Je n'ai pas vu beaucoup de tracts circuler, postez les vôtres !
Solidaires37 (.pdf)
conan a écrit:Oops on dirait un tract du NPA !
Organisons nous...
pour gagner !
Une manif tous les deux mois, c'est bien… mais quand est-ce qu'on se fâche vraiment ?
29 janvier, 19 mars, 1er mai… à quand la prochaine journée d'action ?...Le 14 juillet ?! Que cherchent les grandes centrales syndicales et que peuvent attendre les salariés de cette suite de journées sans perspective? Il est grand temps d'aller au delà du simple témoignage d'un mécontentement (et de sa canalisation ?...). Il s'agit au contraire d'organiser le rapport de force pour gagner contre le patronat et la droite. Or c'est possible, mais pour cela, on ne fera pas l'économie d'un mouvement de grève généralisée et prolongée, accompagnée de blocages, comme l'a montré l'exemple antillais!
S'organiser, construire la grève,
se fédérer en partant de la base
Les luttes doivent s'accentuer et se fédérer sans attendre les mots d'ordre des grandes centrales syndicales, mais au contraire pour les pousser à être plus offensives. Il est urgent que les équipes syndicales de lutte s'affirment, se donnent de la visibilité, et tentent de se coordonner en partant du local. Il y a nécessité d'une unité d'action à la base pour mener campagne pour la grève générale illimitée et les actions de blocage, dans toutes les entreprises privées comme publiques.. Il faut aussi porter des revendications claires, unifiantes et qui mettent en cause le pouvoir arbitraire des capitalistes :
- hausse immédiate de 300 euros des salaires, pensions et minima sociaux
- SMIC à 1500 euros nets
- blocage des dividendes des actionnaires et leur redistribution
- droit de veto des travailleuses et travailleurs sur les licenciements ; réquisition et autogestion des entreprises qui licencient
- baisse du temps de travail à 32h sans perte de revenu ni flexibilité, avec embauches correspondantes
- réquisition des logements vides et blocage des loyers et des prix des produits de base
- régularisation de tou-te-s les sans papiers…
Oui, on a le droit
de s'attaquer aux patrons !...
Avec la multiplication des plans de licenciement, on assiste à une forme de radicalisation dans certaines entreprises, avec séquestrations de dirigeants, de cadres…Sarkozy et sa clique tentent de criminaliser ces actions pour les décrédibiliser et défendre leurs amis patrons. Mais il faut le dire : ces séquestrations sont légitimes ! D'une part elles permettent en général de gagner plus au niveau revendicatif (et pour cause : les patrons ne comprennent que le rapport de force !). D'autre part, et surtout, elles ne sont rien à côté des abus de pouvoir des patrons et actionnaires, qui sont les véritables délinquants sociaux : ce sont eux les responsables de la crise, et ce sont eux qui prennent en otage toute la société en accaparant les richesses !
…et on peut même aller plus loin !
Rien ne changera vraiment tant qu'on laissera aux capitalistes la base de leur pouvoir, qui est la propriété des moyens de production et le droit de décider arbitrairement du sort des salariés, et de la société toute entière.
Séquestrer pour faire pression afin de limiter les dégâts, c'est déjà remettre en cause la légitimité de cette propriété, et c'est bien…mais il serait encore mieux d'aller plus loin, en se réappropriant l'outil de production et le droit de décider dans l'entreprise. C'est nous, les salariés, qui créons les richesses par notre travail, cet outil nous appartient, nous avons le droit de décider !
D'abord, en imposant un droit de veto sur le licenciements. Mais il faut aussi mettre en débat la réquisition et l'autogestion des entreprises, d'abord de celles qui licencient ! Bien entendu, isolément, réquisitionner et autogérer une boite aurait peu de sens. Mais cela représente la seule perspective d'un mouvement de grève générale, si l'on veut vraiment remettre en cause le système qui a conduit à la crise…
NOUS NE PAIERONS PAS LEUR CRISE !!!
