la prohibition suis pour l abolition et le texte de j picard ne semble plus juste. suis sur on va traiter de refouler. On peut comprendre certaines revendication mais de la a faire du sexe du salariat c est pas anarchiste a moins d être marxiste c'est pas soutenable ou alors taper pas sur les bonnets rouges c'est du même tonneau; on peut pas d un coté évoquer la condition pénibles de certaine prostitués ( car certaine sont de bonne capitalistes) pour justifier le maintien de cette condition et critiquer des salariés qui arguant de la situation pénible de futur chômeur manifestent pour sauver leur entreprise avec leur patron dans les deux cas on défend le capitalisme. Mais laisse tomber ailleurs on comprend cela.
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Re: RÉFLEXIONS SUR LES NORMES ET LA MORALE

Messagede bajotierra le Lun 30 Déc 2013 13:28

"c est bien de refuser la morale catho mais si de l autre on soutient la morale capitaliste c est la merde"


salut ,

je crois que ce texte questionne sur tout mécanisme de normalisation qu il soit catho ,capitaliste ou autre
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Re: RÉFLEXIONS SUR LES NORMES ET LA MORALE

Messagede jeannetperz le Lun 30 Déc 2013 13:56

si le néologisme c est l habillage rhétorique de la nouvelle normalité rien de nouveau j ai dit la bataille dans le dispositif adverse est vouer a l échec et mat. j ai dja lu ça dans votre canard de votre camarade J Picard les mots on un sens ( je crois que c'est dans démocratie et égalité). Après ont en tire quoi la singularité jveux bien mais l individu être social t en fait quoi; tout façon. Orwel a écrit mieux que moi la dsu. Donc démasquer le néologisme et les anacotrotskiste t en pense quoi en matière de néo anté pièges a con?
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Re: RÉFLEXIONS SUR LES NORMES ET LA MORALE

Messagede Specifix le Lun 30 Déc 2013 18:04

jeannetperz a écrit:c est bien de refuser la morale catho mais si de l autre on soutient la morale capitaliste c est la merde . car anti catho et anti capitaliste je suis contre la légalisation et la prohibition suis pour l abolition et le texte de j picard ne semble plus juste. suis sur on va traiter de refouler. On peut comprendre certaines revendication mais de la a faire du sexe du salariat c est pas anarchiste a moins d être marxiste c'est pas soutenable ou alors taper pas sur les bonnets rouges c'est du même tonneau; on peut pas d un coté évoquer la condition pénibles de certaine prostitués ( car certaine sont de bonne capitalistes) pour justifier le maintien de cette condition et critiquer des salariés qui arguant de la situation pénible de futur chômeur manifestent pour sauver leur entreprise avec leur patron dans les deux cas on défend le capitalisme. Mais laisse tomber ailleurs on comprend cela.
En ce qui concerne le sujet de la prostitution, il ne s'agit pas de valoriser cette activité; ni en positif, ni en négatif. Je ne fais aucune différence entre vendre des prestations sexuelles et aller bosser pour une boîte quelconque.
Il y a, actuellement, un véritable amalgame entre morale et politique qui se fait jour avec insistance.
Il s'agit, ici, de ne pas accompagner, ou d'approuver, l'Etat dans sa fonction répressive et inégalitaire.
En s'attaquant aux clients, on ne s'attaque pas aux causes de la prostitution, ni même à la prostitution elle-même. C'est une attaque contre les prostituées en bonne et due forme, en s'attaquant aux "circonstances" de leur activité. C'est une attaque de plus contre les individus. Il n'y a rien d'immoral dans le sexe, ou même, dans la volonté d'en faire un objet d'échange. Ce qui est profondément immoral, c'est d'être obligé de recourir à cette activité, car ce choix peut être volontaire sans pour autant être véritablement libre puisque tributaire du cadre.
L'Etat crée une hiérarchie, une division, entre les individus, une de plus; avec des travailleurs à plusieurs vitesses, c'est pas nouveau. Les bons travailleurs, ceux qui bossent dans la moralité, d'un côté, et les travailleurs immoraux, de l'autre, même si on emballe ça dans du victimisme.
Personnellement, je considère qu'il faut abolir, non la prostitution, mais le capitalisme sans, évidemment, tomber dans un autre système inégalitaire. A partir de là, chacun choisira sa voie.
Mais, arrivé à ce stade, le problème serait-il réglé pour autant ?
Il y a une vraie mystification autour du sexe. Et, le vrai problème réside là.
Je pense que la Révolution aiderait fortement à cette démystification.
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Re: RÉFLEXIONS SUR LES NORMES ET LA MORALE

