Qui je suis
http://grainedeflibuste.wordpress.com/
Je suis un va-nus-pieds. Un de ces écolos-décroissants qui n’hésite pas à récupérer tout un tas de bricoles qui habituellement mériteraient plutôt la décharge; un de ces "feignants" qui ne taille pas ses haies au carré, et qui laisse toujours un coin de son jardin en frîches. Qui laisse une odeur de friture dans les narines lorsqu’on le croise avec sa voiture, et aucune odeur de laque ni de désodorant lorsqu’on le croise à pieds. Qui met ses déchets verts à fermenter dans des pneus au lieu de les brûler, et qui promène ses toilettes toutes les semaines dans une brouette jusqu’au fond du jardin. Qui se croit encore au moyen-age, et qui tond la pelouse à la faux et laboure son jardin à la main. Qui ne prend pas la voiture mais le vélo pour rendre visite aux voisins, et qui reçoit souvent la visite de camions peinturlurés aux plaques d’imatriculations lointaines, emplis de personnages non-comformistes avec lesquels il écoute (voire joue) de la musique de flibustiers iroquois ou de gobelins.
J’ai 28 ans. Je suis marié, j’ai deux enfants. Je vis dans le département du Gers, non loin de Vic-Fezensac. Je suis brasseur, je fabrique de la bière bio (la "Flibustière"); même si j’ai momentanément mis fin à ma chancelante entreprise artisanale, en attendant de pouvoir repartir sur de meilleures bases.
J’ai eu dans ma vie un parcours assez éclectique; j’ai obtenu un BAC littéraire, puis, après avoir étudié à la fois la philosophie, la langue russe, l’histoire et l’espagnol à Toulouse, je me suis réorienté en université scientifique, où je suis resté jusqu’au niveau BAC+3, en sciences de la Terre, à Toulouse également. Et où j’ai notamment beaucoup travaillé sur les sols et la pédologie.
J’ai également beaucoup voyagé au cours de ma vie, sur presque tous les continents, de l’Afrique de l’ouest à Madagascar, de Cuba à la Guyanne française en passant par le vénézuela et la guadeloupe, de l’Angleterre au Portugal et au Maroc, et jusqu’au Népal.
Avant l’aboutissement de mes études scientifiques, j’ai eu la naissance de mon premier enfant. Du coup, après maintes hésitations, nous avions décidé avec ma femme, de quitter la ville de Toulouse, pour pouvoir élever nos enfants à la campagne plutôt qu’en appartement citadin. Nous nous sommes installés dans la campagne gersoise, où ma foi il y fait plutôt bon vivre.
Outre la raison parentale, une autre raison m’avait poussé à partir à la campagne et à prendre du recul sur mes études scientifiques. En effet, comment aurais-je pu continuer ainsi à étudier les sols, à étudier notamment l’impact de l’agriculture sur nos sols, sans jamais être capable de me mettre à la place de celui qui travaille ce sol? Comment réellement pouvoir comprendre la pédologie, sans mettre les mains dans la terre pour cultiver, et passer ainsi de la théorie à la pratique? Avant de devenir un fonctionnaire capable de conseiller des agriculteurs, avant de faire des thèses sur telle ou telle pratique agricole, avant d’émettre des théories sur telle ou telle propriété ou variable de la pédogenèse, j’en avais l’intuition, il me fallait cultiver mon propre jardin, semer mes propres céréales, planter mes propres arbres. Sinon, mon travail n’aurait pas eu de sens.
Du coup, du fait de me retrouver en campagne, loin de la ville, j’ai vite abandonné l’idée d’y retourner régulièrement pour y poursuivre mes études, et j’ai finalement créé mon entreprise, localement, à partir d’un travail manuel, et compatible avec la vie rurale. Et je me suis bien évidemment lancé dans la culture de mon jardin. Mais la vie en campagne m’a apporté bien plus; du simple jardinage, je me tourne petit à petit vers la permaculture, et vers une certaine forme d’autonomisation financière, par l’utilisation et la valorisation des ressources de mon jardin – dont j’aimerais qu’il devienne bien plus qu’un simple potager – et par l’utilisation et la valorisation de toutes les ressources et les énergies du lieu où je vis avec ma famille. Et depuis quatre ans que je suis sur cette voie, j’ai acquis une certaine expérience, ainsi qu’une certaine réfléxion théorique (basée cette fois sur de la mise en pratique), que j’aimerais partager avec d’autres. Et c’est bien sûr tout l’intérêt de ce blogue.
