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Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Mar 21 Jan 2014 17:48
de gloubi
Lehning a écrit:Bonjour !

Le premier qui a dit sur ce forum que Gloubi-Errico-Kuhing était aussi loupi, c'est Pit.



ça devient grand-guignolesque monsieur l'inspecteur La bavure :lol:
Oui oui kuhing et gloubi sont la même personne : moi-même ici présent ( mais on remarquera que kuhing n'a pas posté ici depuis bien 3 ou 4 ans )

Sinon sacré pit va, il ne vaut décidément pas mieux que toi.

Allez, mettons ce grand homme à l'honneur avec une devinette taillée pour lui.
ça va flatter son ego, on sait qu'il aime bien ça.

Alors ,
Connaissez vous la différence entre un stalinien de droite et un stalinien de gauche ?
Simple :
Un stalinien de droite c'est Pol Pot.
Un stalinien de gauche c'est pile Pit.

( Errico si tu passes encore dans le coin , manifeste toi ! :D )

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Mar 21 Jan 2014 21:35
de Protesta
Connaissez vous la différence entre un stalinien de droite et un stalinien de gauche ?
Simple :
Un stalinien de droite c'est Pol Pot.
Un stalinien de gauche c'est pile Pit.



:lol: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :haha: :bluewave: :bluewave: :bluewave: :bluewave: :bluewave: :bluewave: :srigole3: :srigole3: :srigole3: :srigole3: :srigole3: :srigole3: :srigole3: :knuckles: :knuckles: :knuckles: :knuckles: :knuckles: :marsupilami: :marsupilami: :marsupilami: :delirium: :delirium:

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Mar 21 Jan 2014 21:41
de JPD
voilà bien l'exemple de ce qu'est ce forum

Un texte qui mérite discussion et ensuite des invectives qui n'ont rien à voir, qui squeezent tout débat.
Des egos qui s'affrontent hors de tout champ politique

Pitoyable ! sourire

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Mer 22 Jan 2014 10:04
de gloubi
JPD a écrit:voilà bien l'exemple de ce qu'est ce forum

Un texte qui mérite discussion et ensuite des invectives qui n'ont rien à voir, qui squeezent tout débat.
Des egos qui s'affrontent hors de tout champ politique

Pitoyable ! sourire


Ce forum est ce qu'il est , c'est un fait.

Sinon,

Je m'exprime parfois de façon abrupte , je l'admets, mais concernant les remarques que j'ai faites sur le texte signé "Vanina" et, qui serait la position de l'OCL, elles n'ont rien d'une invective ni d'une attaque personnelle mais simplement correspondent à ce que je pense de ce qui y est défendue , celle de la politique du "moins pire" ," de "la lutte pour la lutte" et, j'ajoute de la légitimation de la prostitution comme "activité professionnelle".

Tout cela rejoint quelque part les position de l'OCL de défense d'organisations léninistes comme le PKK par exemple qui fait que selon moi , l'OCL n'a rien d'une organisation "communiste-anarchiste" telle qu'elle se présente.

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Mer 22 Jan 2014 16:16
de bajotierra
JPD a écrit:voilà bien l'exemple de ce qu'est ce forum

Un texte qui mérite discussion et ensuite des invectives qui n'ont rien à voir, qui squeezent tout débat.
Des egos qui s'affrontent hors de tout champ politique

Pitoyable ! sourire


oui ,

mais en même temps c'est un texte qui prend une position claire dans un débat très polémique ,
a t il été posté sur d'autres forums ?

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Sam 25 Jan 2014 15:06
de Protesta
Ce type d’argument recoupait la critique anarchiste formulée contre le puritanisme et la morale religieuse, accusés de contraindre les désirs légitimes. En France, É. Armand, qui se présentait comme anarchiste « individualiste » partisan de la « camaraderie amoureuse », expliquait en 1934 dans l’Encyclopédie anarchiste que « [s]i la prostitution personnelle et privée ne relève que de la conscience, comme de s’adonner au métier de charcutier ou de modiste, il faut laisser à la prostituée la possibilité de faire son commerce. » Au même moment, Madeleine Pelletier (1934, s.p.) écrivait qu’« [o]n soutient volontiers, aujourd’hui, que la prostitution est un métier comme un autre et qu’il n’a rien de déshonorant. » Mais elle rappelait que la morale juge différemment le travail du sexe monnayé dans les quartiers riches et pauvres. La même année, Charles-Auguste Bontemps déclarait : « Il nous importe peu, au fond, qu’une femme se prostitue si elle n’y est pas contrainte » (Bontemps, 1934, 19).

