niel a écrit:De même, les juifs ne sont pas incriminés dans les théories du complot, les sionistes sont eux perçus comme également infiltrés, de même que les atlantistes (souvent les sionistes sont atlantistes et les atlantistes sont mondialistes).
niel a écrit:tu parle de structure de la société, elle est pyramidale
c'est un fait que ce soit dans la politique, l'armée, l'entreprise, la finance, l'éducation
Breaking The Law a écrit:L'armee israelienne est elle criminelle?
niel a écrit:
Pour skum je ne sais pas si tu veux discuter avec moi ou essayer de me contrer systematiquement comme tente de le faire hocus, je ne pense pas m'en prendre qu'aux individus, ni qu'aux structures, ni qu'a l'argent, c'est encore là ta manie de vouloir tout schématiser et rappeticir et je ne pense pas que cela aide vraiment à faire avancer le débat non plus.
"Le truc, le machin, le dictateur, le juif, c'est limité les "problèmes" à des individus"
"Et ne va pas dire que j'ai choisi ce qui m'arrange. J'ai pris je crois "l'essentiel"
j'ai pas grand chose à rajouter...
skum a écrit:avec ma modestie de serf comme disait worldpeace (sic)
le néolibéral est contre le chômeur ; le chômeur est contre le néolibéral.
skum a écrit:c'est la stigmatisation qui me dérange (le stigmate néolibéral, le stigmate chômeur, etc.), alors que les deux sont des phénomènes structurels
niel a écrit:zeitgeist fut tourné avant la crise mais pourtant il l'a prévoit inévitablement dans addendum
Le capitalisme se dirige également vers une limite interne, parce que sa ligne de développement est linéaire, cumulative et irréversible, et non cyclique et répétitive comme d'autres formes de production. Il est la seule société ayant jamais existé qui contient à sa base une contradiction dynamique, et pas seulement un antagonisme : la transformation du travail en valeur est vouée historiquement à l'épuisement à cause des technologies qui remplacent le travail".
Anselm Jappe, Crédit à mort
http://arbeitmachtnichtfrei.skynetblogs ... e-la-crise
La microélectronique désigne les composants électroniques miniaturisés, pour créer de nouveaux produits, mais surtout pour développer de nouveaux procédés touchant l'organisation, la production et la distribution. La microinformatique n'est qu'un élement de ce mouvement de microélectronisation au sein du processus technique de production lui-même subsumé par la forme sociale du capital (Note de Palim Psao).
Le capitalisme a échoué ! Mais quelle sera l'issue ? De ce système, on ne sortira que consciemment !
http://palim-psao.over-blog.fr/article-36080501.html
Marx avance [...] l’idée que le capitalisme donne constamment lieu à d’énormes augmentations de productivité dont le résultat est que, ce qu’il appelle la « richesse réelle », en vient à dépendre moins du temps de travail que de l’avancement général des sciences et de la technologie. Un décalage apparaît entre une productivité basée sur « le travail immédiat effectué par l’homme » et les forces productives telles qu’elles se développent dans le cadre du capitalisme.
[...]
Le capitalisme tend à développer de puissantes forces de production dont le potentiel rend de plus en plus obsolète une organisation de la production basée sur la dépense directe du travail humain, sa structure est telle qu’elle ne permet pas le plein accomplissement de ce potentiel. En dépit de l’insuffisance historique croissante de la valeur, ou si l’on préfère, de la dépense de temps de travail social général comme mesure de la richesse sociale produite, elle n’est pas simplement dépassée par une nouvelle forme de richesse. Selon Marx, au contraire, elle reste la précondition structurelle nécessaire de la société capitaliste. Voilà la base de la contradiction fondamentale du capitalisme.
Moishe Postone, Théorie critique et réflexivité historique
http://palim-psao.over-blog.fr/article- ... 50028.html
[Edit de edit de edit de edit...]
Comme la hausse de la plus-value fictive des valeurs boursières ne peut être que l’anticipation de la consomption de travail réel futur (dans une mesure astronomique proportionnelle) qui ne viendra jamais, l’imposture objectivée, après un certain temps d’incubation, ne manquera pas d’éclater au grand jour. L’effondrement des marchés émergents en Asie, en Amérique Latine et en Europe de l’Est en a donné un avant-goût. Que les marchés financiers des centres capitalistes aux États-Unis, en Europe et au Japon s’écroulent aussi n’est qu’une question de temps !
(…)
Fixés sur le fantôme du travail anobli en condition d’existence positive et transhistorique, les critiques du capitalisme confondent systématiquement cause et effet. (…) Les ’méchants spéculateurs’, affirme-t-on avec plus ou moins d’affolement, seraient en train de détruire toute cette merveilleuse société de travail parce que, pour le plaisir, ils jetteraient par le fenêtre ’tout ce bon argent’, dont il y aurait ’bien assez’, au lieu de l’investir sagement et solidement dans de magnifiques ’emplois’ afin qu’une humanité ilote, obsédée de travail, puisse continuer à jouir du ’plein-emploi’.
(…)
On préfère diaboliser les ’spéculateurs’ au lieu de comprendre que, inexorablement, nous devenons tous non rentables et que c’est le critère de la rentabilité même ainsi que ses bases, qui sont celles de la société de travail, qu’il faut attaquer comme obsolètes. Cette image de l’ennemi à bon marché, tous la cultivent : les extrémistes de droite et les autonomes, les braves syndicalistes et les nostalgiques du keynésianisme, les théologiens sociaux et les animateurs de télévision, bref tous les apôtres du ’travail honnête’.
Krisis, Manifeste contre le travail, Chapitre XIII : La simulation de la société de travail par le capitalisme de casino.
http://infokiosques.net/spip.php?article=27
Cette image de l’ennemi à bon marché, tous la cultivent : les extrémistes de droite
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