Appel international de la CNT pour un 1er Mai 2009 de lutte de classe
La crise actuelle du capitalisme met aujourd’hui les travailleurs devant deux options bien définies : continuer de subir un système économique et social inégalitaire et autoritaire, ou construire des résistances pour imposer une redistribution réelle, juste et égale, des richesses et faire respecter nos acquis, nos droits et nos libertés.
Nous, syndicalistes révolutionnaires, anarcho-syndicalistes et syndicalistes de luttes de classe, avons clairement fait notre choix. Nous refusons de continuer à négocier nos défaites et, au contraire, nous voulons organiser nos victoires. Pour cela, les grèves générales interprofessionnelles et reconductibles, comme elles s’esquissent actuellement dans certains pays, sont nécessaires pour faire plier nos dirigeants économiques et politiques. La solidarité internationale sans faille de tous les travailleurs, du Nord comme du Sud, de l’Ouest comme de l’Est, est le garant pour ébranler le système politique et économique capitaliste qui écrase sauvagement et quotidiennement nos droits et nos libertés..
Il est de la responsabilité des organisations syndicales combatives de tout faire pour renverser le rapport de force et mettre un terme au chantage à la crise et aux politiques de destruction sociale qui l’accompagnent. L’heure n’est plus aux complaintes sur les « excès du libéralisme » ou à la « réforme par la négociation », l’heure n’est plus à l’alternance politique, l’heure n’est plus au « dialogue social » truqué et complaisant , non, l’heure est à la mobilisation !
Parce que nous estimons que l’exploitation a assez duré, parce que nous en avons marre de travailler toujours plus vite et plus dur pour augmenter leurs profits, parce que nous réclamons le droit à une santé, à une éducation et à des transports publics et de qualité, parce que nous réclamons le droit pour tous de circuler librement dans un monde sans patries ni frontières, pour toutes ces raisons et bien d’autres encore, nous appelons à la construction d’un syndicalisme de classe, révolutionnaire, anticapitaliste et anti-autoritaire, anticolonialiste et anti-impérialiste, seul capable de renverser le rapport de force.
Car nous affirmons, sans détour ni complexe, que le fondement de toutes les crises économiques, sociales, écologiques ou internationales n’est autre que le capitalisme. Car nous affirmons que derrière la logique de profit se profile une logique de mort. Arrêtons le capitalisme tant qu’il en est encore temps ! Luttons par la lutte syndicale et sociale pour imposer un autre modèle de société, plus libre et plus juste, pour que notre avenir ne soit pas notre présent en pire !
1er mai 2009 - Abolissons le Capitalisme
Depuis plus d'un siècle et demi ils nous exploitent ; nous produisons les richesses, ils nous les confisquent, et maintenant ils nous affament ! Leur système est à l'agonie, et pourtant ils vantent encore ses mérites, nous assurent qu'il existe un capitalisme « moral ». Plus encore, ils nous en rendent complices, et veulent à tout prix nous faire payer leurs propres échecs. Pire, face aux actions des salariés ou à la désobéissance des agents publics, ils répondent par une répression de plus en plus féroce. Non le système capitaliste ne peut être moral. Non le capitalisme ne peut s'auto-réguler. Face à ce mépris le plus cynique, nous nous devons de résister et refuser de continuer à les suivre.
Les politiques de droite, comme de gauche, ne voient pas de problème dans le système. Juste quelques dérives à corriger par des réformes aussi désuètes qu'infamantes. Protégeant toujours l'intérêt du pouvoir et des plus fortunés contre celui des plus modestes. Les syndicats réformistes se contentent de négocier des miettes. Ils se rendent complices du pouvoir exécutif, des patrons et des actionnaires pour maintenir leurs prérogatives et assurer la paix sociale en acceptant de verser quelques maigres indemnités de licenciement.