18Alors que des anarchistes justifiaient la prostitution en l’amalgamant aux autres métiers salariés, d’autres la condamnaient d’autant plus, en la saisissant comme un métier lui aussi exploité. Pour ces anarchistes (comme pour les marxistes), le salariat n’est pas libre dans le capitalisme car l’absence de travail ou de salaire entraînerait la mort. Le célèbre anarcho-communiste Pierre Kropotkine évoquait d’ailleurs avec ironie la revendication d’un « droit au travail », lui préférant celle du « droit de vivre » (Kropotkine, 2002 [1890], 26, 28). S’il faut respecter la dignité et l’honneur de la femme qui « opte » pour le travail sexuel monnayé comme le prolétaire qui « choisit » de travailler à l’usine ou à la mine, ces activités économiques relèvent d’un système injuste de domination. Le travail de la prostituée comme celui du prolétaire sont tous deux exploités et aliénés. Ainsi, pour É. Armand : « On peut appeler prostitution l’acte, par un homme ou une femme, de livrer son corps, dans un but de satisfaire sexuellement autrui, pour de l’argent, alors que soi, on n’éprouve aucun plaisir », et d’effectuer « un travail manuel ou intellectuel qu’on ne ferait pas si la nécessité de se sustenter ne nous talonnait pas. Il n’y a, dans les deux cas, qu’une seule et même prostitution » (Armand, 2009 [1934], 151). À peu près à la même époque en Espagne, Lucia Sanchez Saornil, militante lesbienne des Mujeres Libres, évoquait aussi « la prostitution dans tous ses aspects : celle de l’homme qui devait hypothéquer sa pensée et ses idées pour manger, celle de la femme qui devait pour la même raison, arriver à la vente de son propre corps » (cité in Goutte, 2011, 59). Associer la prostitution aux autres métiers permet ici de renforcer la critique du travail exploité.





http://gss.revues.org/2775

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Sam 25 Jan 2014 17:06
de Protesta
Charles-Auguste Bontemps déclarait : « Il nous importe peu, au fond, qu’une femme se prostitue si elle n’y est pas contrainte » (Bontemps, 1934, 19).

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Sam 25 Jan 2014 20:47
de bajotierra
Lucia Sanchez Saornil, militante lesbienne des Mujeres Libres, évoquait aussi « la prostitution dans tous ses aspects : celle de l’homme qui devait hypothéquer sa pensée et ses idées pour manger, celle de la femme qui devait pour la même raison, arriver à la vente de son propre corps » (cité in Goutte, 2011, 59). Associer la prostitution aux autres métiers permet ici de renforcer la critique du travail exploité.

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Sam 25 Jan 2014 21:19
de pit
Je pense surtout venant de toi que ça permet de renforcer un discours ultra-libéral, que même certains ultra-libéraux n'osent même pas tenir.
Lucia Sanchez Saornil et les Mujeres Libres, qu'en tant qu'anti-féministe tu ne tiens pas vraiment en forme d'exemple d'habitude, viendraient, là, servir un positionnement plus que douteux et dénonçable d'une partie de la cnt-ait France, qui se positionne sans surprise dans le domaine de la défense du système prostitutionnel, et ne sert plus qu'un discours complètement confus, libéral, et réac.

Les Mujeres Libres se sont positionné collectivement contre la prostitution.

Et, il est assez remarquable, qu'à court de jus, il n'y ait plus que des individualistes nanars pour servir de couvert historique (voir Bontemps et Armand qui tout d'un coup ressortent du placard poussiéreux).
Ce que vous sortez sur ce forum se résume à un discours ultra-libéral complètement réac, et un anathème contre des supposés coincé-es du cul garant d'un ordre moral de curés. C'est non seulement d'une pauvreté abyssale, mais cela montre dans quel état végète ce groupuscule qui pour continuer à pourfendre le reste du mouvement libertaire en un combat aussi interrogeable que douteux, défend des positions complètement libérales, anti-libertaires, anti-féministes, et réacs. Et cela vaut aussi pour les quelques confus, dont vroum, de la FA, qui sévissent ici, et qui tentent de faire passer ce positionnement dans la FA en ce moment.