Messagede jeannetperz le Lun 30 Déc 2013 19:10

puisque certain sont balèzes en modération faudrait poster l article de j Picard et pas contrer avec un autre article pas contraire en plus ; dire que faire la tapin = aller bosser et un peu cour ; En langage de prol combatif on dit l a baisser son froc devant le patron faut croire que les prols savent faire la différence car pour eux se prostituer c est légitimer son exploitation faut puisque que les mots ont un sens sans faire dla sémantique a deux balle rappeler que celui qui est contraint est le combat n est pas celui qui légitime ce fait. On évitera que les madame qui vent leur charme pour du pognon traite de salopes les pauvresse qui vont au boulot c est déplacer. Alors chiche vous poster le Picard a la suite car et suis pas le seule dac avec cet article et je vois qu il inspire quelques modifications sur le sujet.vous tomber dans le panneau libéral libertaire.
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Re: RÉFLEXIONS SUR LES NORMES ET LA MORALE

Messagede bajotierra le Lun 30 Déc 2013 20:28

jeannetperz a écrit:si le néologisme c est l habillage rhétorique de la nouvelle normalité rien de nouveau j ai dit la bataille dans le dispositif adverse est vouer a l échec et mat. j ai dja lu ça dans votre canard de votre camarade J Picard les mots on un sens ( je crois que c'est dans démocratie et égalité). Après ont en tire quoi la singularité jveux bien mais l individu être social t en fait quoi; tout façon. Orwel a écrit mieux que moi la dsu. Donc démasquer le néologisme et les anacotrotskiste t en pense quoi en matière de néo anté pièges a con?


La singularité individuelle et le fait que l'individu soit un être social est le repére orthogonal de l'Histoire des institutions

Car la forme que prend le social est déterminée par une construction imaginaire ( puisque tu as cité Castoriadis ) qui laisse plus ou moins de place a l'expression des singularitées ,

Et donc je ne vois pas là la primauté de l'économique et de la dichotomie liberal /libertaire , la meilleure preuve en est qu' il peut exister une économie libérale qui réprime des singularitées ( par exemple le franquisme ) comme une économie libérale qui en tire un profit substantiel

Par contre il me semble qu'il existe une subversion de l'imaginaire émancipateur quand on écrit que

Ce n'est pas au nom des libertés individuelles que nous réussirons à combattre la violence de l'oppression, mais en privilégiant le bien-être collectif et global.

http://montreal.mediacoop.ca/blog/kim-dockstader/20507
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Re: RÉFLEXIONS SUR LES NORMES ET LA MORALE

Messagede jeannetperz le Lun 30 Déc 2013 21:24

liberal libertaire c est quant la liberté individuelle s illusionne dans la pseudo liberté individuelle réifier dans les rapports marchants. ainsi on, se croit libre de vendre sa force de travail ou sexuel quand de fait le contrat commercial et sur les base de l exploitation; Le plus haut niveau est atteint quand celui qui se vent légitime le système de l offre et le demande. mais suis inscrit sur le forum noir et rouge de vos potes de la CNt-AIT de Caen et vous laisse les petits stales de la fafa je reviendrai un ces 4, Si vous voulez des contradicteurs qui tiennent la route allez sur ce forum suis pas la pour que la fafa fasse son beurre sur le dos des anars suis pas une pute. j ai bosser et forcer j ai lutter contre cela gueuler avec les autre ont aient pas des putes. Dit pas ça pour la pauvre a la Regiani (la femme qui est dans mon lit) suis solidaire de tous ceux que l on opprime pas des tarés qui trouvent cela bien au chiottes les bonnet rouges. au fait ya un débat bien, sur l anarcosyndicalisme sur forum noir et rouge pas temps a perdre avec les trotskistes de la fafa .
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Re: RÉFLEXIONS SUR LES NORMES ET LA MORALE

Messagede bajotierra le Mer 8 Jan 2014 17:18

Entendu ce jour une femen ukrainienne sur Canal plus , édition de 13 heures

"la premiére chose a quoi les gens pensent quand on leur parle d'ukraine c'est a la prostitution "

Encore une qui connait dans l'ordre le tiercé de ce que " tous les gens " pensent ........
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