Les entreprises appartiennent aux salariés, pas à ceux qui les financent. Face à l'arrogance des dirigeants et des actionnaires, les travailleurs doivent se réapproprier leurs outils de travail, non pas les racheter aux actionnaires ou aux banques, mais bien reprendre un bien qui leur appartient. Pour les patrons, comme dans l'Espagne de 36, la seule alternative est la suivante: soit accepter les mêmes conditions de travail que les salariés, soit quitter l'entreprise sans indemnités. Quant à la gestion, elle ne peut être que collective et de la seule responsabilité des salariés ! De même, les services publics ne doivent pas être la variable d'ajustement des budgets de l'État, pas plus que celle des insuffisances des services privés pour ce qui n'est pas assez rentable ou aux ordres des plus riches. Les agents et les usagers doivent se réapproprier leur bien commun, en mutualisant les moyens de production, et le faire fonctionner pour l'intérêt collectif !
Salariés, chômeurs, précaires, agents publics, stagiaires, retraités, titulaires d'allocations handicapés.. doivent s'unir contre les affameurs, s'organiser et agir collectivement pour que demain émerge une société débarrassée du capitalisme.
Pour une révolution sociale, libertaire et expropriatrice !
Le capitalisme n’est pas une fatalité.
Aujourd’hui, il est de plus en plus difficile aux tenants du capitalisme de trouver quelqu’un pour défendre les vertus de ce système, même parmi ceux qui l’ont prôné et renforcé depuis un demi- siècle. Il est évident que le capitalisme ne répond pas aux besoins sociaux et démocratiques de la population. Parmi les exemples les plus criants, 1 humain sur 3 ne mange pas à sa faim alors que nous produisons de quoi nourrir tout le monde ; dans nos villes, des familles entières sont jetées à la rue alors que des milliers de logements sont vides… et pourtant, jamais les richesses créées n’ont été aussi nombreuses. En plus de ne pas répondre aux besoins vitaux d’une grande partie de la population mondiale, la logique capitaliste tentant de produire toujours plus au moindre coût, est directement responsable de la dégradation de notre planète.
Ce système n’a jamais pris en compte les aspirations des populations, qu’il soit jumelé aux plus infâmes dictatures ou aux « démocraties » parlementaires. Toutes nos libertés et améliorations de nos conditions de vie n’ont été arrachées aux gouvernants que par des luttes acharnées.
Les anarchistes pensent qu’il est dans la nature du couple État-économie- de-marché de permettre à une poignée de concentrer richesses et pouvoir, réduisant le reste de la population, c’est à dire nous, à l’état de population dangereuse à surveiller de près, quand elle ne sert pas de chair à canon ou de main d’œuvre corvéable.
Un autre futur est possible !
S’il est vain, voire dangereux de proposer un modèle « clé en main », nous ne sommes pas sans idées sur les contours de la société que nous voulons construire. L’objectif de l’organisation sociale anarchiste est d’assurer l’émancipation des individus qui la composent.
Cela passe premièrement par le fait d’assurer l’accès à toutes et tous aux besoins essentiels (nourriture, logement), aux moyens d’échange, de communication et de transport ainsi qu’à une éducation culturelle, sociale et scientifique. Outre participer au bien-être, ceci permet de donner à chacune et à chacun les moyens matériels et intellectuels de participer à la vie sociale. Si la société libertaire donne la part belle à la liberté et à l’autonomie des individus, elle n’est pas comme on la caricature souvent une société sans règles. Au contraire, nous pensons que les règles dont se dote un ensemble d’individus sont d’autant mieux suivies qu’elles sont justes et donc débattues et décidées collectivement.
Ceci ne peut se faire que si chacun peut participer également et directement aux prises de décision. C’est ce que l’on appelle la démocratie directe. La première condition de celle-ci est que chacun bénéficie à part égale de la société. C’est pourquoi nous revendiquons l’égalité économique et sociale. De plus, si nous voulons pouvoir prendre des décisions collectives sur la façon dont on produit et on répartit les richesses, il faut que les structures de production et de distribution soient sous le contrôle de la population.
Quand nous nous battons, dans les luttes sociales ou pour gagner de nouvelles libertés collectives et individuelles, c’est bien vers ce projet communiste libertaire, sans classes sociales ni État que nous sommes tourné-e-s.