Mon expérience d’artisanat m’a également beaucoup donné à réfléchir. Sur le fonctionnement de l’économie libérale, de l’économie capitaliste. Sur les shémas de croissance dans lesquels se trouvent embarqués tous les indépendants. Cette vie d’entrepreneur n’était pas forcément en accord avec mes idéaux: au niveau de la quantité de déchets produits, et des nombreuses difficultés pour les valoriser ou même pour éviter de les produire. Au niveau de l’énergie grise de tout ce avec lequel on travaille: pour vous donner un exemple, je produisais de la bière bio, avec des ingrédients bios produits en France, transformés en Allemagne, puis utilisés en France au final; donc bios, mais lourdement chargés en carbonne. Egalement, cette vie d’indépendant était incompatible avec la vie que je désirais, pour pouvoir prendre du temps pour mes enfants, et dans mon jardin ou dans diverse activités pas forcément rentables financièrement, et pour diminuer mes dépenses et mon temps de travail en compensant un maximum de mes besoins par mon travail autonome. Et enfin, mon expérience m’a également amené à réfléchir sur les difficultés à faire de la production qualitative dans notre pays, et qui ne soit pas réservée à une élite. Qui au contraire soit abordable pour mes amis ou ceux qui pourraient l’être; pour des gens qui, comme moi, sont d’avantage sur une voie de diminution du temps de travail, plutôt que sur la voie du ’travailler plus pour gagner plus’. Du recul que j’avais pris sur la recherche, je passe donc maintenant à une prise de recul sur l’artisanat, et sur l’économie en général. Ce qui m’amène à de nouvelles réfléxions, que je vais pouvoir partager avec vous sur ce blogue. Réfléxions avec lesquelles j’aimerai pouvoir être cette fois en accord, lorsque je remettrai en route mon travail rémunérateur.
Faire en sorte que le travail puisse à la fois être efficace, fléxible, rentable, et soutenable, tant écologiquement que socialement, familialement, et individuellement. Pouvoir travailler à la fois au mieux, et le moins possible, pour pouvoir disposer d’un maximum de temps libre. Telle est la principale recherche de ce blogue.
Pourquoi ce blog
http://mutuellisme.wordpress.com/
Bonjour et bienvenue sur mon blog mutuelliste.
Ce blog traite avant tout d’anthropologie économique (voire d’anthropologie au sens plus large) ainsi que d’économie politique (et accessoirement d’actualité politique). Ce blog est un outil pour développer mes thèses d’anthropologie économique, et pour concevoir des alternatives économiques à la société industrielle et capitaliste. J’y développe une philosophie néo-primitiviste, individualiste anarchiste, et mutualiste libertaire.
Une philosophie, deux blogs :
J’ai développé une philosophie globale et cohérente, basée sur la non-intervention (tant au niveau agraire qu’au niveau économique ou politique), et si j’ai choisi de faire deux blogs, l’un qui s’intéresse à la décroissance, la permaculture, et la transition énergétique, et l’autre qui s’intéresse à l’anthropologie économique et l’économie politique, ce n’est pas le résultat d’une schizophrénie philosophique qui me pousserait à développer deux philosophies différentes en parallèle, mais plutôt pour distinguer mes réflexions théoriques de mes expérimentations pratiques. Pourtant il est évident que ces deux domaines sont liés, que mes expérimentations ont pour but de mettre en pratique mes théories, et que mes théories sont élaborées à partir d’observations et de constatations pratiques résultant de mes expérimentations. Simplement, il ne s’agit de rien de plus, en créant ce deuxième blog, que d’augmenter la lisibilité de ma « philosophie pratique ».
