Dieu n'existe pas

Re: Dieu n'existe pas

Messagede leNouveau le Sam 19 Oct 2013 08:41

Lehning a écrit:Combien de temps cela va -t-il encore perdurer ? Sérieux ?



Tant que vous continuerez à alimenter son délire ...
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Re: Dieu n'existe pas

Messagede Lehning le Sam 19 Oct 2013 13:50

Bonjour !

On n'a pas besoin de l'alimenter pour qu'elle tartine.

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Re: Dieu n'existe pas

Messagede rastanar le Sam 19 Oct 2013 14:03

Ouais,elle fait ça toute seule comme une grande !. :roll:
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Re: Dieu n'existe pas

Messagede Specifix le Dim 20 Oct 2013 22:15

Lehning a écrit:Je croyais (comme quoi il ne faut jamais croire ! :arf:)
:arf:
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Re: Dieu n'existe pas

Messagede apeqli le Lun 21 Oct 2013 10:50

jusqu'à il y a peu, le 30 septembre était le jour de defense des athées emprisonnés, la il vient se rajouter pour ce même jour, le jour du blasphème, de la defense des hérétiques, des apostats, etc.
faudrait y penser pour l'année prochaine.

LE BLASPHÈME A SA FÊTE

Enfin des bonnes nouvelles de l’Oncle Sam! Le pays dont la devise est de croire en Dieu (In God We Trust)est aussi celui où lesathées sont à la pointe du combat pour la libre-pensée.Le Center for Inquiry (Centre d’enquête), qui milite pour une société fondée sur la science, la raison, la liberté et les valeurs humaines,vient de déclarer le 30 septembrejournée mondiale pour le droit aublasphème. La Saint-Jérôme est donc devenue la fête des renégats, apostats,infidèles et ennemis de Dieude tousbords. Voilà une datedont nousaurionsbien besoin dans l’Hexagone,pays de laloi de 1905,où les religieux demandent, la larme àl’œil, le rétablissement du délit de blasphème au nom de leur sensibilité cultuelle. «Les idéesn’ont pas besoinde droits, les gens, si!», titre la page Facebook du Center for Inquiry, qui compte quelque 17700 fans. Les campagnesmenéespar le Centre ont pourprincipalbut de défendre lesdroitsdes hérétiques et blasphémateurs dansle monde, quelle que soit la religion dont ils sont issus. L’une de sesdernières campagnes s’intitule: «Des millions d’Américains vivent heureux sans religion.» Athées du monde, unissez-vous! Pour y participer,il suffit de cliquer sur «Comptez- moi!» pour recevoir unautocollant confirmant votrehérésie, que vous pourrez afficher fièrement à l’arrière de votrevéhicule ousur votre porte d’entrée,au nez de vos voisins hassidim ou salafistes.
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Re: Dieu n'existe pas

Messagede bergère le Mar 22 Oct 2013 18:43

On pourrait aussi bien demander : "L'amour existe-t-il ?"

Si tu demandes à la personne que tu aimes de vivre avec elle et qu'elle te répond :
"Je veux bien mais prouve moi avant que tu m'aimes ?"
Comment t'y prendras-tu ?
Est-ce que les scientifiques pourront t'aider ?
Tu te rends comptes que tu ressens quelque chose de bien réel mais que tu ne peux pas le traduire matériellement et pourtant toi tu sais que ça existe.
La personne que tu aimes devra te faire confiance ou plutôt c'est quelque chose qu'elle ressentira également.
D'autres n'auront jamais accès à ça et te diront que ça n'existe pas. Tu auras beau essayer de leur expliquer que tu sais que ça existe, l'autre ne pourra pas te comprendre, te dira que c'est des conneries.
Des tas de gens passent à côté de cette état de conscience, il n'ont pas accès.

"Dieu" (cette réalité invisible), c'est de cet ordre là, il ne s'agit pas de religion, ni de croyance mais il s'agit plutôt d'un état de conscience. Certain ne savent pas parce qu'ils ne sont pas passé par ce ressenti. Difficile d'expliquer cet état de conscience. L'amour n'est pas une croyance ni une religion, c'est un ressenti.