Les groupes lyonnais de la CGA
c/o Librairie La plume noire, 19 rue Pierre Blanc, 69001 Lyon.
Tel 04 72 00 94 10
Permanences du Mercredi au Vendredi de 17h à 19h, le Samedi de 15h à 19h.
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Le café libertaire est ouvert, à la même adresse, tous les Vendredis soirs de 21h à 01h, entrée par l’allée.
Emission de Radio “idée noire” tous les mercredis de 20h à 21h sur le 102.2 de Radio Canut.
« Nos maîtres voudraient pour la tranquillité des bourgeois et des gouvernants que notre 1er mai soit un jour de fête, de réjouissances prolétariennes. La paix sociale triompherait et la bourgeoisie serait tranquille [...]. Non, le 1er mai ne sera pas un jour de fête pour les travailleurs conscients, c'est un jour de chômage et de revendications. » titrait une affiche syndicale de 1909...100 ans plus tard, en 2009, des ouvriers « séquestrent » leur patron, des étudiants font de même avec leur président d'université, des enseignants deviennent des désobéissants, des lycéens bloquent les gares, des gens « sans histoire » aident des « sans papiers », des anti-nucléaires arrêtent les trains...c'est l'insubordination qui vient....
Non, 100 ans plus tard nous ne ferons pas du 1er mai une fête pour les travailleurs mais bien un jour de revendications, un jour de révolte, un jour de combat... car c'est bien la rage qui nous tord les tripes... Car écoeurés nous sommes de ce monde où des patrons s'engraissent de stock options pendant que d'autres meurent de ne pas manger, où l'on pourchasse des êtres humains parce que sans papiers, où l'éducation est de moins en moins synonyme d'émancipation, écoeurés de ce matraquage consumériste, écoeurés de bouffer des pesticides, écoeurés de ce monde où l'on peut travailler des dizaines d'années pour une misère, accepter de perdre les 35h par des chantages économiques et tout ça pour finalement se faire jeter du jour au lendemain par des « Monsieurs » à cravates, aux parachutes dorés... que savent-ils donc de nos vies, de nos souffrances, de nos désirs, ces gens là... RIEN, nous n'avons pas besoin d'eux, qu'ils s'en aillent... nous en avons assez de nourrir, de goinfrer cette classe dominante, cette classe d'assistés, pleurant sur leurs charges dites « patronales » pour que l'Etat, « bras armé » du Capital vienne nous dire ensuite : « trou de la sécu », « déremboursement de médicaments », « fermeture d'hôpitaux, d'écoles... », « suppression de postes »... « les caisses sont vides »...sauf pour les banques...cela va de soi....
On nous parle de crise, on nous refait le coup de l'Union nationale, de la rigueur, de prendre sur soi, on serait tous dans le même bateau qu'ils disent, ...peut-être, mais sûrement pas à la même place, eux au gouvernail et sur le pont, nous en fonds de cales ou dans les cachots.
Alors que ce vieux monde s 'écroule… et de nos espoirs naîtra un monde nouveau, pas un monde vertical, pas un monde de hiérarchie avec sa cohorte de chefs, de profiteurs, NON, nous ne rentrerons plus dans vos cases d'exploiteurs..., là où votre monde de capitalistes ne sème que contrôle, aliénation, négation de l'individu, nous construirons un monde horizontal, basé sur le pacte fédéral et la libre association, sur la solidarité, sur l'autogestion des moyens de production, sur l'émancipation par l'éducation et l'art, tout ce qui fait notre humanité. Les prémisses de ce nouveau monde sont déjà là, dans nos désobéissances, dans nos refus, dans nos luttes...
Partout en Grèce, en Espagne, en Italie, en Islande... la révolte éclate..., notre international vaut mieux que votre mondialisation, notre jeunesse vaut mieux que vos énarques, nos utopies sont plus réels que vos Etats policiers...