Et puis, tout le monde n’a pas les mêmes centres d’intérêts que moi, et ceux qui s’intéressent à la manière dont je cultive mon jardin ou aux bricolages que je fais pour diminuer ma consommation énergétique, ne s’intéressent pas forcément à la transition paléolithique/néolithique, ni au fonctionnement d’une monnaie alternative. Aussi, pour ceux que la permaculture, la décroissance ou la transition énergétique intéresse, vous pouvez visiter mon autre blog, graine de flibuste.
Néo-primitiviste :
L’humain a vécu la majeure partie de son histoire dans des tribus de chasseurs/cueilleurs (ou de récolteurs), dans des groupes de quelques dizaines d’individus seulement, chaque tribu disposant de plusieurs dizaines à plusieurs centaines de kilomètres carrés de territoire quasiment sauvage. Homo sapiens existe depuis au moins deux cent mille ans, et ce n’est que depuis 11 à 12 000 ans qu’il a développé l’agriculture et la domestication animale, soit 0.5 % de son histoire. Et si les villes et les cités existent depuis plus de 8000 ans, ce n’est que très récemment, après l’an 2000 après Jésus Christ, que plus d’un humain sur deux est citadin.
En conséquence, si nous voulons étudier le fonctionnement de l’humain actuel, il nous faut le remettre dans le contexte des 95.5 % de son histoire dans un mode de vie tribal et récolteur, et des 99.995 % de son histoire en tant que rural. Et si nous voulons développer des alternatives et des méthodes d’organisation sociales bénéfiques pour l’humain, il nous faut le faire en respectant le passé évolutif de celui-ci, en adaptant le fonctionnement humain ancestral, à la vie moderne et aux conditions actuelles et à venir.
Ainsi, même dans la société moderne, les individus ont systématiquement tendance à constituer des clans, des tribus de quelques individus, qui se regroupent et se cooptent de manière affinitaire, constituées de membres qui coopèrent entre eux de manière préférentielle, et qui s’assurent, même tacitement et inconsciemment, une protection mutuelle et une rivalité réciproque limitée. Il n’y a qu’à cette échelle que les groupes humains soient homogènes, et c’est à cette échelle qu’il nous faudra organiser les groupes humains, et non pas à l’échelle d’un état ou d’une nation, dont les incapacités proviennent justement de ce fonctionnement humain « tribal ».
Individualiste anarchiste :
Si justement on compare les humains aux autres espèces animales, et qu’on les considère dans ce qu’ils ont été au cours de la plus grande partie de leur histoire, on s’aperçoit tout d’abord que leur fonctionnement est individualiste, puisque l’humain est un animal sexué, et non social comme le sont les fourmis, les abeilles ou les termites, qui elles sont asexuées. Par son fonctionnement sexué, l’individu humain tendra toujours à se distinguer en tant qu’individu, à se singulariser pour tenter au mieux de séduire des partenaires pour la reproduction, et de se perpétuer individuellement. En ce sens, même les comportements sociaux humains sont des comportements qui ne sont socialisés que parce que l’individu en tire un bénéfice : il tire partie de la vie en société pour son propre compte, et non pour la société elle-même ou pour le « bien commun ».
La seule valeur humaine est donc l’individu (même le droit est une valeur subjective), le Moi égoïste, l’Unique en soi (et non l’individu en tant que concept, en tant qu’Humain ; ni aucun autre concept d’ailleurs), qui ne coopère avec ses semblables que dans son propre intérêt. En cela, aucune société ne doit prévaloir aux individus qui la constituent, autrement elle ne bénéficiera jamais à l’ensemble de ses membres, mais uniquement à ceux qui la gouvernent. La seule organisation sociale possiblement bénéfique à l’humain est donc l’association, d’adhésion volontaire (et donc avec la possibilité de s’en désengager à tout moment). L’association est le résultat d’une conjonction de volontés individuelles ; son utilité réside dans le moyen qu’elle représente pour chacun de satisfaire ses intérêts personnels.
