Re: Autonomes
Posté: Jeu 19 Juin 2008 14:30
A l'origine en effet le mouvement autonome se consacrait énormément à contrecarrer l'Unef, qui avait une main mise sur les mouvements étudiants, le mouvement autonome de l'époque comme d'aujourd'hui est largement issu des milieux étudiants. Ils bossaient à faire respecter
Les autonomes de l'époque étaient très rouge (en allemagne et d'en d'autres pays ils le sont toujours d'ailleurs), bien que c'étaient déjà difficile de dire pour beaucoup de quoi étaient fait leurs positions politiques. Ils sontplus noirs, du moins en théories, à l'heure actuelle.
Les autonomes ce caractèrisent par un gros flou au niveau des positions quils défendent.
Trois choses reviennent cependant :
1. Le mouvement squat.
2. La participation, incrustation, aux mouvements de "jeunes" (étudiants, lycéens, ...).
3. L'utilisation de la violence.
Pour moi il y a deux générations d'autonomes auhjourd'hui, qui se comprenennt à peine parfois, du moins j'ai l'impression. Une plus "vieille", apparue plus dans les années 80 et début 90, qui a beaucoup donné dans le mouvement squat, qui a une pratique de l'autogestion assez conséquente, qui est plus posée. Des gens avec qui il est en général très facile d'échanger.
Une plus "jeune", casse cou, dont les références sont plus floues, rennaissante sur les "exploits" des Blacks Blocs, avec une tentation très forte pour la violence.
L'approche autonome des conflits sociaux et du mouvement anarchiste suscite une certains nombre de réflexions et posent les jalons des secousses internes au mouvement révolutionnaire (large). Les autonomes n'ont pas un discours pouvant s'adresser aux travailleurs, et particulièrement chez les plus en marge il y a du mépris pour qui se salarie. Ils sont spontanéistes "pur et dur" avec les avantages que cela à et les incovénients. Les avantages viennent d'une parole plus "liberées", d'une accroche impossible d'une bureaucratie, ... et enfin qui n'a pas de compte à rendre, mais c'est aussi là que commenc les faiblesses, pas de compte à rendre (mandats, prises de paroles au nom d'une orga, d'un collectif, d'une assoc, ou autres) veut dire aussi pas de controle collectif. Autres faiblesses, l'implantion impossible chez les travailleurs, le relai jamais fait avec des gens venus de hors le mouvement révolutionnaire puisque refusant les orgas structurés, donc les contacts réguliers ne situant pas à une échelle d'individus à individus. Les discours opaques, et des actions incompréhensibles, souvent, pour qui n'est pas très politisé.
Les autonomes de l'époque étaient très rouge (en allemagne et d'en d'autres pays ils le sont toujours d'ailleurs), bien que c'étaient déjà difficile de dire pour beaucoup de quoi étaient fait leurs positions politiques. Ils sontplus noirs, du moins en théories, à l'heure actuelle.
Les autonomes ce caractèrisent par un gros flou au niveau des positions quils défendent.
Trois choses reviennent cependant :
1. Le mouvement squat.
2. La participation, incrustation, aux mouvements de "jeunes" (étudiants, lycéens, ...).
3. L'utilisation de la violence.
Pour moi il y a deux générations d'autonomes auhjourd'hui, qui se comprenennt à peine parfois, du moins j'ai l'impression. Une plus "vieille", apparue plus dans les années 80 et début 90, qui a beaucoup donné dans le mouvement squat, qui a une pratique de l'autogestion assez conséquente, qui est plus posée. Des gens avec qui il est en général très facile d'échanger.
Une plus "jeune", casse cou, dont les références sont plus floues, rennaissante sur les "exploits" des Blacks Blocs, avec une tentation très forte pour la violence.
L'approche autonome des conflits sociaux et du mouvement anarchiste suscite une certains nombre de réflexions et posent les jalons des secousses internes au mouvement révolutionnaire (large). Les autonomes n'ont pas un discours pouvant s'adresser aux travailleurs, et particulièrement chez les plus en marge il y a du mépris pour qui se salarie. Ils sont spontanéistes "pur et dur" avec les avantages que cela à et les incovénients. Les avantages viennent d'une parole plus "liberées", d'une accroche impossible d'une bureaucratie, ... et enfin qui n'a pas de compte à rendre, mais c'est aussi là que commenc les faiblesses, pas de compte à rendre (mandats, prises de paroles au nom d'une orga, d'un collectif, d'une assoc, ou autres) veut dire aussi pas de controle collectif. Autres faiblesses, l'implantion impossible chez les travailleurs, le relai jamais fait avec des gens venus de hors le mouvement révolutionnaire puisque refusant les orgas structurés, donc les contacts réguliers ne situant pas à une échelle d'individus à individus. Les discours opaques, et des actions incompréhensibles, souvent, pour qui n'est pas très politisé.