Y-a-t-il une preuve que l'amour existe ?

L’alchimie :
la signature de l’homme sur la matière
Est-ce que l’alchimie aurait un lien avec les tenants de la physique quantique? D’après Patrick Burensteinas, auteur de « de la Matière à la Lumière », les deux sciences se rejoindraient dans l’interaction que l’homme et la matière ont l’un sur l’autre.
Harper Collins
:

Ce qui m’a conduit à l’alchimie, c’est le coefficient de charme. Quand on veut savoir de quoi est composé un corps, on envoie un projectile sur une cible. La cible va partir en morceaux et en fonction des trajectoires, on aura la réponse.

On peut constater deux choses :
La première, c’est qu’on a des trajectoires avant que le projectile n’atteigne la cible. S’il existe des trajectoires – donc des traces physiques – avant l’explosion, c’est que les particules qui ont tracé ces trajectoires ont forcément remonté le temps.
La deuxième, c’est qu’il y a toujours des trajectoires qui sont spécifiques à l’expérimentateur alors qu’elles sont normalement aléatoires. Il existe une espèce de signature quantique. Ce qui veut dire qu’il y a une interaction directe entre l’homme et ce qu’il fait alors qu’on est censé être dans un espace de confinement absolu.
C’est ce qui m’a le plus choqué et intéressé bien sûr ! Car cela veut dire que l’information circule entre nous et la matière par des moyens non conventionnels. Cela fait longtemps qu’on le sait.
Il y a donc une signature, une interaction entre l’homme et la matière. C’est de la magie ça ! Ce n’est pas possible !

Cette constatation a des applications scientifiques. On va être capable, par exemple, de créer des télécommandes sans télécommande... Naturellement, on n’en est pas encore là, car c’est un phénomène quantique tout de même !
Il y a aussi des personnes qui passent à côté d’un ordinateur et celui-ci cesse de fonctionner. Il ne s’agit pas de décharges électrostatiques. Nous n’avons pas trouvé d’explication. Ces gens ont des rapports bizarres avec les choses et le contraire est vrai aussi.
Quand on travaille dans les laboratoires, normalement n’importe quelle personne peut faire une expérience scientifique puisque celle-ci est reproductible par n’importe qui dans les mêmes circonstances ; mais dans les faits, on désigne souvent quelqu’un parce qu’avec lui l’expérience fonctionne.

Voyant cette interaction entre l’homme et la matière, j’ai d’abord cherché dans la science officielle, mais ça n’intéressait personne. Je m’en suis alors écarté et c’est à ce moment-là que je suis tombé sur un vieux bouquin de François Jollivet-Castelot, datant de 1894, intitulé La vie et l’âme de la matière. Même s’il n’avait qu’un intérêt relatif, il disait toutefois qu’il y a quelque chose associé à la matière sur laquelle on peut agir et qui donne une réaction. Je me suis dit : « C’est cela ! » Et pour la première fois j’ai entendu parler de l’alchimie. Pour moi, c’était un monceau de superstitions, un truc moyenâgeux. J’ai tout de même regardé les expériences décrites... et j’ai pensé : « Mais qu’est-ce que c’est que ce foutoir ! » Je me suis alors dit que pour montrer que c’était faux j’allais les faire ces expériences... Et les expériences ont fonctionné.
Là j’ai vu des choses que je n’ai pas comprises. Par exemple, des corps qui ont augmenté de masse. Un poids qui change ce n’est pas possible ! La masse volumique d’un corps n’a aucune raison de changer. Et ces corps n’entraient plus dans le tableau de classification périodique des éléments.