Néanmoins, ces associations étant libres d’adhésion, leur fonctionnement pourrait être coopératif ou hiérarchisé, du moment que les individus y adhèrent en connaissance de cause, qu’ils acceptent de s’y plier volontairement, et qu’ils peuvent s’en désengager à tout moment. En ce sens, je suis également un défenseur du panarchisme, c’est-à-dire d’un état de fait où tous les systèmes économiques et sociaux, de toutes tailles et de tous types, pourraient cohabiter, du moment que les individus seraient libres d’adhérer à l’un ou à l’autre de ces systèmes, ou de n’adhérer à aucun d’entre eux.
Mutualiste libertaire :
Les moyens d’action que je développe sont donc évidemment individuels, ou associatifs. Je rejette également toute forme de révolution sociale, qui serait à la fois illusoire dans sa mise en place (idéal commun), du fait de la nature individualiste des humains, et contre-productive en terme de résultats, puisque une prise de pouvoir autoritaire ne ferait que remplacer la coercition d’une minorité par une autre, pas plus légitime que la première (un clan à la place d’un autre). Et je rejette évidemment les moyens démocratiques, pour les mêmes raisons (bien que je sois pragmatique, et que les conditions actuelles m’imposent de tout de même voter « pour le moins pire », c’est-à-dire le moins autoritaire, donc celui/celle qui permettra au mieux l’initiative individuelle, et par là la création et le développement d’alternatives efficaces à l’état et au capitalisme, donc de contre-pouvoirs).
Les alternatives à l’état et au capitalisme que je conçois et/ou défend, voire que expérimente, sont basées sur la possession mutuelliste, c’est-à-dire la propriété individuelle sans la nue-propriété (et donc sans la rente que celle-ci permet), et sur la création de coopératives indépendantes de consommateurs, pratiquant entre elles et entre leurs membres le libre-échange, avec l’utilisation de systèmes monétaires et bancaires associatifs et coopératifs, dégagés de l’emprise de l’état. Ce que je cherche à promouvoir, ce sont, au maximum, des formes d’économies libres, dégagées de l’état et de toute forme de planification et d’interventionnisme, mais qui soient débarrassées de toute forme d’usure (impôt, intérêt) ou de rente (loyer, plus-value). De manière, au maximum, à rendre les échanges économiques plus justes.
La justice et la non-intervention :
Cette philosophie de la non-intervention que j’ai faite mienne consiste à refuser toute forme de planification sociale ou économique, et même au-delà (écologique, agraire). La plupart des maux de nos sociétés sont dus à la volonté de la plupart d’entre nous d’intervenir dans la vie économique et politique autrement qu’individuellement, afin d’imposer des règles collectives, qui en fait n’ont rien de collectives, puisqu’elles proviennent non pas d’un consensus ou d’une unanimité, mais uniquement de l’avis d’un seul individu ou d’un groupe minoritaire d’individus. Toute règle collective autre qu’intrinsèque est donc nécessairement une coercition, et est génératrice de déséquilibres et de conflits.
A l’inverse, l’absence de règle collective laisse le champ libre à la moindre petite étincelle d’initiative, d’autodétermination, de distinction, de confrontation, de rivalité, de concurrence, de contrefaçon, de mimétisme, de coopération, d’association, d’échange, de partage, etc.. Chaque personne est à la fois un pouvoir et un contre-pouvoir, chaque acte est à la fois une action et une réaction. Et par un jeu de rétroactions, positives ou négatives, cette liberté permet l’émergence d’un « ordre », d’un équilibre contingent : chaque acte est naturellement mis en balance par un autre, qui rétroagit, la coopération mettant en balance la rivalité, l’échange mettant en balance l’appropriation, etc.. Et plus la diversité des acteurs et de leurs stratégies est grande, plus l’équilibre contingent qui en résulte est effectif. Cet équilibre, cet ordre contingent, est la justice même. Et cette justice n’est pas une loi universelle que nous devons respecter, mais une harmonie de l’absence de loi, dont nous devons simplement prendre conscience.
Ramite a écrit:Ce n’est pas en répétant en boucle les mêmes mensonges et les mêmes sophismes qu’ils vont devenir des vérités.