JPD peut bien soulever le problème de ce qui fait désormais l'image de ce forum, mais je pense qu'il participe de filer du pop-corn aux membres de ce cirque. Il est d'ailleurs bien dommage de constater que Vanina et l'OCL mangent dans la gamelle du confusionnisme, après avoir été d'un domaine de référence, il y a bien longtemps, du féminisme libertaire. Et pour le réel débat, je ne pense pas que cela soit possible ici, je n'ai pas toujours envie de m'y coller pour me faire pourrir la vie par les caricatures ambulantes qui sévissent ici, et on en parlera de visu la prochaine fois que l'on se croisera.

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Sam 25 Jan 2014 21:55
de frigouret
Je ne sais pas si ça vous fait pareil, mais quand je lis Pit, j'ai l'impression de disséquer une boule puante.

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Sam 25 Jan 2014 22:02
de bajotierra
Je pense surtout venant de toi que ça permet de renforcer un discours ultra-libéral, que même certains ultra-libéraux n'osent même pas tenir.
Lucia Sanchez Saornil et les Mujeres Libres, qu'en tant qu'anti-féministe tu ne tiens pas vraiment en forme d'exemple d'habitude, viendraient, là, servir un positionnement plus que douteux et dénonçable d'une partie de la cnt-ait France, qui se positionne sans surprise dans le domaine de la défense du système prostitutionnel, et ne sert plus qu'un discours complètement confus, libéral, et réac.


je ne vois vraiment pas en quoi faire la critique de l'exploitation du travail par le capitalisme est ultra libéral ou réac , mais bon c'est pas le plus grave ..

bien sûr que ,
Associer la prostitution aux autres métiers permet ici de renforcer la critique du travail exploité
. et bien sûr pit n'est pas d'accord avec cette phrase , pour lui et pour les moralistes se faire exploiter en dessous de la ceinture c'est "moins digne" que de se faire exploiter au dessus , pour pit celui qui est payé pour fabriquer des mines antipersonnels , qui vont mutiler des gamins , est plus "digne" que celui qui tourne un film porno .

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Sam 25 Jan 2014 22:04
de pit
Ou qu'une secrétaire qui devra sucer le chef entre deux courriers ?
Au moins avec la cnt-ait toulousaine la question du harcèlement sexuel est réglée, c'est un concept "bourgeois" ou "catho".

Encore une fois, vendre sa force de travail et vendre son corps c'est pas la même chose, défendre cela sert la soupe du pire de l'exploitation possible, avant le domaine de l'esclavage total.

Il y a déjà le strass pour ressembler a un CIDUNATI des petit-es entrepreneurs-euses, et en lobby pro-prostitutionnel, il y a désormais la cnt-ait toulousaine pour tenter d'exister sur ce terrain, à défaut de celui de la lutte des classes. Va savoir... quand on nage dans la vase, à force... (et il est à noter, dans ce concert confus et réac, combien le capitaliste libertarien frigouret se sent super bien et en phase sur ce forum).

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Dim 26 Jan 2014 01:43
de Protesta
:baille: :baille: :baille:

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Dim 26 Jan 2014 14:07
de bajotierra
pit a écrit:Ou qu'une secrétaire qui devra sucer le chef entre deux courriers ?
Au moins avec la cnt-ait toulousaine la question du harcèlement sexuel est réglée, c'est un concept "bourgeois" ou "catho".

Encore une fois, vendre sa force de travail et vendre son corps c'est pas la même chose, défendre cela sert la soupe du pire de l'exploitation possible, avant le domaine de l'esclavage total.

Il y a déjà le strass pour ressembler a un CIDUNATI des petit-es entrepreneurs-euses, et en lobby pro-prostitutionnel, il y a désormais la cnt-ait toulousaine pour tenter d'exister sur ce terrain, à défaut de celui de la lutte des classes. Va savoir... quand on nage dans la vase, à force... (et il est à noter, dans ce concert confus et réac, combien le capitaliste libertarien frigouret se sent super bien et en phase sur ce forum).




Délirant ............

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Lun 27 Jan 2014 19:27
de Specifix
pit's a écrit: Encore une fois, vendre sa force de travail et vendre son corps c'est pas la même chose, ...