Deux possibilités se sont alors offertes à moi :
La première, c’était de me dire que tout cela ce sont des foutaises, c’est dangereux, cela ne peut pas exister, je vais faire autre chose.
La deuxième, c’était de penser que c’était très intéressant, mais qu’il allait falloir que je m’échappe de la science dite « officielle ».
J’ai choisi la deuxième solution. J’ai monté mon laboratoire et j’ai commencé à expérimenter. J’ai fait de l’alchimie opérative avant de comprendre les textes. D’ailleurs, je n’y comprenais plus rien du tout à ces textes. J’avais juste entendu parler de la matière première et à partir de là j’ai pensé, à travers les écrits de Newton, à cette idée de purification. C’est-à-dire comment purifier la matière pour mettre en place cette interaction entre elle et l’homme. Il s’est passé des choses.... Je pense que la science ne peut pas être sans conscience, on ne peut pas nier cette interaction. Beaucoup la nient, cependant, et c’est leur droit. Mais il y a toujours eu des savants qui ne se sont pas contentés des savoirs de leur époque comme Galilée, par exemple, dont les recherches l’avaient convaincu que Copernic avait raison en prétendant que les planètes tournaient autour du soleil et sur elles-mêmes ; l’héliocentrisme contre le géocentrisme. Galilée fut condamné par l’Inquisition pour avoir désobéi au Pape de l’époque, Urban VIII, en raison de son soutien à Copernic. Il ne fut réhabilité que le 31 octobre 1992 par le Pape Jean-Paul II, 359 ans après avoir abjuré devant le Tribunal de l’Inquisition.

Nous sommes pris dans des systèmes. C’est la différence entre le savoir et la connaissance. Le savoir c’est voir ça et rien d’autre, alors que con-naître c’est naître avec. On voit les gens qui ont du savoir et pas de connaissance à ce qu’ils ramènent tout à leur savoir et à rien d’autre. Mais aujourd’hui, il n’y a pas un scientifique sérieux qui ne tienne compte de l’interaction entre l’expérimenteur et l’expérience. C’est impossible.
Prenez deux cuisiniers qui ont la même formation, les mêmes produits, qui ont les mêmes outils. Demandez-leur de faire les mêmes plats. Il y en a un qui fera un plat délicieux, et l’autre cuisinera un plat moyen. Ils auront utilisé les mêmes produits. Le premier cuisinier a le tour de main, le petit quelque chose en plus. Et bien, c’est cela l’alchimie ! L’interaction entre l’opérateur et la matière sur laquelle il opère, et réciproquement d’ailleurs. Ce n’est pas quantifiable. Mais l’art n’est pas quantifiable non plus ! L’art, d’ailleurs, est une fenêtre sur l’éternité. Une œuvre d’art, j’entends une véritable œuvre d’art, nous rend immobiles.
Par exemple, en regardant une sculpture vous restez bouche bée. Par contre, avec d’autres œuvres, vous pouvez ne pas être immobilisés et vous êtes agités par diverses émotions. C’est que l’artiste s’est débarrassé de ses émotions dans son œuvre, et quand vous la regardez elle vous les communique. Il a réussi son coup ! Mais il y a certains artistes qui sont capables de transmuter leurs émotions pour ouvrir des fenêtres sur la Lumière.
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Re: Dieu n'existe pas

Messagede Protesta le Mar 22 Oct 2013 19:41

Amen
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Re: Dieu n'existe pas

Messagede bergère le Ven 25 Oct 2013 16:12

avec Philippe GUILLEMANT et ça devient évident. Ce n'est rien d'autre que des faits, rien d'autre :

Comment un chercheur du CNRS en est-il arrivé à s’intéresser et à écrire un livre sur la synchronicité ?