Ramite a écrit: Je ne t’ai posé que deux ou trois petites questions
Ramite a écrit: Tu ne fais que perdre du temps à chercher absolument à démontrer mes liens avec des fascistes, et tu vois des fascistes partout.
Ramite a écrit: Lorsque je cite David Friedman, tu fais d’abord semblant de l’avoir lu
Ramite a écrit: Lorsque je citerai Rothbard après l’avoir lu
Ramite a écrit: tu dois sans doute avoir
Ramite a écrit: Tu es sans doute un de ces petits fonctionnaires
Ramite a écrit: on a beau faire le tour de votre forum, on ne peut y trouver aucune idée, aucune proposition concrète. Nulle part. Rien. Et dès que l’un d’entre vous propose une ou deux pistes, comme Frigouret, vous vous jetez dessus tels des charognards en le traitant aussitôt de libertarien (donc de fasciste à vos yeux) alors que pourtant il est évident qu’il en est bien loin.
Ramite a écrit: vous critiquez les autres. Vous êtes des spécialistes de la critique. Vous critiquez le monde entier, la société toute entière
Ramite a écrit: Car on ne reproche toujours aux autres que ce que l’on devrait se reprocher à soi-même.
Ramite a écrit: Tu es bel et bien un autoritaire
Ramite a écrit: ça faisait un moment que je me demandais ce que je faisais à nouveau ici et pourquoi j’étais revenu perdre mon temps, à un semblant de débat
Ramite a écrit: je suis venu ici pour pouvoir tirer un tait définitif sur la religion socialiste
Ramite a écrit: L’imposer par la force de la collectivité plutôt que par votre propre force n’y change rien
Ramite a écrit: Vous n’avez pas quitté la religion ... mais il me restait encore à me libérer de mon attachement affectif à cette religion.
Ramite a écrit: Je suis (enfin) un capitaliste et j’en suis fier.
Ramite a écrit: Je suis un anarchiste
Ramite a écrit: j’ai même presque honte d’avoir été un jour compté dans vos rangs.
Ramite a écrit: Et s’il n’y avait pas ... je crois que j’hésiterais même à continuer à me revendiquer de cette étiquette.
Ramite a écrit: Inutile de me répondre
Lehning a écrit:Bonsoir !
Je trouve dommage que Ramite quitte ainsi ce forum malgré ses divergences de + en + prononcées avec l'anarchisme in fine pour tomber dans le libertarianisme qui semble d'ailleurs mieux convenir à son parcours (individualisme égoïste capitaliste, petite entreprise familiale, etc.)
Bon débatteur qui semble d'ailleurs beaucoup + chevronné que Frigouret qui doit avoir à peu près le même profil.
Mais il est clair que l'anarchisme est aux antipodes du libertarianisme (et Aquepli en a fait magistralement la démonstration) et évidemment les débats sont toujours très vifs entre ces 2 conceptions.
Le libertarianisme est d'essence libérale et l'anarchisme d'essence sociale.
Le libertarianisme est individualiste et inégalitaire et l'anarchisme est plutôt collectiviste et égalitaire.
D'où les dissensus inévitables.
Je pense surtout que ce que n'ont pas compris les libertariens(nnes), c'est que l'anarchisme est beaucoup plus égalitaire et moins égoïste que le libertarianisme.
Salutations Anarchistes !
Lehning a écrit:Je pense surtout que ce que n'ont pas compris les libertariens(nnes), c'est que l'anarchisme est beaucoup plus égalitaire et moins égoïste que le libertarianisme.
frigouret a écrit:Le texte de Nettlau que je propose comme base de débat sur la panarchie.
http://www.panarchy.org/nettlau/1909.fr.html
Et un texte du même Nettlau qui m'a personnellement beaucoup marqué, sur le faux anarchisme.
http://www.panarchy.org/nettlau/fauxanarchisme.html
Si d'aventure l'on pouvait afficher la thèse de Nettlau sur la panarchie ( moi je ne sais pas) je pense que le débat à suivre en serait facilité. Merci.
Retourner vers Politique générale
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 24 invités