Antérieurement, tu avais, déjà, vomi :
pit's a écrit: C’est la différence entre taper un courrier et se faire troncher par le petit chef sur le bureau.
C'est la différence entre entrer dans une chambre d'hôtel pour y faire le ménage et se retrouver avec une bite dans la bouche.
C'est participer à renforcer le "paradis" du capitalisme et des exploiteurs, et des machos, si tu n'es même pas capable de faire cette différence.


Dans ce cas, entre taper un courrier et élaguer des arbres, ou bien, entre taper un courrier et creuser au marteau-piqueur, c'est pas la même chose, non plus.
T'as jamais donner un début d'explication crédible qui puisse même ouvrir le débat.
Tu répètes, sans cesse, la même ritournelle, un magma d'affirmations mêlés d'insultes et dénuées de sens.

Mais, c'est peut-être le statut d'artisan qui te gêne; celui de se mettre à son propre compte, de travailler seul, d'être son propre patron, de travailler en libéral. Et, dans ce cas, peu importe ce que tu fais comme activité, sexe ou autre; car tu travailles seul, avant tout, pour vivre, tout comme les salariés le font à leur manière. et, surtout, tu travailles seul pour n'avoir de comptes à rendre à personne.
Ou, alors, ce qui te dérange, c'est que des individus se regroupent pour travailler dans le sexe, et ne pas être ou se sentir isolés; et, toi, tu les assimiles, alors, à une entreprise libérale. Des travailleurs, qui bossent seuls, ça ne devient pas des capitalistes, pas plus que toi ou moi. Le travail n'a, jamais, enrichi le travailleur; quelle que soit l'activité.
Pour l'instant, des multinationales du sexe cotées en "bourses", et créées par des prostituées qui s'associent pour travailler, je n'en n'ai jamais entendu parler. Des entreprises du sexe, ça existe; en allemagne, par exemple, avec les eros-center. Les patrons sont des proxénètes devenus, par la magie de la loi, des hommes ou des femmes d'affaires, et si des prostituées y travaillent de leur plein gré, que vas-tu leur dire ? ... que c'est mal ? ...
Je suis d'accord que le système capitaliste ne laisse pas beaucoup de choix, mais c'est pas en traquant les clients que ça améliorera quoi que ce soit pour qui que ce soit. Les prostituées vivent au jour le jour, si je ne me trompe pas. Et, si certaines gagnent de l'argent, elles ne doivent pas, pour autant, s'enrichir.
Les clients sont aussi les victimes d'un système capitaliste qui crée le climat social, entretient des moeurs toujours rétrogrades, en cultivant moralisme et religion, et qui conditionne les rapports sociaux.

Mais, pour toi, c'est l'activité qui compte, et pas le cadre sociétal.
C'est pour ça que tu es un curé, un puritain, et tout le reste ...

J'attends toujours, et je ne dois pas être le seul, que tu expliques en quoi se prostituer est différent que d'être salarié ou travailleur-artisan; soit que tu expliques la différence entre le sexe et les bras, le cerveau (mais, ça, ça ne te concerne pas - tu en as bien trop peu), ou les mains, ou le reste du corps, quoi.

pit's a écrit: C'est participer à renforcer le "paradis" du capitalisme et des exploiteurs, et des machos, si tu n'es même pas capable de faire cette différence.
En quoi aller voir les putes se solde-t-il par un renforcement du capitalisme, alors que d'aller au cinéma, par exemple, cela renforce, effectivement, le capitalisme à travers l'industrie de l'audio-visuel ou d'acheter des abonnements internet qui renforce une autre industrie, toujours capitaliste ?
Le tout en alimentant l'Etat à hauteur de 20 %, Etat, qui je le rappelle est le meilleur des soutiens du capital.
En quoi, même, aller voir les putes renforce-t-il le capitalisme ?
Et, ne me réponds pas que ça fait tourner le système capitaliste, car, dans ce cas, et c'est le cas, tout fait tourner ce système ; le travail des uns, le chômage des autres, mais, aussi, les précaires, les SDF, l'Etat, la publicité, les syndicats du style Alternative Limitée & co, etc …

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Lun 27 Jan 2014 19:36
de jeannetperz
la réponse tu la par un tes potes voir cnt-caen forum noir et rouge a prostitution article J Picard.

