Une bataille engendre des dommages.
Mais tout cela s'est passé il y a plusieurs décennies et pose aujourd'hui la question suivante : une révolution sociale avec l'objectif de ne plus avoir de classes sociales différenciées, ni de centralisation étatique nécessite-t-elle forcément de détruire , d'assassiner en masse ?
Pour ma part et, ce n'est pas de l'angélisme, je pense que non et que cela dépend d'une question de conscience et de préparation.
C'est un problème qu'il faut clarifier parce que c'est le principal obstacle pour beaucoup de gens : Suite à ce que l'histoire à montré, Ils préfèrent subir ce qu'ils subissent aujourd'hui plutôt que de risquer pire, une terreur vengeresse.
( C'est un peu le reproche que je pouvais faire à la chanson "Vengeance" de Valérie Lagrange que j'ai envoyée il y a peu.)
Nous ne sommes plus en 1917 ou en 1936 ni en 1966 et, nous devons réfléchir à comment passer d'un système social à un autre avec le moins de dégâts matériels et humains.
Me concernant, je suis convaincu non seulement que c'est possible mais que sans cela aucun changement ne pourra être réalisé.
Il ne s'agira pas d'exproprier pour redistribuer ce qui existe déjà mais d'amener ceux qui "possèdent" à laisser de leur plein grès ce qu'ils ont pour choisir ce qui sera nouvellement construit de bien meilleure facture.
Utopie ?
Pas le moins du monde.
Comment, de quelle façon ?
C'est une pas si longue histoire .