Bien que de nombreux physiciens et non des moindres – à l’exemple du prix Nobel de Physique Wolfgang Pauli – se soient fortement intéressés à la synchronicité, et bien que ce phénomène relève effectivement de la mécanique, puisqu’il s’agit de comprendre comment se forment sans aucune cause apparente d’étranges corrélations entre trajectoires purement mécaniques d’objets ou d’humains, il ne fait à ma connaissance l’objet d’aucune recherche officielle en France à ce jour dans un laboratoire de physique.
Ce sujet est en fait rangé d’office dans le fourre tout du paranormal, où l’on peut pourtant raisonnablement suspecter que la science ait laissé s’enterrer quelques pépites perdues dans un mélange inextricable d’idées farfelues. Mais la censure pudique et spécifiquement française qui entoure la parapsychologie fait soigneusement éviter ce sujet délicat par tous les chercheurs en fonction à quelques rares exceptions près, dont je suis.
Il faut reconnaître toutefois qu’il est difficile d’approcher ce phénomène par des moyens autres que statistiques et non physiques (fondés sur des témoignages). L’un de mes objectifs de chercheur est de trouver un moyen physique de l’approcher, ce qui nécessite probablement la mise en évidence de l’indéterminisme macroscopique, qui pour l’instant ne fait qu’être “intuité” par de nombreux collègues et moi-même; d’où la difficulté.
J’ai une double formation d’ingénieur de l’Ecole Centrale Paris et de physicien du rayonnement par mon Doctorat. Je suis habilité à diriger des recherches depuis 2000 et Ingénieur de Recherche au CNRS depuis 1986.
Mon centre d’intérêt en recherche fondamentale est l’étude des systèmes dynamiques complexes et plus particulièrement chaotiques. C’est en développant des outils pour leur analyse que j’ai été conduit dans ma carrière à faire principalement de la recherche technologique en vision artificielle, spécialité dans laquelle j’ai dirigé plusieurs thèses de Doctorat.
Mais qu’est-ce que la vision artificielle ? En bref, il s’agit de concevoir le système visuel des cerveaux qui équiperont les robots de demain, industriels et humanoïdes. Mes travaux dans ce domaine ont abouti à la création de plusieurs entreprises innovantes dans les domaines médical et industriel (Synapsys et Uratek) qui sont aujourd’hui toujours en croissance et créatrices d’emplois. C’est d’ailleurs la principale raison pour laquelle j’ai reçu plusieurs distinctions, notamment le Cristal du CNRS.
Pour plus d’infos, on trouvera ici mon CV avec mes publications ainsi que la vitrine de mon activité de recherche au laboratoire IUSTI de Polytech’ Marseille (CNRS UMR 6595).Mon intérêt pour le phénomène de synchronicité date de la fin des années 70, où en m’orientant vers une carrière d’ingénieur physicien, j’ai été fasciné par le rapport possible entre ce phénomène vécu personnellement en 1976, et certains paradoxes de la physique moderne (EPR en particulier).
Une telle fascination avait bien plus tôt envahi l’illustre physicien et prix Nobel Wolfgang Pauli, ce dont témoigne sa correspondance avec Jung, le “père” de la synchronicité.
Encore étudiant à cette époque, j’ai choisi en 1981, orienté secrètement par l’idée de travailler un jour sur la compréhension du phénomène de synchronicité, de me spécialiser en physique des particules à l’Ecole Centrale de Paris. Or c’est juste à ce moment là que l’équipe du physicien français Alain Aspect réalise une expérience marquante, car elle joue un rôle majeur dans l’interprétation de la mécanique quantique, en apportant la preuve de son indéterminisme et du rôle apparemment fondamental du vrai hasard. Cette expérience exclut en effet l’intervention de variables cachées dans l’indéterminisme du “hasard” quantique, et ouvre la porte à d’autres interprétations, comme la non localité ou l’intervention de dimensions supplémentaires. La physique aurait à résoudre dans les décennies à venir la fascinante question du hasard qu’elle avait ainsi introduit sans savoir qu’en faire !
Captivé par ce résultat fondamental d’une expérimentation très technique, je me demande alors si l’indéterminisme qui règne à l’échelle microscopique ne pourrait pas être quelque part relayé, amplifié et observé à l’échelle macroscopique, moyennant un appareillage adéquat. Cette idée constante entretient chez moi le rève d’inventer une instrumentation capable de déceler et de mettre en évidence cet indéterminisme macroscopique – sous forme d’évènement décorrélé de toute cause – pour identifier ce qui pourrait le déterminer au delà de la causalité. Il s’agit bien de rechercher ce qui pourrait influer sur un “choix par hasard” très improbable de la nature (conscience? observation? futur? ) en identifiant d’éventuelles corrélations non causales. Le développement d’une telle instrumentation passant nécessairement par la maîtrise des techniques de traitement du signal, je choisit alors d’effectuer mes premières “classes” sur le tas, en apprenant à développer dès 1983 des appareils de mesure électroniques et microinformatiques très sensibles, à l’Institut de Physique du Globe de Paris. Je m’y consacre à la réalisation de systèmes de détection de “signes” avant-coureurs de ces phénomènes très macroscopiques que sont les séismes et les éruptions volcaniques.