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Lun 27 Jan 2014 19:43
de jeannetperz
si tu comprends pas dmande a ton chef de niquer tu diras la réponse. Le droit cuissage la prom canapé putain qu on a pu cracher la dsus.franchement les gus vous devenez bourin ;de fait vous dites un chose et son contraire ; A bas capitalisme et je justifie la marchandise ça vient dingue.

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Lun 27 Jan 2014 20:19
de Specifix
jeannetperz a écrit:si tu comprends pas dmande a ton chef de niquer tu diras la réponse. Le droit cuissage la prom canapé putain qu on a pu cracher la dsus.franchement les gus vous devenez bourin ;de fait vous dites un chose et son contraire ; A bas capitalisme et je justifie la marchandise ça vient dingue.

Je justifie que dalle jeannot. Je dis ce qui est. c'est tout.
Tout le monde n'est pas anarchiste; et, tout le monde ne veut pas la Révolution. Malheureusement.
En revanche, tout le monde veut vivre et le mieux possible; quitte pour ça, à gravir les échelons comme on peut.
Ce n'est pas tellement le fait que certains couchent (pour "réussir") qui me gêne, mais le fait qu'il n'y ait pas de quartier entre les individus, que beaucoup trop de gens jouent le jeu du discours dominant, et que le capitalisme fabrique des arrivistes, même en bas de l'échelle sociale. Et, que, pour l'instant, beaucoup y croient encore. Réussir à tout prix !!!
Mais, avaliser une loi scélérate comme celle de pénaliser les clients, c'est, aussi, jouer le jeu du discours dominant.

... Celui ou celle qui suce, sous le bureau, achète sa place; le patron profite de la sienne et le système en profite, aussi.
Va dire à ceux qui sucent sous le bureau que c'est pas bien de sucer.
Mais, je pense pas que des anars soient adeptes pratiquants de la promotion de complaisance, ce n'est pas conciliable.

Sinon, ici, le sujet, c'est la pénalisation ou la dépénalisation des clients, et logiquement la prostitution franche (et, donc, non déguisée, comme celle par laquelle tu m'apostrophes).

Pour ma part, je ne soutiens aucune loi. Toute loi est oppressive ou répressive.
Pourquoi, si la loi concerne la prostitution, en irait-il autrement ?

Le problème n'est pas la prostitution, mais, le système capitaliste.
Parce que si c'est pour s'en prendre aux clients ou aux prostituées, il faudrait, alors, s'arrêter de bosser ... grève générale, expropriation, ... etc ... et je pense que beaucoup des prostituées et de leurs clients seraient avec nous !!!
La plèbe l'a déjà fait, et peut le refaire. Seulement, j'ai du mal à croire que les choses se répéteront à l'identique, même si dans le fond, ce sera la même chose.

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Lun 27 Jan 2014 22:49
de Protesta
si tu comprends pas dmande a ton chef de niquer tu diras la réponse. Le droit cuissage la prom canapé putain qu on a pu cracher la dsus.franchement les gus vous devenez bourin ;de fait vous dites un chose et son contraire ; A bas capitalisme et je justifie la marchandise ça vient dingue


C'est comme si je te disais , que toi tu crois à l'aménagement du capitalisme pour le rendre plus humain, et moi je te répondrais que tu te fais des films!

Re: Pénalisation ou dépénalisation?

MessagePosté: Mar 28 Jan 2014 10:40
de bajotierra
jeannetperz a écrit:si tu comprends pas dmande a ton chef de niquer tu diras la réponse. Le droit cuissage la prom canapé putain qu on a pu cracher la dsus.franchement les gus vous devenez bourin ;de fait vous dites un chose et son contraire ; A bas capitalisme et je justifie la marchandise ça vient dingue.


Bon on est d 'accord alors , vous évoquez (toi et pit) des pratiques qui ont lieu contre les salariés grâce a la domination des patrons ,

Ou qu'une secrétaire qui devra sucer le chef entre deux courriers ?


Ces exemples ont justement lieu dans le champ salarial , ils démontrent que salariat et prostitution sont soumis a un rapport d 'exploitation variable en fonction des circonstances , alors pourquoi dire qu'il faut abolir la prostitution au profit du salariat ? Si ce n'est pour intégrer le salariat dans l'horizon indépassable d'une société " morale"

Donc je suis d'accord avec ça :

Associer la prostitution aux autres métiers permet ici de renforcer la critique du travail exploité


et inversement , dissocier la prostitution des autres métiers c'est affaiblir la critique du travail