Alors pour nous, syndicalistes de la CNT, ce 1er mai ne sera pas un simple jour de fête, un simple 3e temps fort après le succès des grèves générales du 29 janvier et 19 mars, il sera plus que cela... nous occuperons la rue, car solidaires de tous les prolétaires, nous porterons le même espoir, le même jour, dans le monde entier, avec la même rés(v)olution que ceux qui nous ont précédés et qui ont fait de cette date autre chose, bien autre chose qu'un simple défilé. Alors ce 1er mai 2009, nos chants seront plus forts, les poings levés plus nombreux et l'INTERNATIONALE retentira plus vibrant que jamais... car de cette journée nous ferons une étape décisive pour construire un mouvement plus large avec l'espoir que le 4 mai enfin la base déborde les confédérations, que des collectifs de quartier se fédèrent, que la population s'organise, que les usines soient occupées, que la production stoppe, que les flux s'arrêtent et que comme nos camarades antillais l'ont fait, la grève générale illimitée se mette en place,...c'est l'insurrection qui vient...
Edito du "Combat syndicaliste" N°339 de Mai 2009
nous construirons un monde horizontal, basé sur le pacte fédéral et la libre association,
OUI, LA LUTTE PAIE !
Un peu partout en France, les employés de boîtes en difficulté retiennent leurs cadres pour obtenir de bonnes conditions de départ, comme à Caterpillar, et obtiennent des avancées. En désespoir de cause les Continental attaquent la sous préf' de Compiègne suite à la décision négative du tribunal...
Début avril, les employé-e-s de Socofer (entreprise de nettoyage tourangelle) demandaient une augmentation de 140€ brut. Après dix jours de grève, ils ont finalement obtenus 77€ d'augmentation/mois. En temps de crise, la combativité paye d'autant plus !
Une même logique partout à l'oeuvre :
Il n'y a apparemment aucun rapport entre l'Hôpital public, Michelin et Hutchinson : les dirigeants ne sont pas les mêmes, les entreprises sont différentes, etc... Pourtant les problèmes qu'y rencontrent les employé-e-s sont identiques : l'Etat et le patronat cherchent partout à compresser les coûts par des plans d'économie ou de rationalisation.Et au final cela se solde par une accélération des cadences et une dégradation des conditions de travail pour assurer une maximalisation des profits!
Quand la boîte licencie ou ferme, quel(s) recours ?
L'interdiction des licenciements prônée par l'extrême gauche est un leurre car cela implique de faire appel à l'Etat, qui de son côté, privatise les « services publics » et réduit le budget de l'Education ou de l'Hôpital. L'Etat qui renfloue également les banques peu scrupuleuses d'un côté et envoie les CRS contre les grévistes de l'autre quand ceux-ci dérangent le patronat.
Quand une boîte viable ferme pour cause de « manque de rentabilité », une solution est de redémarrer la production et de gérer démocratiquement l'entreprise. Le statut de SCOP donne cette possibilité. En Allemagne c'est la solution choisie par les salariés de Bike system l'année dernière.
S'organiser à tous les niveaux :
Les jours isolés de grève ne servent à rien : après trois journées de mobilisation, qu'ont obtenus les salariés ? Rien ! Pour obtenir une réelle justice sociale, nous devons imposer un rapport de force qui passe par la grève généralisée, comme aux Antilles. Mais pour cela il faut s'organiser :
- s'organiser à la base dans le syndicat pour court-circuiter les bureaucrates qui ne veulent pas d'une salutaire explosion sociale qu'ils ne contrôleraient pas.
- s'organiser entre salarié-e-s qui veulent agir, en définissant collectivement les modalités d'action et les revendications portées. C'est la démarche adoptée par le collectif « Printemps des luttes » (printempsdesluttes@gmail.com pour Tours)
- mais aussi, s'organiser pour proposer un autre projet de société, car que tant que nous ne porterons pas massivement de projet alternatif au capitalisme nous serons condamnés à demander sa moralisation et sa régulation.
REFUSONS LE DIALOGUE SOCIAL, IMPOSONS LA GRÈVE GÉNÉRALE !
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