En 1986, fort de cette expérience je rentre au CNRS à Marseille (Institut IUSTI de l’Université de Provence) où je passe de l’analyse des signaux à celle des images et réalise mes premiers systèmes de détection à base de caméras CCD intelligentes.
Séduit par ce nouveau type de caméras, dont la sensibilité parvient à descendre à l’échelle photonique, je me lance dans une thèse de doctorat en physique du rayonnement où je simule des échanges radiatifs dans un système macroscopique. C’est là que je m’initie en 1988 à la physique statistique et constate l’étrangeté de ses conclusions, telle qu’une interdiction empirique de renverser le temps, ainsi que l’imprévisibilité inhérente aux phénomènes chaotiques. Ce chaos semblant un moyen de faire émerger le fameux indéterminisme recherché, je développe en 1991 de nouvelles méthodes d’analyse d’image adaptées à la caractérisation de fluides faisant l’objet du chaos. Or ces méthodes, que j’ambitionne au départ d’appliquer pour mettre en évidence l’indéterminisme, s’avèrent rapidement interesser des applications beaucoup plus concrètes, en détection des fumées puis en analyse des mouvements des yeux. Mes travaux aboutissent ainsi à la création de la société Synapsys, et la mise au point des applications correspondantes, socialement plus valorisante, occupe donc l’essentiel de mon temps jusqu’en 1995.
Revenant enfin à mon projet initial, je me spécialise alors dans les méthodes d’analyse issues de la théorie du chaos, ce qui m’amène à inventer en 1997 la méthode du plongement fractal, qui a l’intérêt de permettre l’extraction de corrélations très fines dans les signaux et images extraites de systèmes dynamiques complexes (fumées, cellules, cerveau, système visuel humain.. ). Je projette alors la réalisation d’un “fractomètre imageur”, capable de mettre en évidence ces corrélations, et donc de faire enfin émerger “l’objet du fantasme”, mais le fort potentiel innovant de la méthode du plongement fractal pour la vision artificielle m’amène à créer une nouvelle société (Uratek) pour valoriser mes résultats de recherche. Et c’est ainsi qu’à partir des années 2000, après avoir soutenu mon habilitation à diriger des recherches, je me consacre à nouveau et presque exclusivement à l’innovation technologique, en liaison avec Uratek qui obtient un contrat avec le CNRS.
Après tout, la vision artificielle étant une branche de l’intelligence artificielle, pourquoi ne pas espérer par ce biais toucher un jour du doigt le mécanisme qui pourrait transformer un système intelligent, comme un robot humanoïde, en un système faisant le choix fatidique ? Une sorte de système doué de libre arbitre !
Et c’est donc le besoin de revenir plus efficacement à ma passion initiale qui m’amène en 2006, à remettre en question ma stratégie purement technique pour parvenir enfin à m’y consacrer. Pourquoi développer sans cesse de nouveaux instruments si, pour mieux justifier une fonction de chercheur, on les utilise à tout autre chose que l’objet de sa passion. Ne vaudrait-il pas mieux approcher cet objet là différemment ? Oui mais que faire ?
Ne vaudrait-il pas mieux déjà, essayer de coucher sur le papier, ne serait-ce que pour les clarifier, les idées qu’on a sur l’explication possible du phénomène de synchronicité ? Mais cela reviendrait, en cas de succès, à écrire un livre, or le succès étant une hypothèse obligatoire de départ, cette entreprise allait s’avérer incontournable… Mais elle était très audacieuse, surtout pour un premier livre. Pourquoi me risquer à me marginaliser dans la métaphysique, alors que la voie technologique était beaucoup plus discrète et astucieuse ? Pour compenser le coté trop métaphysique du contenu de ce projet de livre, en évitant l’écueil de prétentions risquant de déranger les gardiens du temple de la science, il me fallait trouver une issue…
J’ai trouvé cette issue comme par enchantement durant l’été 2006: d’une part, faire moi-même une expérience initiatique du phénomène des synchronicités, en les provoquant littéralement, puisque d’après une encore bien vague “Théorie de la Double Causalité” en gestation, cela devait être possible; et d’autre part, relater ensuite cette expérience à travers la description romancée des aventures correspondantes, en même temps que des mécanismes “vulgarisés” de ma théorie, tout cela s’est finalement imposé comme étant un choix stratégique…
Et cela a marché ! Ce fut très surprenant, car l’expérience a vraiment donné des résultats incroyables !
C’est ainsi que trois ans plus tard, en 2009, après un travail de rédaction de neuf mois, le livre “La Route du Temps” est né.
Philippe Guillemant
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Re: Dieu n'existe pas

Messagede Lehning le Ven 25 Oct 2013 20:01

Bonsoir !

Le rapport avec Dieu, thème de ce topic ?

Dieu est-il synchrone ou a-synchrone ? :arf:

Dieu est une vaste fumisterie/invention des hommes d'une part pour faire croire à un au-delà, se rassurer devant la mort et les religions utilisent ce concept pour asservir, rendre incrédules et soumis le populo.

C'est ainsi que notamment le Vatican est devenu un antre digne de Picsou.

Que des scientifiques, même chercheurs au CNRS, cherchent Dieu dans leurs fioles: c'est scandaleux que les deniers publics aillent à ce genre de recherches^^

Mais Bergère semble gober tout cela allègrement et elle nous en tartine.
Un comble sur un forum anarchiste !

Plus c'est farfelu, plus Bergère aime !

Mais excuse-moi, je préfère la chanson de Gérard Manset "Y'A Une Route" que "La route du temps" de ton pseudo-scientifique à 2 balles.
A ce propos et au passage, Gérard Manset a écrit aussi une chanson mythique: "Je suis Dieu". Si, si, ni + ni moins ! :haha: (mais en considérant quand même, qu'à ce moment-là, on est toutes et tous Dieu. (Ce jour-là, il avait dû boire trop ou méfu en Thaïlande^^).

Allez, simple question à Bergère: croit-tu en Dieu ou est-tu juste en train de triper dans des trucs New-Age, consciousness and bouddhisme, ésotérisme à tous les étages ?

On aimerait tant que tu nous parles plutôt de la phrase mythique de Michel BAKOUNINE: "Si Dieu existe, il faudrait s'en débarrasser !".

Salutations Anarchistes !
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Re: Dieu n'existe pas

Messagede rastanar le Sam 26 Oct 2013 14:39

Salut à tous !.

Lehning a écrit:
Que des scientifiques, même chercheurs au CNRS, cherchent Dieu dans leurs fioles: c'est scandaleux que les deniers publics aillent à ce genre de recherches^^


Alors là,je ne peut qu'être d'accord avec ce que tu dit,quand je pense que certains cherchent la particule de dieu :arrow: boson de Higgs,on rêve,que dis-je c'est un cauchemar,
c'est lamentable !.

:arrow:http://www.lefigaro.fr/sciences/2012/07/04/01008-20120704ARTFIG00599-la-particule-de-dieu-enfin-devoilee.php

NEUF MILLIARDS D'EUROS ET 7000 ABRUTIS,(oh pardon ma langue a fourchée),chercheurs du monde entier auront été nécessaires à la construction
et à l'exploitation de l'instrument qui à permis aujourd'hui son observation (la particule de dieu).

Quand c'est comme ça,on n'est pas dans la recherche scientifique mais bel et bien dans un prosélytisme religieux avéré,une connerie,honte de rien,j'aimerai bien savoir qui
sont ces pseudos-chercheurs ?.
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Re: Dieu n'existe pas

Messagede bergère le Sam 26 Oct 2013 18:52

Bah cherche........
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Re: Dieu n'existe pas

Messagede Protesta le Dim 27 Oct 2013 03:03

Tu feras deux "notre pére" et un "je vous salue Marie". Bérgere içi il n'y a pas de brebis égaré.
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